Archive for the ‘Déclarations & opinions’ Category

Ainsi s’écoule une vie…

A dix ans, on aspire à grandir un peu plus vite. A vingt ans, on aimerait enfin devenir un adulte. A trente ans, force vive, on voudrait déjà tout pouvoir. A quarante ans, on croit déjà tout savoir de la vie. A cinquante ans, viendra le temps de penser à demain. A soixante ans, on suppose, être devenu mort, pour les autres. A 70 ans, on débute ce qui sera l’aube du grand âge. A 80 ans, on veut prendre son temps pour espérer tout finir. A 90 ans, on savoure avec patience ce qui reste à vivre. A 100 ans ans, le plaisir de la vie n’est plus que rempli que de bons souvenirs.

Petits parfums de vie, de janvier 2023

Sagesse et pensées du mois :

Ecoutez votre intuition, elle vous évitera la souffrance provoquée par l’opinion des autres.

Avoir juste l’intention n’est pas le faire.

Si tu n’essaies pas, tu ne connaîtras jamais la sensation d’avoir réussi.

Positiver, est surtout apprendre à mieux vivre.

Le bonheur est l’état mental favorable qui doit être voulu pour pouvoir s’accomplir durablement.

Le bonheur le plus simple est souvent l’imprévisible inattendu d’une pensée heureuse.

Exprimons… le fruit de notre liberté d’être.

Je suis chaque jour un peu plus fou… mais j’adore cette sensation de me ressentir vivre.

Le pire sentiment à vivre serait de ne plus avoir envie d’oser sourire à la vie.

2023, une année pour rêver dire non au fascisme global

En numérologie 2023 est annoncée comme une année 7, une année qui sera un bon moment pour refuser le pire et prendre de nouvelles directions. Soyons lucides, fous, réalistes et surtout rêvons un peu…

Dès 2019, comme vous j’ai eu le réveil acide, je venais d’apprendre comme tout le monde, découvrant la révélation démocratique, qu’un ancien militaire sera élu à la tête du Brésil propageant des idées qui m’ont fait me souvenir d’horribles autres temps, en obtenant ainsi une majorité de 55 % des votes. Aujourd’hui heureusement, il semble y avoir du changement dans ce pays avec l’espoir de l’arrivée d’un ancien président réélu avec plus de 51 % des voix mais il reste 49 % de soutien à des idées négatives, dont certains souhaiteraient en plus que se produise un coup d’état militaire ou encore voir l’annulation d’un grand nombre de voix de l’adversaire par un procédé douteux. L’avenir de ces prochains jours, avec violences au menu, nous confirmera ce que deviendra le futur démocratique de ce pays.

Malheureusement tout le monde, a pu également apprendre les avatars peu exemplaires vécus aux Etats-Unis grâce à  Mr Trump qui pense revenir prochainement  au pouvoir; nous avons aussi observé les mauvaises aventures qui se sont déroulées en Angleterre en raison d’idées nauséabondes trop conservatrices ; voir comment dans certains pays du Nord et à l’Est de l’Europe on a pu également assister à diverses prises de pouvoir de la droite extrême ; encore plus concrètement et décevant,  récemment en Italie une personne inspirée par Mussolini arrive au pouvoir de la démocratie italienne. La France n’a pas échappé à sa montée d’adrénaline avec en seconde place au premier tour, des idées extrêmes aux dernières élections.

Peut-on continuer démocratiquement à oser se faire peur sans réagir…    Allons-nous continuer à laisser le champ libre aux racistes, fascistes, démagogues, à des carriéristes disposant de surcroit d’une fortune souvent considérable pour influencer négativement les faits en proférant de grossiers mensonges dont ils se servent pour parvenir à leurs fins si peu démocratiques, eux, qui voudraient nous imposer une société qui leur ressemblerait ?

Tristement les excréments pestilentiels des mauvais sentiments nauséabonds, propre à cette bête humaine fasciste regagnent du terrain un peu partout. Aurions-nous déjà oublié les méfaits causés par ce type d’idéologie au pouvoir par le passé…

Le pire ennemi pour ces menteurs ne serait-il pas de savoir garder la mémoire d’un passé récent bien qu’appartenant déjà au précédant siècle. La mémoire des peuples est-elle donc si peu durable ?

Mais que se passe-t-il donc ?

Comment se libérer de ces virus propagandistes aux idées négatives qui se répandent globalement comme une peste brune ou un mauvais virus ?

Que font les nobles descendant de l’ONU, garant défenseurs de ceux qui ont rédigé les belles valeurs de la charte des droits de l’homme ? Que sont devenus les génies penseurs d’une internationale solidaire aux utopies civilisatrices ? Que reste-t-il des valeurs éthiques enseignées par les religions, auraient-elles perdues, en chemin, le naturel sens du devoir humain des vertus d’un partage équitable ?  On peut légitimement s’en inquiéter !

La touche « reset » pour remettre à zéro notre vie et pour pouvoir aussi aspirer individuellement et collectivement à vivre pacifiquement mieux dans un futur proche, se trouve au niveau de notre pensée individuelle, de notre manière de voir, d’accepter ou refuser les circonstances néfastes tristement imposées par quelques tristes sires agissant sur notre planète.

La solution existe, elle est en chacun de nous, nous devons librement grâce à notre éducation, à notre savoir : aspirer à penser mieux collectivement, oser imaginer un avenir positif commun, rêver d’un progrès utile à tous, choisir d’agir et oser plus. Pour défendre notre désir de vivre mieux. Créer ensemble de nouvelles utopies qui ne sont que l’irréalisé de ce qui reste à faire.

Le principal organe de l’action humaine est bien la pensée, grâce à elle tout commence ou recommence, tout se construit où se reconstruit, s’accepte où se refuse. Il faut juste devenir de plus en plus nombreux à vouloir intensément que la roue tourne, en ayant le courage de choisir d’agir pour établir des nouvelles normes acceptables et agréables de convivialité positive.

Nous devons instinctivement et naturellement désirer vivre mieux et ne plus accepter de subir les mauvaises actions et intentions, trop intéressées d’un capitalisme du tout pour soi, redevenir les agents diffuseurs de notre naturelle aptitude au bonheur pour tous et permettre au mental des êtres humains de retrouver le plaisir de la gratitude pour les moments agréables de joie que nous pouvons tous vivre un moment dans nos vies.

Le bonheur individuel et collectif sera dans l’art de positiver ensemble le possible. Une simple pensée positive au réveil peut dynamiser ta journée entière. Ne nous laissons plus convaincre par des marchands d’illusions aux séduisantes idées avec des solutions simplistes, qui comme vous pouvez l’observer, font tous partie de cette minorité de leaders de la globalisation, qui prétendent gérer le monde en améliorant individuellement leur propre capital.

Il sera impératif de reconstruire ainsi peu à peu notre estime de soi personnelle et collective, reprendre confiance en nos facultés de changement collectif, en retrouvant notre goût de vivre agréablement basée sur le plaisir de ressentir des joies simples.

Notre premier courage consistera à commencer par dire non à l’intérêt d’un petit nombre d’élus contre tous ! Ce n’est pas impossible mais dur à faire, seule la persévérance de choix positifs et d’actions individuelles responsables, multiples et librement consenties, changeront pas à pas l’évolution négative du monde en quelques chose de plus positif à vivre pour tous.

L’ennemi de notre bien-être c’est notre peur, cette peur qui ne nous empêche pas de souffrir mais qui nous conduit à renoncer à vivre pleinement en acceptant la déraison majoritaire comme une fatalité imposée, par des gens cyniques, qui ont que leur seul profit en tête.

Il n’y a pas de pire malheur que l’on accepte de se voir imposer une réalité qui n’est pas la nôtre par manque de raisonnement. Aide-toi suffisamment pour avoir le courage de changer ce qui risque de te faire souffrir longtemps. La vie est trop courte pour accepter de nous auto-mutiler par manque de savoir oser penser en positif.

L’avenir appartiendra à celles et ceux qui sauront formuler les nouvelles utopies à partager.

La solidarité partagée, c’est choisir d’agir ensemble pour le bien commun en toutes circonstances en retrouvant au jour le jour le plaisir de ce qui est bien accompli avec la naturelle joie de vivre en récompense. Il n’est jamais trop tard pour commencer à travailler en équipe solidaire pour obtenir un mieux vivre possible.

La véritable beauté de l’être humain est avoir ensemble l’intention pure et commune d’avoir la sincérité dans son cœur. En unissant nos pensées positives collectivement on vivra toujours mieux dans un monde devenu plus coopératif et libéré des sombres méfaits qu’impose le chacun pour soi.

Disons définitivement non à la bête du fascisme global et agissons avec détermination contre chaque déviation négative de la pensée à notre niveau. Le moment est revenu de contribuer à le faire ensemble pour vivre mieux notre futur.

