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2023, une année, noce d’Emeraude

Quarante ans ensemble, s’agit-il vraiment d’un exploit ou d’une chance exceptionnelle extraordinairement bien vécue ? Ou seulement 40 ans d’amour et de tendresse partagée souvent avec la complicité bienveillante de deux êtres qui se sont choisis. Est-ce encore… Simplement un de ces amours qui n’aura pas su succomber aux désespérantes contraintes de la vie et qui s’est douillettement maintenu grâce à l’intelligence d’utiles compromis choisis ensemble, malgré les nombreux aléas de la vie subis et qui n’ont bien sûr pas manqués.

Qui aurais pu l’imaginer… Qu’après avoir vécu une enfance torturée, une adolescence livrée aux aléas de la vie sans réel soutien d’adultes pour l’encadrer, une jeunesse forgée au feu de l’infortune et des circonstances souvent improbables, j’aurai cette grande chance de pouvoir gagner à la loterie de vie et un jour célébrer en 2023, une noce d’Emeraude.

Noce d’émeraude qui sera bien le reflet de 40 ans d’une vie de couple presque sans nuages, près de 40 ans d’une vie de père comblé dans ses plus incroyables rêves et espérances filiales. Une vie toute simple mais remplies d’incroyables circonstances, avec autant de succès et aussi avec parfois quelques échecs professionnels dans le Monde de la communication à Genève.

Une vie travaillée à la force du poignet, toujours avec une volonté inébranlable qui m’aura permis de m’offrir l’opportunité de commencer une retraite professionnelle à seulement 53 ans en 2006 à Pedreña près de Santander, au Nord de l’Espagne, il y a déjà… Presque 20 ans.

Merci à Rosa, à Xavier et au hasard de la bonne fortune d’avoir aussi bien remplie ma vie, satisfaisant de surcroît à mes plus incroyables rêves et chères espérances.

Eh oui, il y a quarante ans en juin 1983, j’ai osé faire un choix de vie, que je n’aurai jamais à regretter, celui d’épouser Rosa, une native d’Espagne venue travailler au Nations Unies à Genève, elle qui m’a apporté bien plus que la sérénité et offert ce cadeau précieux de la vie, la naissance de notre fils Xavier en 1984, comblant ainsi un de mes rêves les plus audacieux au vu des curieuses circonstances de mon passé.

Depuis cette famille est devenue ma principale raison de vivre, le fruit de ma volonté d’agir et aussi la source de mon plus bel équilibre émotionnel. Merci à ma destinée, à la vie, aux chances que j’ai su parfois prendre à bras le corps, aux heureux hasards de certaines circonstances favorables, de m’avoir permis de pouvoir vivre cela !

Un des événements chaleureux de l’année que nous allons celèbrer dignement en juin ou juillet de 2023, en famille, comme il se doit.

Résumé d’une année 2022 en quelques pensées

Age

La pire misère du grand âge est de ne plus avoir envie de vivre. Si tu trouves en toi, la joie de vivre, tu sauras aussi oublier, tes petites douleurs quotidiennes.

Agir                                                                                         

Aujourd’hui est le bon moment, pour oser faire quelque chose pour toi.  Quand la réalité s’échappe du bon sens, il faut juste choisir sa vie et oser agir pour faire face. Agir pour, sera toujours le plaisir d’une grande expérience qui conduit à mieux vivre.                                                                                                          

Amour

L’arrivée du printemps est le délicieux moment venu, pour oser écouter son cœur. Ecouter, est la meilleure arme secrète dans l’art de séduire. Si la raison aime rechercher la cause, c’est toujours le cœur qui l’offre en premier. Aimer, c’est aussi oser juste ressentir un élan du cœur, parfois… sans raison. L’attention sincère de l’homme, est le plus beau message à recevoir pour une femme amoureuse.       .                                       

Apprendre                                                                                     

Apprends à faire parler tes actes, pas seulement ta bouche… Souvent, j’apprends à espérer ce qui m’est interdit c’est dans ma nature curieuse. Vouloir apprendre aux autres est bien mais donner l’exemple sera toujours plus efficace.

Avenir 

La vie m’a surtout apprise… Que d’oser faire ses choix et de déterminer sa volonté d’agir est l’unique chemin à suivre qui permet de vivre le mieux possible.                                                           

Bonheur 

Le secret du bonheur n’est-il pas d’être heureux… Avec ce que tu as pendant que tu continues à faire ce que tu désires. Le bonheur n’est-il pas dans l’art de positiver le possible.

