La femme y est bien plus.. Que la mère
Incitant les hardiesses de l’homme sur terre
Justifiant les jouissances les plus délétères
Allégeant les soucis des modernes chimères
Pour un temps délivré des plus tristes misères
C’est le temps ou devenu rêveur inconstant
L’homme aime caresser sans conscience
Donnant libre cours à son plaisir et ses sens
Faisant naître d’éphémères passions
Invite sans plus de justifications
Un beau temps d’insouciance
Espoir de vacances
Avec la liberté des sens
Et envie de nouvelle naissance
Appel à de belles circonstances
C’est aussi temps de dégradations
Des plages des nations
Qui par des millions
Seront souillées sans raisons
Au plus fort de la saison
C’est encore, ce temps de vendanges
Récolte des moissons abondantes
Récompenses d’efforts haletants
Annonçant des demains succulents
Assouvissant les faims ardentes
Et surtout ce sera la trêve
Complice de tous les rêves
Revitalisant les énergies et les sèves
Pour qu’agréablement s’achève
Une saison toujours trop brève