Nous devons nous aider tous ensemble en 2023, plus que jamais, à rendre l’espoir d’une vie meilleure pour notre civilisation et pour tous.

Et surtout renonçons fermement à continuer à surfer sur la vague des mauvais ressentiments trop souvent signalé et promu médiatiquement qui nous éloignent du bon sens humaniste et de la solidarité partagée. Ne laissons pas s’éteindre les effets du siècle de lumière et des révolutions qui se sont suivies pour pouvoir progresser. La régression en s’aliénant en plus, à suivre de néfastes idées n’apportera aucune solution satisfaisante.

Le changement sociétal redeviendra possible qu’en retrouvant une majorité de bons sens en faveur d’une union populaire ayant le désir de mieux vivre, ce qui sera positivement possible qu’en additionnant les volontés d’être et d’agir ensemble.

Un vœu simplement réalisable en 2023, si nous le voulons tous et sauront judicieusement changer de cap mental pour laisser la place à de plus heureuses aspirations.

Sauvons la planète, autant que la civilisation d’un bien-être collectif et démocratique.

70 ans en 2023, comme un nouveau futur

En 2023, en année numérologique 7, prendre du recul à chaque fois que cela devient nécessaire devrait devenir un réflexe chez vous et pour moi… en cette année j’aurai 70 ans, un nouveau pic, un nouveau cap d’espérance, une fin de… voyons ensemble ce qui devient la durée des possibles.

Voici la  définition du Wiktionnaire, le dictionnaire libre et gratuit que chacun peut améliorer , «septuagénaire» est limitatif aux personnes âgées de 70 ans alors que selon le LAROUSSE, plus optimiste, septuagénaire s’appliquerait aux personnes dont l’âge se situe entre 70 et 79 ans. 

L’une des plus belles conquêtes lorsqu’on est arrivé à l’âge du temps libéré des contraintes professionnelles est sans doute de découvrir qu’avec cette liberté retrouvée nous pouvons enfin être désormais infiniment soi.

Peu à peu, nous découvrons le pur plaisir d’avoir le privilège du désir de poursuivre l’expérience du temps qui passe et de la vie qui s’écoule au rythme que l’on aura choisi. De vivre aussi intensément l’instant présent comme s’il ne devait jamais plus se reproduire.

Nous pouvons désormais, nous libérer de nos automatismes, de nos contraintes d’images, de nos actes retenus par convention. Nous avons aussi la liberté de penser à loisir, d’être soi parmi les autres sans obligations et tel(le) que nous voulons l’être.

Il s’agit dès lors d’une inestimable conquête sur le temps psychologique. Ce temps qui se constitue peu à peu, par l’accumulation des souvenirs. Par l’expérience acquise lors de nos apprentissages et les techniques apprises pour vivre et survivre, et aussi par les choix concrétisés par une mises en pratique, tout ceci pour pouvoir nous rendre la vie plus agréable.

Nous voilà mieux renseigné, et peu à peu, petite dose après petite dose, l’âge étant venu faire son œuvre handicapante, s’insinue alors comme un virus dans notre pensée, le désir de s’ouvrir au temps des renoncements au moment où tous les jours ressemblent désormais plus que à des dimanches.

« A soixante-dix ans commence l’été indien de la vie » nous dit avec raison Edwin Schneidman un célèbre psychologue clinicien spécialiste et professeur en thanatologie. La probabilité de mourir à 70 ans est de 1,62 % pour les femmes et de 2,41 % pour les hommes. 73 % des hommes nés la même année seraient encore en vie à cet âge et 82 % des femmes selon certaines études américaines.

Nous avons enfin le beau temps d’avoir que du plaisir et de pouvoir se nourrir de la pensée des autres sans avoir de restriction par la contrainte du temps. Et puis nous avons aussi le temps précieux pour apprendre aussi, qu’être c’est désirer, désirer c’est ressentir ce qui est bon pour nous dans le but d’aller vers notre épanouissement.

Nous pouvons constater que c’est bien le manque du désir qui nous affaiblit et parfois nous aigrit,car souvent nous nous trompons sur que nous voulons et sur la qualité des événements qui nous arrivent. C’est ainsi en faisant appel à son intelligence que l’être humain rectifiera ses connaissances et pourra retrouver le chemin de la satisfaction de ses désirs.

C’est souvent en raison de nos désirs inconscients mal satisfaits que naîtra et apparaîtra le pire, de notre mal être dans la vie.

Ceci écrit en préliminaire avec l’espoir de positiver le devenir, entrons sans retarder dans le vif des propos plus réalistes de ce texte :

Les renoncements du corps

Entre 30 et 70 ans, les muscles pèsent 2 fois moins lourd, la densité osseuse diminue, entraînant une diminution de la force, parfois une perte de l’équilibre et elle rend nos articulations plus fragiles nous apprennent les ultimes résultats de la recherche en médecine. De la même façon, la cage thoracique perd de son élasticité provoquant une réduction de la capacité respiratoire.

Il devient donc raisonnable de modérer ses efforts et de penser à entraîner son corps par des petits exercices physiques simples quotidiennement et de maintenir ses facultés mentales et cognitives actives en compensant les pertes de motivations dues à nos renoncements de vie provoqués par la condition de notre nouvelle inactivité.

Nous avons donc plus de temps pour soi et nous pourrions atteindre l’absence de douleur dans le corps et de turbulence dans le mental, en accordant seulement de l’importance à nos désirs naturels et nécessaires, selon ce que dit la sagesse populaire.

Il serait enfin temps de vivre selon les préceptes d’Epicure : Les désirs étant des choses naturelles et nécessaires : par exemple, nourriture, sommeil, abri, exercice du mental, etc. Sans eux, il sera impossible de bien vivre en bonne santé et d’être vraiment heureux, et la vieillesse ne pourra dès lors plus-faire ce qu’elle croit encore savoir-faire, il deviendra dès lors très urgent de bien satisfaire principalement que les besoins primaires de base.

Les renoncement au temps qui a passé

La retraite est l’occasion de réaliser les rêves, mis entre parenthèses durant la vie active, la retraite signe ainsi pour certains des remises en question, des regrets, le sentiment de ne pas avoir suivi ses rêves ou de s’être peu réalisé selon ses désirs. Le risque de tomber dans la dépression est bien réel et doit donc être pris au sérieux mais l’âge nous offrent aussi diverses possibilités nouvelles.

Et… Evitons d’emprunter seulement le boulevard de la dépression comme nous l’a suggéré avec un certain cynisme Fabrice Lucchini au cours d’un interview donné à la veille de célébrer ses soixante-dix et un an.

A l’heure de faire de nouveaux choix d’activité, on peut donner du sens à notre vie en fonction de notre personnalité et de nos talents :

  • Être utile à la société, en devenant un bénévole actif dans une association ;
  • Transmettre ses connaissances et ses expériences, en donnant des cours, en tenant des conférences, en aidants des jeunes, des enfants ou petits-enfants à mieux évoluer ;
  • Voyager et découvrir, de nouveaux horizons, de nouvelles passions en profitant de tarifs réduits en hors-saison ou concédés en privilège de l’âge survenu.

Les Renoncements à souffrir du mal de vivre vieux

Être septuagénaire, c’est donc s’affranchir des contraintes du temps et commencer à respirer seulement avec le but de pouvoir ressentir de la joie de vivre le plus souvent possible. C’est choisir plus souvent de penser positivement et de renoncer négativement, peu à peu, à craindre l’avenir du pire.

C’est aussi s’adapter aux nouvelles réalités que notre rythme biologique et notre physique nous imposent. « Vivre ne serait-il pas simplement profité d’être là » comme le disait avec sagesse Jean Cocteau.

Trouvez donc ce qui correspond à votre réel besoin à satisfaire et ainsi peu à peu vous deviendrez l’acteur(trice) qui concrétise son désir consciemment, en retirant le plus grand plaisir de vivre.

Le temps est venu enfin, sans autre contrainte, de faire le choix de vivre notre désir en pleine conscience, pour concrétiser alors notre recherche du plaisir. Un plaisir qui devient de plus en plus nécessaire à notre qualité de vie jours après jours. De la compréhension de la vraie nature de votre désir naîtra votre meilleure et durable source d’équilibre pour nos années à venir.

Pensez un peu à ce qui précède, pesez franchement les existentielles questions nécessaires et relisez cette invite encore une autre fois et vous verrez comme cela vous fera du bien dans votre quête du bonheur tous simple de vivre heureux(se).