Choix    

Le moteur de l’avenir est simplement d’oser faire ses choix. Entre le possible et l’impossible il y a toujours le choix intelligent. Pour faire le meilleur choix, il faut juste oser choisir. L’échec assuré c’est de ne jamais oser choisir d’essayer.

Conseil 

La vie est jolie quand on sait la prendre que du bon côté. Si tu es trop parfait tu n’es plus réel.

Courage

Parfois le courage, est cette petite voix qui te chuchote avec espoir… c’est sûr, demain, tu feras sûrement mieux.                     

Désir

Je concentre mes désirs seulement, sur ce qui en vaut encore la peine. Positiver, n’est que le désir de mieux vivre.

Espoir

L’espoir renaît que pour ceux qui en ont réellement envie. C’est avoir l’espérance du meilleur qui le rend possible.

Être  

Je continue à avoir l’innocence d’être. J’ai bon cœur, ce sera toujours le meilleur et le pire de mon vouloir être.

Habitude   

L’habitude ne pourra pas naître sans vivre une première fois.

Humanité   

Les gens généreux gardent toujours le souvenir vivant de la misère qu’ils ont eu à subir. Ne confondons pas à tort, la fin du monde avec la fin d’une certaine forme d’humanité.

Ignorance

Le peu que je sais, je le dois à ma curiosité pour répondre à mon ignorance. En cas de doute, tu peux toujours croire cela t’évitera d’avoir à le faire.

Joie de vivre

Retrouver sa joie de vivre est le plus beau cadeau de la vie. Dans les moments difficiles, la beauté des fleurs reconnecte à la joie de vivre.

Intelligence

La curiosité est l’aliment préféré de l’intelligence. Une personne intelligente peut tout comprendre. L’intelligence dans la vie c’est aussi savoir quand il ne faut pas blesser l’autre.

Imagination     

Ceux qui n’osent pas avoir de l’imagination devront se contenter de vivre que dans leur triste réalité.

Liberté 

Heureusement, l’envie de liberté s’en va toujours vers un futur.

Mort 

La mort sera pour moi la dernière surprise de mon hasard et mourir sans souffrir aussi sera… Mon ultime rêve. Si tu prives le monde de ton talent, la société saura très vite te remplacer et t’oublier.

Paix 

Trouve la paix en toi et ensuite tu pourras l’offrir aux autres. La paix est un état mental que chacun(e) est libre de choisir.

Plaisir  

Oui, je sais, je reste aussi parfois… de la vieille école. L’envie d’être est cette petite flamme qui toujours séduit le plaisir de vivre.

Positiver  

Avec une attitude positive la vie se voit d’une autre couleur.  L’optimisme est faire ressentir l’extase qu’apporte le délicieux parfum de la vie.

Sagesse

La sagesse est surtout agir, pour ce que l’on ne veut plus avoir à revivre. La sagesse dans une vie, réside peut-être en savoir ignorer ce qui n’en vaut pas la peine.

Volonté    

Tenir bon est souvent une preuve de bonne volonté mais parfois, il serait plus sage de savoir aussi lâcher prise. En général, mieux « Vivre » est bien ma seule volonté.

70 ans en 2023, comme un nouveau futur

En 2023, en année numérologique 7, prendre du recul à chaque fois que cela devient nécessaire devrait devenir un réflexe chez vous et pour moi… en cette année j’aurai 70 ans, un nouveau pic, un nouveau cap d’espérance, une fin de… voyons ensemble ce qui devient la durée des possibles.

Voici la  définition du Wiktionnaire, le dictionnaire libre et gratuit que chacun peut améliorer , «septuagénaire» est limitatif aux personnes âgées de 70 ans alors que selon le LAROUSSE, plus optimiste, septuagénaire s’appliquerait aux personnes dont l’âge se situe entre 70 et 79 ans. 

L’une des plus belles conquêtes lorsqu’on est arrivé à l’âge du temps libéré des contraintes professionnelles est sans doute de découvrir qu’avec cette liberté retrouvée nous pouvons enfin être désormais infiniment soi.

Peu à peu, nous découvrons le pur plaisir d’avoir le privilège du désir de poursuivre l’expérience du temps qui passe et de la vie qui s’écoule au rythme que l’on aura choisi. De vivre aussi intensément l’instant présent comme s’il ne devait jamais plus se reproduire.

Nous pouvons désormais, nous libérer de nos automatismes, de nos contraintes d’images, de nos actes retenus par convention. Nous avons aussi la liberté de penser à loisir, d’être soi parmi les autres sans obligations et tel(le) que nous voulons l’être.