Mais attention car il y a aussi les pièges auxquels il faut échapper. Celui des attentes insatisfaites, de nos espoirs déçus qui reviennent à la surface, des regrets de ce que nous n’avons pas pu réaliser, des efforts que l’on ne peut plus faire, des trop beaux souvenirs que notre physique ne pourra plus revivre.  Il ne faut pas que le temps psychologique nous conduise à choisir de vivre dans un ailleurs qui serait demain ou hier. Vous voilà prévenu(e) !

Selon vos choix et si tout va bien pour vous, voilà ce que pourrait devenir avec un peu de bonne volonté, ce nouveau printemps d’un futur confortable… pour pouvoir le vivre essentiellement, plaisamment et en satisfaisant le rythme de nos besoins et désirs naturels.

Et surtout n’oubliez pas le plus important, que l’homme ou la femme qui renonce à vivre ses rêves vieillit beaucoup plus rapidement.

En vous souhaitant le meilleur des possibles pour cette nouvelle année de jeune apprenti vieillard, ne dit-on pas que 70 ans n’est que la porte d’entrée dans le grand âge.

Cultivons simplement le plaisir de vivre

La vraie sagesse de la vie… « Est savoir découvrir le merveilleux des petites choses, jour après jour. » et les plus belles toiles de sa vie sont celles qui se tissent avec les intentions que l’on a dans le cœur.

Le réel savoir vivre est de recevoir chaque jour l’instant plaisir qui apporte la joie permettant d’oser s’amuser et se détendre afin de rendre agréable sa vie et celles des autres.

La gentillesse est le sésame de toute relation humaine heureuse et satisfaisante. Il ne faut jamais craindre le bonheur qui est juste un bon moment à vivre.

Apprendre à positiver c’est savoir dire merci à la vie et le vrai secret du bonheur est être simplement heureux avec ce que tu as pendant que tu continues ce que tu désires.

Le regard de l’autre n’est pas le plus important c’est ce que tu décides d’être dans la relation qui est l’indispensable. L’opinion de l’autre n’est vérité que pour celui ou celle qui l’exprime.

Dans la vie, ni on gagne, ni on perd, ni on échoue par prudence ou triomphe par excès. Dans la vie on apprend, on grandit, on se découvre, on tisse, on file et parfois on se défile, puis, on recommence chaque jour.

N’oublie jamais que ta vie est une flamme qui finira par s’éteindre si tu ne l’alimentes pas de tes rêves tout en sachant cultiver le jardin secret de tes désirs qui t’offre joie et plaisir simple pour vivre heureux.

On ne peut pas changer l’être humain, ni le rendre heureux par la contrainte, on peut juste faire appel à sa conscience et lui apprendre à reconnaitre sa capacité à se connecter à son désir de vivre mieux.

Ne cessez jamais d’écouter cette petite voix intérieure émanant du cœur et parfois de la raison qui vous dit que cela en vaut la peine.

Et comme la si justement écrit Friedrich Nietzsche « on trouve bon goût que à ce qui nous fait du bien et le plaisir et la peine ne sont rien que des antithèses ».

La véritable sagesse n’est que l’émerveillement pour les petites choses qui rendent agréable la vie.

Réponds donc à tes envies, simplement avec justice et bon sens et le reste de ta vie trouvera sa bonne place naturellement. Nous sommes juste « ici et maintenant, la continuité d’hier et le rêve de demain » sans autres fanfaronnades ni soumission á un ego surdimensionné.

N’en déplaise aux croyants rigoristes qui promotionnent l’idée du pêché à ne pas commettre depuis plus de 2000 ans, aux castrateurs ou castratrices de la pensée bienveillante qui prodiguent les conseils du bien être pour l’autre qui n’est jamais bon de s’imposer à soi.

La nécessaire jouissance des délices du plaisir à ressentir et à partager est depuis la naissance de l’humain sur cette planète, ce qui génère la satisfaction, la joie de vivre et le plaisir de vivre afin de répondre à l’appel de son désir d’un futur plus agréable.

Il serait sot et une erreur fatale avec de graves conséquences que de se priver des bienfaits du bonheur et de cette indispensable raison qui nous permet d’apprécier la qualité du ressenti du plaisir de vivre.

Autres petits parfums de vie d’avril 2022

Idées et pensées du mois :

Rêver, c’est aussi le bon temps pour commencer à agir pour.

Agir pour, sera toujours le plaisir d’une grande expérience à bien vivre.

Positiver, est la plus agréable façon de survivre sans souci.

L’accomplissement du destin, est tout ce qui n’a pas été prévu.

La sagesse sait surtout, ce que l’on ne veut plus avoir à revivre.

Le temps qui passe efface les rides des anxiétés mal vécues.

Demain, sera toujours l’aube d’un meilleur temps à vivre.

J’aime facilement car je ne veux plus avoir à haïr dans ma vie.

La vie est jolie quand on sait la prendre que du bon côté.

L’arrivée du printemps est le délicieux moment venu, pour oser écouter son cœur.

Si tu es trop parfait tu n’es plus réel.

Continuer à guetter ma mort, elle aussi te surprendra bien assez tôt.

Autres petits parfums de vie de janvier 2022

Sagesse et pensées du mois :

Le hasard aime ceux qui osent le vivre.

La générosité naturelle est un don qui ne dépend pas de la fortune, ni de ce que vous avez, mais plutôt de comment vous êtes prêt à l’offrir.

C’est avoir l’espérance du meilleur qui le rend possible.

La sagesse dans une vie, réside peut-être en savoir ignorer ce qui n’en vaut pas la peine.

Le bonheur est dans l’art de positiver le possible.

L’échec assuré c’est de ne jamais oser essayer.

Aucune anxiété ni angoisse prépare sereinement l’arrivée de l’avenir.

Je suis vrai pour tout et cela sera, jusqu’au bout de ma vie.  Mon ultime choix !

Apprendre à vieillir ou subir l’oraison d’un futur détestable ?

Après la soixantaine proche des 70 ans, apparait, l’utilité d’apprendre à revêtir le vêtement du déguisement du vieillard qu’il va falloir commencer à porter. C’est aussi le moment où se vit la crise de la soixantaine que l’on nomme pour l’homme, l’andropause, la déliquescence de certaines de nos hormones.

L’objectif de l’andropause n’est pas de tenter de préserver une jeunesse éternelle, mais de préparer l’homme à son nouveau rôle en tant que personne plus âgée que les autres, devenu du troisième âge, à l’aube d’une nouvelle vie souvent accompagnée par l’arrivée des problèmes d’absences que provoquent la retraite du monde du travail et la diminution de certaines facultés.

Qu’elle interroge, séduise ou angoisse, la soixantaine laisse rarement indifférent !

Pour pouvoir mieux vivre la suite de sa vie, il faudra passer par une étape d’introspection, d’acceptation de soi et de ses facultés, qui elles se réduisent, et d’apporter une réflexion sur les sens à donner à sa vie. Plus nous vieillissons, plus nous faisons face à des simples questions existentielles qui prennent désormais toutes leurs importances.

L’apprentissage du bien vieillir, c’est acquérir des capacités nouvelles qui vont nous permettre de voir, de juger, d’évaluer différemment la réalité qui s’offre à nous autrement, de comprendre. C’est aussi décider qu’est-ce que je fais de ma vie maintenant ? Quelle signification je lui apporte ? A qui je me dédie et avec qui je partage mes nouvelles joies dans ma vie ?

C’est parfois l’occasion de revisiter notre passé. De dresser un premier bilan de ce qui a été, d’accepter les circonstances de son histoire et les conséquences de ses blessures.

Certes, nous n’avons pas les moyens de changer ce qui est le passé, mais nous pouvons l’assumer parfois en comprendre les raisons. Cet l’occasion d’admettre que nous avons commis des erreurs, reconnaître nos failles, nos fragilités et définir nos nouvelles attentes pour le futur.

Parfois on cherche à tout contrôler, alors que la soixantaine et ses nouveaux enjeux nous appellent simplement à un certain détachement et à la contemplation de la nature, de soi et des autres. Certains appellent cela le lâcher prise.

L’antidote aux troubles de la soixantaine est donc de trouver de quoi s’émerveiller encore, de prendre le temps de voir et d’observer la nature des faits et des circonstances qui nous arrivent, de savourer le temps retrouvé pour faire, en priorité, que ce qui nous plaît et ce qui nous paraîtra juste.

Cela n’a rien d’égoïste. C’est plutôt une expérience rassurante de l’estime de soi, un dialogue avec la meilleure façon de vivre. Il ne faut jamais culpabiliser de prendre du temps pour soi. La culpabilité n’apporte rien de bon et n’est pas constructive. Ces moments de « recueillement » et de « méditation » sont absolument nécessaires pour se retrouver soi-même et pouvoir ensuite, aller mieux vers les autres.

« S’étonner n’est-il pas le plus sûr moyens de ne pas se laisser vieillir trop vite » (Citation de Hubert Nyssens) afin de ne pas tomber dans la gérascophobie ou thanatophopie.

La thanatophobie (dérivée du grec thanatos, la mort) correspond à la peur de la mort. Elle peut se manifester par l’impossibilité de se rendre dans un cimetière, par l’évitement systématique de toute situation contenant une part même minime de risque, ou encore par des angoisses terribles à la simple évocation de la mort. Plus qu’une frayeur liée à la représentation de la mort, cette phobie cache souvent la peur bien réelle éprouvée par le malade à l’idée de mourir lui-même. Les êtres humains qui éprouvent la peur de la mort souffrent étant confrontés à des crises d’angoisse, à des accès d’insomnie. D’autres sont dans l’incapacité d’aller se coucher le soir, par crainte de ne pas se réveiller.

Le décès de proches peut naturellement être le facteur déclenchant d’une thanatophobie. Les conséquences peuvent donc être sociales (replis sur soi, isolement), familial (peur de l’engagement, refus de fonder une famille) ou même professionnelles (refus de conduire ou d’utiliser un engin).

La gérascophobie est-elle, la peur de vieillir, elle est une source d’anxiété et les gens qui en souffrent vivent dans la crainte du temps qui passe et de ses conséquences. La personne gérascophobe peut utiliser des artifices pour masquer son vieillissement comme crème antirides, lifting, automédications diverses pour retarder les signes de vieillesse ou en s’adonnant à une pratique sportive intensive. Son miroir l’obsède, il est souvent son meilleur ennemi. Les réassurances de l’entourage ne le confortent pas. Il devient négatif, déprimé voire dépressif et/ou anxieux ce qui peut entraîner des répercussions sur son entourage.

On pourrait leurs suggérer de prendre le temps d’observer la nature de leurs peurs… Et ils s’apercevront… Quelles sont souvent imaginaires dans de trop nombreux cas.

Tout n’est-il dans l’art de savoir bien vieillir, de vouloir ce qui est bon pour soi et d’en jouir pleinement ? C’est également découvrir que chaque jour n’est pas un droit acquis mais un temps nouveau à conquérir avec bonne humeur et en ayant l’audacieuse envie de prendre le temps de vivre quelque chose de bon et de différent. Surtout prends le temps de garder une place pour le sourire, il est le seul et meilleur lifting naturel à moindre frais.

Le secret du bonheur et pour vivre une bonne vieillesse, est être simplement heureux avec ce que tu as pendant que tu continues ce que tu désires. L’autre secret est avoir appris à positiver, à dire merci à la vie et aux autres pour ce qu’ils nous offrent.

La Solitude, une regrettable incapacité sociale que l’on s’impose parfois ?

Être solitaire peut être un choix ; le ressenti de la solitude ne l’est jamais selon le poète Khalil Gibran et selon Voltaire « La solitude est la pire des compagnons mais l’amour en est le remède. Selon Mère Teresa « La solitude et le sentiment de n’être pas désiré sont les plus grandes pauvretés. Le secret d’une bonne vieillesse ne serait rien d’autre que la conclusion d’un pacte avec la solitude selon l’écrivain Gabriel Garcia Marquez.

Selon Wikipédia la solitude (du latin solus signifiant « seul ») est l’état, ponctuel ou durable, d’un être humain seul qui n’est engagé dans aucun rapport avec autrui. Dans ce cas, elle réfère à l’isolement social, le fait de, physiquement, ne pas être en contact avec d’autres humains (ou animaux). Certains auteurs parlent de solitude objective pour la distinguer du sentiment (subjectif) de solitude. La solitude, en effet, réfère également à un sentiment, le ressenti d’une émotion : c’est le fait de se sentir seul et d’en souffrir. Dans ce sens, elle est décrite comme une souffrance sociale.

La solitude est très différente selon qu’elle est choisie ou vécue comme subie.

L’isolement social peut s’accompagner de troubles émotionnels et comportementaux de la personnalité et/ou handicaps physiques et incluent l’anxiété, les peurs paniques, les troubles des conduites alimentaires, les addictions, les dépendances aux substances, la violence et autres maladies généralisées.

Selon un extrait de la revue française Psychologie, « Une vie relationnelle satisfaisante est l’un des principaux facteurs de notre épanouissement personnel. De nombreuses études ont montré qu’être entouré, pouvoir échanger et partager avait un impact positif aussi bien sur notre santé psychique que notre santé physique. Dans notre monde hyperconnecté, la solitude aurait dû perdre du terrain à mesure que les moyens de communiquer se diversifiaient et se perfectionnaient. Ce n’est pas malheureusement pas le cas. En France, cinq millions de Français de plus de 18 ans souffrent de la solitude, soit 12% de la population. Un phénomène qui va s’accentuant (+ 1 million par rapport à 2010) et qui pour la première fois touche les 18-29 ans, jusque-là épargnés. Ils sont désormais 6% à se sentir seuls (Source : Rapport de la Fondation de France sur les solitudes, juin 2013) ».

Les pessimistes pensent que la solitude finit toujours par gagner : tu es né seul… tu mourras seul… Mais si la solitude nait avec la vie et s’en va avec la mort, elle n’est que la triste ironie de notre vie celle qui nous accompagne tous les jours face aux décisions les plus importantes à prendre et qui s’imposent.

C’est donc bien dans la solitude ignorante que le pessimisme sommeille et que la solitude n’est souvent qu’une mauvaise compagne qui ne tient pas ses promesses. Selon Jean Prieur, Professeur, écrivain et historien, « Une des malédictions de la solitude, c’est qu’elle vous contraint à penser excessivement à vous-même ».

Pour certains philosophe la solitude est que l’expression de l’état de la pensée  et  parfois « la solitude vivifie quand c’est l’isolement qui tue ». Gaëtan Faucer, dramaturge, aphoriste, poète et nouvelliste, estime-lui que « la solitude, c’est avoir besoin des autres avec modération ».

Ainsi on peut écrire que la solitude n’est pas toujours mauvaise en soi, mais que la plus désagréable sensation, sera-elle, d’avancer mal accompagner et de se sentir seul.

Le philosophe Emil Cioran qualifie « La solitude est l’aphrodisiaque de l’esprit, comme la conversation celui de l’intelligence. Selon la sagesse orientale, il faut fréquenter le monde car la solitude est une folie à demi.

Dans notre société occidentale basée sur les préceptes de la religion chrétienne, certains sages pensent que la solitude est le prix que l’on paie pour être indépendant et que cela pourrait-être la débilité du faible et la sagesse du fort

On ne rompt avec la solitude qu’avec le temps et le désir de l’autre, nous suggère Voltaire et Yvon Rivard, écrivain et professeur québécois, ajoute « On croit que la solitude est la meilleure façon de se connaître, c’est une erreur que la vie se charge, tôt ou tard de réfuter.

Conclusion ce qui est vérité est que chacun (chacune) a pu ressentir que la solitude est toujours pire quand on est seul et peut être aussi une prison choisie temporairement pour sortir de l’impasse d’une relation insatisfaisante. Il arrive même dans la vie que parfois la solitude vaut mieux qu’une mauvaise compagnie.

Avec un fort désir de tendresse en plus, la solitude choisie sera plus douce et bien plus agréable à vivre à deux. Le bonheur le plus agréable n’est-il pas celui qui est partagé.

Dans tous les cas soyez l’architecte de vos choix et de vos envies selon votre goût et en accord avec votre plaisir de vivre. C’est votre liberté de choix.

Ne laissons pas tuer le rêve …

Par les mauvais  temps qui courent, l’incertitude peut facilement tuer le rêve de chacun et aussi la confiance en soi, du plus fort d’entre nous, en un rien de temps.   Aussi, dans le monde dans lequel nous vivons, la peur de l’échec devient paralysante pour toute bonne volonté d’agir. Elle devient parfois la source des pires autocensures.

L’interdiction proposée par tout pouvoir contre une envie de vivre un rêve partagé conduit toujours à faire mourir une civilisation. Cela précède généralement aussi la fin du gouvernement, mal inspiré, qui a voulu imposer ce mauvais choix. Il ne faut jamais laisser tuer le rêve humain ou il se produira toujours le pire pour la société.

Le rêve partagé est une nécessité vitale pour survivre et les politiques ont intérêt à jamais l’oublier. De nombreuses conséquences dramatiques, de grandes révolutions dans l’histoire nous ont prouvé que cela conduit généralement à une fin d’époque. Si les politiques suppriment ou veulent réduire cette possibilité humaine de rêver et d’avancer pour survivre, de progresser, alors ils commettent le plus grave génocide étique de la pensée. Ils deviennent, les traîtres dans leurs fonctions les plus honorables, celles d’être au service de l’ensemble des citoyens pour améliorer les conditions de vie, ceci encore plus, quand ils décident de légiférer pour supprimer ou réduire des droits démocratiquement acquis.

En une société que l’on espère rester toujours démocratique, combien de personnes laissent mourir leurs espoirs pour de mauvaises raisons ? Quelle est cette fatalité dramatique qui fait penser que l’on ne peut plus, individuellement ou collectivement, imaginer un autre chemin à suivre pour aller vers un destin plus positif ? 

Bonne nouvelle, nos problèmes d’aujourd’hui, peut être surmonté. Nous devons utiliser notre capacité de penser, d’objectiver, de réfléchir, de trouver le juste équilibre pour examiner de plus près le bon côté de la situation et pas seulement le mauvais revers de la médaille. Le rêve doit être le point de vue créé par un désir conscient ou inconscient de la pensée. En fait, l’espoir d’un temps nouveau, est bien plus que cela, il est le filtre positif de l’imagination qui permet de tout concrétiser selon sa volonté. Il est également le moteur le plus puissant à notre disposition pour progresser et résoudre les principales difficultés que nous rencontrons dans la vie. Tout humain a eu, au minimum, un rêve qui a changé sa vie.

Saurons-nous, réapprendre au plus vite ? A tout simplement rêver la meilleure solution pour ensuite décider d’agir ? Saurons-nous dissiper cette chape de nuages sombres qui s’appesantissent afin retrouver le plaisir de ressentir les effets d’un soleil resplendissant sur notre vie ?

Nous devons savoir que notre aptitude à penser est également prévue pour voir les choses positives et négatives. Par conséquent, nous devons prendre le temps de choisir entre les deux tendances pour mieux agir. La meilleure façon de défier l’adversité ne consiste pas avoir peur de tout, d’abandonner toute action, on doit avant tout douter de notre interprétation négative et estimer la valeur positive de chaque événement pour trouver la base réaliste avec laquelle on peut atténuer nos propres insuffisances et ainsi avoir de nouvelles idées pour renverser la vapeur.

Jusqu’à quand allons-nous continuer à être masochistes et donner uniquement de l’importance qu’aux mauvaises nouvelles ? Aux mauvais pouvoirs ?  Pouvons-nous continuer longtemps à être les jouets des manipulateurs, qui seulement veulent conquérir de nouveaux bénéfices à nos dépens ? Tel est leurs objectifs, et nous ne devrions pas continuer à être complice de leur désir de nous imposer les nouveaux esclavages.

Nous devons savoir identifier les causes de nos émotions ressenties et voir ce qui se passe, il est très rare qu’une seule cause créent nos ressentiments ou que ce qui nous arrive soit seulement de notre propre responsabilité.  Il faut imaginer d’affronter la réalité avec plus d’une solution pour que surgisse la meilleure idée pour agir efficacement.

C’est notre raison alliée à notre volonté qui fait que notre bonheur peut redevenir durable, seulement si nous le désirons. Il n’y de pire douleur, de pires chaînes que celles que nous acceptons de nous imposer injustement par peur d’affronter une réalité. Nous ne pouvons pas seulement espérer un jour meilleur, souffrir sans réaction, c’est le moment d’agir pour changer les choses. Retrouver notre liberté d’être. Chacun(e) a son niveau, nous pouvons agir, même en faisant un peu, pour enfin pouvoir s’offrir une vie meilleure.

N’attendez pas demain pour avoir plus de chance, nous devons perpétuellement inventer de nouvelles solutions pour construire les nouvelles bases qui correspondent à notre volonté de vivre mieux. La vie change constamment, nous devons nous adapter aux nouvelles circonstances qui nous affectent avec intelligence et objectivité. Ainsi l’incertitude ou la volonté de l’oppresseur n’osera plus vouloir tuer le rêve.


En conclusion, personne, aucun esprit imaginaire ou dieu, ne va rien te donner, si tu ne fais rien pour changer ton propre horizon, ton point de vue.

 Nous avons tous la capacité humaine de concrétiser notre désir par le rêve, la réalisation de nos meilleurs projets dépendent pour l’essentiel de la persévérance que l’on met à réaliser ce rêve de vivre mieux. Du rêve nait aussi la nécessité d’agir. Rêver c’est aussi parfois compenser la dureté de la vie en élaborant une nouvelle espérance, et comme a écrit Paulo Coelho, « une seule chose peut rendre impossible le rêve, la peur de l’échec ». Sur ce thème, j’aime cette pensée africaine du Mali qui dit que « le chemin le plus court pour aller d’un point à un autre c’est toujours le rêve ». Je pense aussi comme Christiane Singer, auteur suisse, morte d’un cancer, que «la personne qui ne laisse pas la réalité l’éloigner de son rêve est un sage ».

Autres petits parfums de vie / Juillet 2021

Les pensées du mois :

Hésitation… C’est sûrement, quand l’inconscient a déjà pris une décision.

Parfois, le bonheur parait si simple à vivre qu’on ose plus l’apercevoir au premier coup d’œil, de peur de le perdre.

Si les gens savaient mettre autant d’énergie à aimer qu’ils osent le faire pour te décevoir, nous vivrions tous dans un monde exceptionnellement merveilleux.

Que l’unique religion qui s’impose à l’avenir soit sans croyance et hypocrisie… vivre simplement le ressenti bénéfique de l’amour avec sa naturelle joie de vivre. Et… l’humanité aura, c’est sûr, choisi de faire un très grand pas !

Juillet 2021 / Juillet 2022, un an de plus à vivre ? Merci la vie !

« Suis-je mort pour les autres ? »

Voilà une interrogation de Publius Syrus qui m’interpelle aujourd’hui car elle chausse bien l’état de ma pensée et mon doute existentiel du moment présent.

Moi qui ai passé mes septante premières années à me soucier prioritairement des autres, à échanger des multitudes de mots et de services avec eux. A convivre le mieux possible avec ceux que j’ai pu ou j’ai su aider. Toujours humainement à l’écoute de ceux et celles qui pouvaient en avoir besoin. Retournement de situation, depuis 2007, je suis depuis, uniquement, centré sur moi et mes pensées et je peux aussi constater que le temps de l’oubli fait très rapidement son œuvre.

Désormais mon téléphone ne sonne plus que pour ceux qui ont gardé encore un peu d’estime et de sympathie pour moi ou ceux (celles) qui veulent me vendre une nouvelle compagnie de téléphone ou un fournisseur d’électricité, quelquefois une compagnie d’assurances. Ainsi, je peux vérifier le dérisoire d’une vie très remplie car, après quelques années, ils restent de ma multitude de contacts finalement très peu de gens pour se souvenir encore de moi.

Heureusement, il y a le virtuel, Facebook et les autres réseaux sociaux pour me signaler encore l’existence de quelques personnes qui me ravivent en pensée et avec plaisirs des très bons souvenirs vécus ensemble.

Ainsi peu à peu, mon router et la fibre internet sont fidèlement devenus, mes seuls témoins de ce village planétaire décrit dans 1984, par George Orwell.

Je peux aussi constater qu’observer les tumultes de la vie n’a plus la même saveur que d’en être un élément hyperactif, voir survivant au stress quotidien. Il est vrai que l’on garde que le bonheur que l’on peut comprendre avec sa propre capacité de le vivre pleinement. Que le bonheur d’hier n’est pas de la même nature que celui d’aujourd’hui et qu’il n’aura jamais la délicieuse saveur de la découverte de celui à vivre demain ?

Si l’on peut ressentir souvent un plaisir identique on revivra rarement le même bonheur deux fois.
Selon la définition de Wikipédia : le bonheur (étymologiquement la bonne fortune [entendre dans « fortune » : ce qui arrive de bien ou de mal]) est un état durable de plénitude et de satisfaction, état agréable et équilibré de l’esprit et du corps, d’où la souffrance, l’inquiétude et le trouble sont absents. Toujours selon la même source : le plaisir est le nom générique de la satisfaction d’un besoin physique, affectif ou intellectuel ou encore de l’exercice harmonieux d’une fonction vitale. Le plaisir procure à l’être vivant une sensation agréable et recherchée.

« Les hommes sont malheureux parce qu’ils ne réalisent pas les rêves qu’ils ont eu » énonçait Jacques Brel. Voilà une douloureuse affirmation qui m’amène à me poser d’autres questions. Aurais-je encore envie de réaliser des rêves après les décrépitudes ou les vicissitudes des ans qui amoindrissent chaque jour davantage mes forces ?

Puis-je encore entreprendre et réaliser quoi que ce soit ? Ouille ! Ouille ! voilà des délirantes questions auxquelles il n’est pas simple de répondre sans déprimer un peu. Je vais y réfléchir et je pourrai vous répondre dans quelques mois ou quelques années. Après méditacion, et quand sans stress, j’aurai aussi encore… un peu plus d’expérience.

A l’aube d’une année de plus, à vivre, le plus agréablement possible au jour le jour.

Entre le positif et le négatif

Nous avons en nous des qualités humaines qui aspirent à exprimer naturellement l’aspect positif dans toute situation cependant notre éducation et notre expérience, nos craintes, de la vie nous conduisent à ressentir exclusivement et plus fortement l’aspect négatif des choses.

Pourquoi cette attraction morbide et masochiste semble guider prioritairement nos décisions et principaux actes de vie de façon si peu réaliste ? Pourquoi le conditionnement vers le négatif a-t-il pris tant d’importance à nos yeux et dans la société ?

Serait-ce un manque de confiance en soi et dans les autres ?

Auguste Comte fondateur du positivisme nous dit que l’humain passe par trois états : selon lui le mental humain passe successivement par « l’âge théologique » celui où l’on croit, par « l’âge métaphysique » celui où l’on s’interroge sur l’univers et les autres, pour aboutir enfin à « l’âge positif » quand on choisit de devenir ce que l’on désire?

Commençons par examiner ce que l’on nous dit sur le mot positif : Selon divers dictionnaires le mot viendrait du latin positivus (posé) qui repose sur quelque chose de connu où d’établi comme conventionnel. Positif est donc ce qui peut être posé, dans la nature du fait ou se fonde sur les faits. C’est ce qui est établi par les lois et par les coutumes des hommes, qui appartient au domaine de l’expérience et ce qui exclut l’incertitude. Le positif est ce qui repose sur l’existence de quelque chose de réel, d’effectif, de favorable et qui apporte quelque chose de bénéfique, de souhaitable et tout ce qui ne se définit pas par la négation. C’est également ce qui est certain, constant, concret, sûr, de qualité affirmée, donc affirmatif, solide par opposition à ce qui est chimérique.

Issu du latin negativus, le négatif est moins commenté dans les dictionnaires, il est ce refus qui n’apporte rien de constructif, qui donne un mauvais résultat, qui critique. C’est ce qui détruit apporte maux, souffrances et qui nie, ce qui est dépourvu de qualité positive par opposition.

Dans tous cela, le principal organe de l’action humaine reste la pensée grâce á elle tout commence ou recommence. Vos pensées sont positives ou négatives selon votre angle de vue et votre perception. Vous avez le choix entre positiver le possible ou craindre le pire. Sans faire ce choix parfois la pensée de l’humain devient sa propre prison.

L’être humain passe son temps à se poser des questions, bonnes ou mauvaises, consciemment ou pas, il a aussi la possibilité de programmer ses désirs et intentions en utilisant la P.N.L.

La programmation neurolinguistique (PNL) est une méthodologie née pour agir sur son comportement personnel, dans les années 1970 aux Etats-Unis. Cette méthode, qui n’a pas que des adeptes, vise à décrire puis à reproduire des comportements efficaces, à améliorer la communication entres individus et à s’améliorer soi-même.

Elle utilise la modélisation qui consister à observer des comportements de réussite, d’en déterminer les conditions de succès et de les reproduire aux mieux. Cette méthode connue des thérapeutes, utilisée par certains enseignants est également utile pour améliorer les résultats de sportifs, managers, artistes, étudiants. Elle est devenue un outil majeur et performant pour les informaticiens.

Elle est utile pour positiver, outil essentiel à ta disposition pour éviter de laisser les émotions négatives prendre le dessus, embellissant ainsi ta vie et obtenir finalement ce que tu souhaites. Pour aider à être et aussi devenir plus heureux.

Vivre n’est-ce pas renaître un peu chaque jour avec de nouvelles émotions à partager ? Chaque jour est également le résumé de ta vie et l’image que tu pourras ajouter à ta mémoire. Le regard de l’autre n’est pas le plus important c’est ce que tu décides d’être qui est l’indispensable. La vie est faite de la gratitude qui s’inscrit dans ton histoire en étant également la mémoire du cœur selon Lao Tseu.

On ne peut pas changer l’être humain, on peut juste faire appel à sa conscience et lui apprendre à reconnaitre sa capacité à se connecter à son désir de mieux vivre. Mais parfois ton cœur a besoin de plus de temps pour accepter ce que ta raison sait déjà.

Bonne attitude et aptitude

Il y a ce que la vie t’offre et puis ce que tu en fais. L’attitude est la manière de tenir son corps et la position qu’on lui donne, c’est avoir un comportement qui exprime un sentiment et une émotion qui visualise la qualité de son savoir être

Selon le dictionnaire Universalis le mot attitude proviendrait du latin aptitudo. Son sens primitif appartiendrait au domaine de la plastique : « Manière de tenir le corps ».

Selon d’autres sources les attitudes expliquent les réactions de l’individu qui a un comportement social face à une tâche à accomplir, dans une situation devant laquelle il se trouve confronté et quand il doit réagir. Parfois l’attitude est également la manière que l’on a choisi de paraître devant quelqu’un, aussi quand on veut exprimer des résolutions prises ou dans les cas où l’on veut sembler être.

L’attitude s’articule autour de trois composantes distinctes :

Cognitive : les connaissances que l’on possède sur l’attitude.

Affective : affects, sentiments, états d’humeurs que la personne suscite.

Conative : consiste en une disposition à agir de façon favorable ou défavorable vis-à-vis de la personne.

C’est souvent la réunion de ces 3 composantes qui génère la bonne attitude.

Notre bonne attitude est définie par nos bons sentiments et nos bonnes pensées, le fait de choisir d’avoir une bonne attitude peut changer notre vie, on peut aussi changer sa manière d’être et s’améliorer selon sa volonté pour mieux vivre.

On peut modifier son attitude en se référant à la beauté et à ce que l’on désir d’agréable ou encore en s’engageant sur le chemin de l’effort si cela en vaut la peine. L’attitude prise face à une difficulté est capitale. On peut relever le défi avec un bon moral et de l’optimisme ou avoir une attitude négative avec pessimisme. Votre aptitude sera dans ce cas le pouvoir de choisir.

Accueillir avec une vision optimiste une difficulté, c’est déjà faciliter sa solution.

L’aptitude est communément la capacité légale, juridique et une disposition naturelle acquise pour faire quelque chose. Une qualité naturelle qui rend possible certaines actions bienfaisantes ou de performances.

C’est également une notion qui se distingue de celles des compétences qui s’acquièrent davantage avec l’expérience. L’aptitude est aussi une capacité de l’intelligence émotionnelle, celle qui se traduit par le talent personnel d’aider les autres, analyser les idées, animer le groupe, apprendre pour s’adapter aux situations.

Conclusion, ta vie comme ton désir est une flamme qui finira par s’éteindre si tu ne l’alimente pas de tes rêves, positivant avec soin tes bonnes attitudes, usant avec bon sens de tes aptitudes.

Choisir de vivre ou rêver de s’éteindre à petits feux ?

Parfois, fais de toi une priorité, ce n’est pas égoïste, c’est nécessaire pour avancer.

Tes rêves se concrétisent quand tu n’as plus d’excuse pour ne pas le faire. La vie récompense tes efforts pas tes excuses. Continuer à s’abstenir de choisir est offrir le droit d’agir aux mauvaises intentions des autres qui t’environnes.

On doit apprendre à choisir ses pensées comme on choisit un vêtement, le matin en se levant. N’accepte jamais ce qui ne te rend pas heureux (se).

Les belles personnes s’apprécient par leur qualité de cœur non pas pour leur apparence ou encore ce qu’elle t’offre.

Tu n’es pas libre quand tu fais ce que tu veux, tu es libre quand tu exprimes ce que tu es.

Fais ce que tu aimes, ce que tu penses juste de faire. Ainsi tu trouveras ton meilleur équilibre de vie.

Il faut apprendre à ne plus se retourner… Continues et avances.

L’acteur(trice) de sa vie :

– Ecoute son cœur.

– Raisonne et médite.

– Sais faire ses choix

– Agis sans avoir peur.

L’optimisme est comme un muscle, il se renforce par l’utilisation de la pensée positive. En positivant nos pensées, nous pouvons agir comme nous le voulons.

Il ne faut jamais craindre le bonheur c’est juste un bon moment à vivre.

Que de temps perdu à ne pas juste… ressentir l’essentiel de la beauté du temps qui passe.

La liberté est savoir choisir les chaines qui nous sont les plus agréable à porter. Sans ta volonté et tes choix, la vie ne seras qu’un jeu de hasard.

Le réel plaisir de vivre est savoir recevoir chaque jour, cet instant plaisir qui t’apporte ce petit moment positif et indispensable de ressentir la joie du moment.

Ta vie est une flamme qui finira par s’éteindre si tu ne l’alimentes pas utilement de tes rêves.

Choisir de vivre et de ressentir à 100%, c’est juste, le bon choix à faire.

L’avenir n’est que fruit mûr d’un choix et choisir est aussi la conséquence de ton désir d’agir. Le réel plaisir d’être curieux est savoir choisir de voir le bon moment à tous les âges.

Oses choisir ?.. Les pensées positives conduisent à ton bien être, les négatives à tes souffrances.

L’indécision te rendra malheureux(se).                                                               

Vois, choisis et agis et tu seras maître de ton avenir et ta réelle liberté, sera simplement la récompense, d’avoir eu la volonté de choisir.

Quand…  Je choisi d’être heureux et vivant, je le suis. C’est l’effet de ma volonté.

Choisir est un art difficile, c’est pourquoi tant de gens renoncent à le faire.

L’échec assuré est toujours de ne pas choisir et le doute devient angoisse quand on ne sait pas choisir. Penser sans choisir sera qu’un rêve déçu et agir sans penser deviendra le faux espoir.

Mais si, il est vrai que celui qui a faim dévore sans choisir. Vieillir sera aussi parfois apprendre à ne plus choisir quand ce qui te reste de mémoire choisira automatiquement,  mis en état de survie, à ta place la réalité qui t’arrangera le mieux.

Empathie, amitié, amour, tendresse ?

Domestiqués par des croyances imposées. Punis ou récompensés selon des croyances.  La peur d’être puni et de ne pas être récompensé, nous ont contraints à nous insérer dans une société avec l’intention de faire plaisir et de paraître bien, acceptable.  Faisant naître en nous la culpabilité, le doute, la peur ainsi que le manque d’estime de soi.

L’amour tendresse envers soi-même est aussi devenue l’antidote au manque d’estime de soi selon les circonstances subies ou vécues.

Pour guérir, vous devez découvrir la bonté naturelle qui est en vous et chez les autres sans prétentions ni orgueil. Oser et Permettre l’échange en confiance, juste et équilibré afin de casser les anciennes peurs irraisonnées.

Cette simple ouverture mentale aux autres est ce qui permet de rompre la solitude dans laquelle notre éducation, l’individualisme et l’esprit de compétition nous ont conduit.

Il y a diverses sortes d’amitiés :

L’amitié occasionnelle de la personne qui a un simple coup de cœur pour vous et qui vous le démontre pour attirer votre attention.

L’amitié intéressée qui se construit sur des relations basées sur l’intérêt matériel ou professionnel.

L’amitié qui est une forme d’admiration de vos qualités mais qui n’est pas toujours directement témoignée et peut parfois rester secrète.

L’amitié qui se forge aux cours des ans, qui n’est pas toujours démonstrative, mais qui est durable.

L’amitié vraie et sans compromis, sans jugement, tolérante et toujours présente face aux bons et mauvais jours.

Sans attachement, comme sans curiosité il n’y a pas d’empathie possible et la seule évidence est que le « Je » ne peux vivre seul.

Toutefois pour rencontrer l’autre, nous devons consentir quelques efforts pour susciter l’intérêt, séduire et aimer en ayant les antennes de notre ressentir parfaitement déployées. C’est ainsi que l’humain entre dans le groupe auquel il appartient en découvrant les bienfaits de l’empathie et du bien vivre en société.

L’empathie est l’art de tisser des liens, de savoir comprendre ce qui trouble ou déchire.

 L’humain survit socialement qu’en échangeant des informations et il faut l’aptitude émotionnelle de l’empathie pour que nos neurones miroirs entre en résonance avec le bon geste, le sourire, la parole de l’autre qui nous a attiré et qui nous permet de répondre au désir de séduction ou de ce qui nous touche.

Pour devenir un(e) bon (ne) empathique il faut : se respecter et savoir se faire respecter ; oser s’exprimer ; identifier et maîtriser nos attitudes pour être entendu ; savoir faire face pour désamorcer l’agressivité de l’autre ; exprimer et partager notre assurance en défendant nos droits tout en respectant ceux des autres. Il s’agit de traiter d’égal à égal et sans a priori, négocier sans perdant ni gagnant et ce qu’il ne faut surtout pas vouloir est : asservir l’autre ; choisir à sa place ; critiquer sans avoir entendu ; se satisfaire prioritairement au détriment de l’autre ; refuser d’entendre.

Voilà vous connaissez l’essentiel des règles de l’empathie, il vous reste simplement à acquérir un peu de pratique pour en tirer les bienfaits et tisser vos nouvelles relations amitié, amour et tendresse en toute confiance.

Choisir d’agir pour mieux vivre

On ne peut pas changer l’être humain, on peut juste faire appel á sa conscience et lui apprendre à reconnaitre sa capacité à se connecter ou reconnecter à son désir de vivre mieux. On n’insuffle pas l’idée du bonheur malgré soi, on peut seulement rappeler que l’organe principal de l’action humaine est la pensée, apprendre à l’utiliser et grâce à elle tout commence ou recommence.

La pensée sans l’aide du savoir qui la raisonne et de l’intelligence qui lui indique la voie à suivre ne sera qu’une émotion non comprise, parfois non acceptée, et apprendre à s’ouvrir á recevoir de nouvelle joie est le meilleur antidote contre la morosité.

La distance entre le rêve et la réalité s’appelle le choix d’agir, sachant que parfois une nouvelle réalité se cache dans les désirs d’un rêve. Il faut toujours assumer le désir qui s’exprime dans un rêve, car il trace le chemin à suivre vers un futur plus agréable.

Le seul échec assuré est ne pas saisir sa chance dans toute transformation de vie, c’est aussi ne pas vouloir essayer de changer ce qui provoque en soi le mal être et la souffrance.

Imaginer un futur est l’inventer et choisir d’agir est ce qui permet de le concrétiser. Envie et volonté sont les outils qui aident à transformer un rêve en une nouvelle étape pour vivre mieux.

Pour pouvoir agir, il faut parfois observer ses peurs et s’apercevoir que dans nombreux cas, elles sont seulement créations de son imaginaire, peurs parfois suggérées par le manque d’optimisme et de courage.

Il n’y a pas de joie de vivre sans patience. La joie est la graine que l’on sème, le bonheur se cultive peu à peu et le plaisir de vivre est le fruit de la récolte.

Oser apprendre d’une erreur ou d’un mauvais choix est plus utile que de rien faire, la liberté de l’humain est simplement d’avoir la volonté de vouloir choisir un devenir plus agréable à vivre.

Apprendre à choisir de vivre mieux est aussi s’ouvrir à la connaissance de l’autre et apprendre sera toujours plus utile que de se souvenir que quand la réalité s’échappe dans une direction non désirée, il faut juste vouloir y faire face et avoir le désir de changer de direction.

Si le doute s’appelle angoisse quand on ne se sent plus maître de soi, chaque fois que tu pleures, une partie de ta chance ne fait que s’envoler et ta crainte sera alors l’évidence d’avoir à vivre un futur non souhaité.

Selon Antonio Gramsci « le pessimisme est affaire d’intelligence ; l’optimisme de la volonté ». Sans l’étincelle de l’émotion et du désir, il n’y a pas de projet possible et en temps difficile, aimer l’autre est la seule urgence indispensable.

L’espace d’une vie est le même qu’on le passe en chantant ou en pleurant énonce un proverbe japonais.

A toi de choisir ? Les pensées positives conduisent à ton bien être, les négatives à ta souffrance. Il faudra aussi savoir accepter que l’intelligence s’enrichît de ce qui est observé, sachant que le cœur gagne dans l’échange quand il partage avec sincérité.

Autre petit secret à méditer pour bien vivre, la vie et ton entourage t’aimeront si toi tu t’aimes.

L’âme dans le sens de ce qui anime est le choix de la volonté et la sagesse n’est autre que l’émerveillement de la vie.

Selon Jean Cocteau dans son livre la difficulté d’être, “la beauté aime ceux qui l’épouse pour assurer sa continuité”, il en va de même pour la volonté de concrétiser ses désirs de vivre mieux en choisissant l’option d’agir.

Petits parfums de vie à partager / Mai 2021

Le doute est parfois l’aliment de la sagesse comme le succès est toujours l’enfant préféré de l’audace. Aimer c’est bien, oser le faire c’est encore mieux pour que le secret du bonheur devienne pleinement, le vécu de ce que nous avons.

Le souvenir n’est que le reflet perdu d’un temps passé, qu’on a oublié. Habitue-toi à voir que le positif c’est moins décevant.  On n’oblige pas l’amour, on le partage.

Si tu ne lis pas, tu ne sauras jamais ce qui est écrit.

Tu es l’horizon de ma beauté du monde. Merci !

Lettre à ceux qui peuvent changer le monde

Vivre dignement, permettre à chacune et chacun de nous d’être utile dans sa vie, sa famille, son travail, la société qui l’environne ainsi que permettre à tous de vivre une existence la plus normale possible sont les meilleures conquêtes de l’humain face à l’adversité. Ces naturels droits fondamentaux sont inscrits dans la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme, et sont des missions honorables à poursuivre illuminant nos principaux faits et gestes quotidiens.

Certains adversaires, détruisent peu à peu, les conquêtes obtenues par des luttes souvent dures, ayant générées beaucoup de sueurs, de larmes coûtant parfois la vie de nos anciens. Comment résister est la question d’aujourd’hui ? Ce qui nous vient le plus facilement à la pensée est de nous indigner, de sortir dans la rue, crier notre rage, notre désespoir et notre déception. Mais, cela est-il encore bien utile quand le capital unit avec aveuglement toutes ses forces financières pour imposer aux pouvoirs économiques et politiques des mauvais choix à notre dépend.

Que pouvons-nous faire ? Pour moi, une partie de la solution est de changer certaines règles en redécouvrant les vertus de la solidarité afin d’imaginer les nouvelles formes sociales du vivre ensemble permettant ainsi de répondre aux problèmes de notre temps. Chaque être humain a une expérience de vie, des qualités personnelles et des connaissances qui peuvent servir à d’autres. Seul, nous sommes comme le roseau solitaire pliant face tous les mauvais vents, unis nous pourrions utilement tout changer si nous le désirons avec de la volonté.

Tous les groupes d’inspiration généreuse, progressiste et humaniste de tous pays, nous pouvons créer et utiliser les nouveaux réseaux sociaux pour diffuser de la connaissance. En tous les temps, la diffusion du savoir, a été la clef pour garder une pensée critique forte et puissante, capable de résister et de refuser le retour à l’obscurantisme, promu par les mauvais idéologues, qui tentent de nous faire croire que revivre le passé serait la solution à nos problèmes.

Les adeptes du capitalisme voir du fachisme veulent privatiser les services publics pour ne pas avoir à les payer pensant ainsi augmenter leurs profits. Face à cela que pouvons-nous faire ? La solution existe, l’économie sociale et solidaire, nous pouvons imaginer et construire ensemble des entreprises sociales ou coopératives afin d’offrir les services indispensables et ainsi créer nous-mêmes nos nouveaux emplois utiles. C’est l’utilité et la qualité du service pour vivre mieux qu’il faut promouvoir comme éthique et non la seule recherche du profit financier. De multiples champs d’actions solidaires s’offrent à nous, multiplions les petites gouttes individuelles qui finiront par génerer ensemble un océan de solidarités nouvelles.

Certains idéologues pensent renvoyer les femmes à la maison, pour ne pas avoir à financer l’éducation et les aides entres générations. Que pouvons faire ? Défendre les droits d’égalité entre hommes et femmes, les droits de l’enfant, les droits des jeunes à trouver un emploi et à s’insérer dans la société en créant une famille, les droits de la personne âgée de rester actives, utiles et en bonne santé. Nous pouvons aussi créer ou utiliser les nouveaux outils sociaux comme la banque du temps, encourager les entraides entre voisins et générations, faciliter les relations citoyennes et l’autogestion de projet collectif. Des nouveaux outils existent, certains ont déjà fait leurs preuves comme l’entraide de connaissance (banque de temps, les échanges solidaires SEL), les jardins collectifs, les banques d’aliments avec des produits locaux ou du commerce équitable, les marchés de produits de deuxième usages ou de récupérations, les transports individuels partagés, l’économie durable, la production d’énergies renouvelables, etc…

Un temps de crise est le moment idéal pour changer, il est la réelle opportunité qui s’offre à nous de repenser le mal vivre ensemble pour prendre en compte les besoins des diverses générations ; autant pour ceux qui ont envie de partager des connaissances, comme pour ceux qui veulent apprendre, transformant ainsi des difficultés en nouvelles espérances d’une vie meilleur partagée, solidaire avec un bien être tangible pour tous.

Ce n’est pas le moment de croire que nos adversaires idéologiques du bien commun, vont faire quelques choses pour nous, ils ont leurs propres intérêts à défendre ; ni de penser qu’une divinité ou  un dieu va descendre du trône  ou nos rêves l’ont placé pour faire l’indispensable à notre place. Ce n’est que le moment de travailler courageusement, chacun, chacune, selon ses connaissances, ses qualités, sa générosité, son temps disponible  pour changer tous nos comportements peu à peu, de manière solidaire et active, agissant le plus souvent possible ensemble ; nous ne devons pas continuer à vivre seul notre souffrance individuelle qui nous divise, en solitaire dans la discrétion, restant caché à l’intérieur de notre foyer, dans notre cercle restreint.

Le moment est venu, c’est le temps idéal, pour agir ensemble afin de réapprendre et de favoriser les fruits de la solidarité partagée et active afin de permettre de faire advenir et permettre les temps nouveaux fondé sur la base du respect de l’autre et le choix d’un progrès collectif équitable tant pour la femme que pour l’homme.

Unissons nos efforts et aprenons à agir ensemble en multipliant les actes collectifs et solidaires à tous les niveaux possibles ! Réinventons, pas à pas, un avenir commun pour que chacun et chacune y trouve sa juste place.

Le droit à la libre pensée

Tout humain a une pensée propre et celle-ci ne vient pas d’une doctrine religieuse ou autre dictat d’une personne autoritaire mais elle est le fruit de nos apprentissages, le produit de notre propre raisonnement. La libre pensée naît chez l’humain de son appétit de vivre heureux et de son envie de croquer agréablement et à pleines dents la vie, en étant libéré de ses principales peurs ancestrales, des croyances inculquées et des mythes référents transmis par les parents.

Se libérer par la réflexion est le chemin individuel à parcourir pour accéder au droit à la libre pensée.

Le souffle de vie, moteur du progrès, n’est pas à l’extérieur de notre être, ni n’est donné par personne. Il dépend principalement de notre propre volonté, notre bon vouloir de lui donner consistance. A nous en connaissance de ce qui précède de déterminer librement nos projets et d’agir en pleine conscience de nos actes dans tous les domaines qui nous sont agréables.

Il n’y a pas de vérité, de morale imposée que nous ne puissions pas raisonnablement comprendre et en laquelle nous devrions avoir une croyance absolue ou une obéissance aveugle. Il n’y a que des champs de connaissances à acquérir pour évoluer et progresser vers un devenir dont nous sommes une partie, mais aussi l’un des éléments moteur de sa réalisation par notre propre volonté.

C’est grâce à la faculté de raisonner, c’est-à-dire notre manière de confronter diverses idées ou informations reçues que l’on peut générer de nouvelles pensées libres. La pensée nouvelle fait naître le pouvoir actif raisonné du rêve, qui lui permet toute évolution de la destinée humaine générant la création de nouveaux actes qui eux, grâce à la persévérance, s’inscriront dans la mémoire et dans le futur.

Il y a trois sortes d’être humain : ceux qui se croient inamovibles et irremplaçables (les cimetières en sont remplis), ceux qui préfèrent suivre sans se poser de question et enfin ceux qui évoluent et font avancer les choses. Je ne sais pas dans quelle catégorie vous vous situez mais moi en ce qui me concerne je choisis résolument de toujours aller vers l’avenir.

Vouloir un meilleur avenir serein est sain permet simplement à l’humain d’exercer sa liberté de pensée et de choix.

« Qui veut la liberté de choix et de pensée veut simplement vivre intensément. Vivre qu’en percevant les choses, sans les comprendre, ce n’est vivre qu’à moitié » dit avec pertinence Spinoza qui énonce également « qu’augmenter sa puissance de comprendre, c’est aussi augmenter sa puissance de vivre ».

En fait mon expérience de la vie … Personnellement, ma permise de vérifier que comme le pensait Nietzsche, l’affirmation de soi est plus importante que la pseudo vérité de paraître. Parce que quitte à vivre, autant vivre vraiment la vie telle qu’elle est et non pas la vivre dans un paradis d’ombres et d’illusions car cela reviendrait aussi à ne pas vivre vraiment.

Pour vivre heureux et en accord avec notre pensée libre, nous devons apprendre à découvrir peu à peu par notre observation personnelle que les vibrations positives tendent naturellement à produire une évolution universelle vers le progrès et le bien-être comme ce sont les intentions négatives et les peurs qui nous freinent et produisent toute souffrance, toute rétrogradation et retard de l’évolution humaine.

En conclusion, penses, imagines, rêves, choisis et oses car tu seras l’élément vital de ton choix et de ta volonté de devenir usant de ta libre pensée. Si tu agis avec pertinence, tu trouveras ton équilibre et ta joie de vivre dans un monde meilleur.