Il s’agit dès lors d’une inestimable conquête sur le temps psychologique. Ce temps qui se constitue peu à peu, par l’accumulation des souvenirs. Par l’expérience acquise lors de nos apprentissages et les techniques apprises pour vivre et survivre, et aussi par les choix concrétisés par une mises en pratique, tout ceci pour pouvoir nous rendre la vie plus agréable.

Nous voilà mieux renseigné, et peu à peu, petite dose après petite dose, l’âge étant venu faire son œuvre handicapante, s’insinue alors comme un virus dans notre pensée, le désir de s’ouvrir au temps des renoncements au moment où tous les jours ressemblent désormais plus que à des dimanches.

« A soixante-dix ans commence l’été indien de la vie » nous dit avec raison Edwin Schneidman un célèbre psychologue clinicien spécialiste et professeur en thanatologie. La probabilité de mourir à 70 ans est de 1,62 % pour les femmes et de 2,41 % pour les hommes. 73 % des hommes nés la même année seraient encore en vie à cet âge et 82 % des femmes selon certaines études américaines.

Nous avons enfin le beau temps d’avoir que du plaisir et de pouvoir se nourrir de la pensée des autres sans avoir de restriction par la contrainte du temps. Et puis nous avons aussi le temps précieux pour apprendre aussi, qu’être c’est désirer, désirer c’est ressentir ce qui est bon pour nous dans le but d’aller vers notre épanouissement.

Nous pouvons constater que c’est bien le manque du désir qui nous affaiblit et parfois nous aigrit,car souvent nous nous trompons sur que nous voulons et sur la qualité des événements qui nous arrivent. C’est ainsi en faisant appel à son intelligence que l’être humain rectifiera ses connaissances et pourra retrouver le chemin de la satisfaction de ses désirs.

C’est souvent en raison de nos désirs inconscients mal satisfaits que naîtra et apparaîtra le pire, de notre mal être dans la vie.

Ceci écrit en préliminaire avec l’espoir de positiver le devenir, entrons sans retarder dans le vif des propos plus réalistes de ce texte :

Les renoncements du corps

Entre 30 et 70 ans, les muscles pèsent 2 fois moins lourd, la densité osseuse diminue, entraînant une diminution de la force, parfois une perte de l’équilibre et elle rend nos articulations plus fragiles nous apprennent les ultimes résultats de la recherche en médecine. De la même façon, la cage thoracique perd de son élasticité provoquant une réduction de la capacité respiratoire.

Il devient donc raisonnable de modérer ses efforts et de penser à entraîner son corps par des petits exercices physiques simples quotidiennement et de maintenir ses facultés mentales et cognitives actives en compensant les pertes de motivations dues à nos renoncements de vie provoqués par la condition de notre nouvelle inactivité.

Nous avons donc plus de temps pour soi et nous pourrions atteindre l’absence de douleur dans le corps et de turbulence dans le mental, en accordant seulement de l’importance à nos désirs naturels et nécessaires, selon ce que dit la sagesse populaire.

Il serait enfin temps de vivre selon les préceptes d’Epicure : Les désirs étant des choses naturelles et nécessaires : par exemple, nourriture, sommeil, abri, exercice du mental, etc. Sans eux, il sera impossible de bien vivre en bonne santé et d’être vraiment heureux, et la vieillesse ne pourra dès lors plus-faire ce qu’elle croit encore savoir-faire, il deviendra dès lors très urgent de bien satisfaire principalement que les besoins primaires de base.

Les renoncement au temps qui a passé

La retraite est l’occasion de réaliser les rêves, mis entre parenthèses durant la vie active, la retraite signe ainsi pour certains des remises en question, des regrets, le sentiment de ne pas avoir suivi ses rêves ou de s’être peu réalisé selon ses désirs. Le risque de tomber dans la dépression est bien réel et doit donc être pris au sérieux mais l’âge nous offrent aussi diverses possibilités nouvelles.

Et… Evitons d’emprunter seulement le boulevard de la dépression comme nous l’a suggéré avec un certain cynisme Fabrice Lucchini au cours d’un interview donné à la veille de célébrer ses soixante-dix et un an.

A l’heure de faire de nouveaux choix d’activité, on peut donner du sens à notre vie en fonction de notre personnalité et de nos talents :

  • Être utile à la société, en devenant un bénévole actif dans une association ;
  • Transmettre ses connaissances et ses expériences, en donnant des cours, en tenant des conférences, en aidants des jeunes, des enfants ou petits-enfants à mieux évoluer ;
  • Voyager et découvrir, de nouveaux horizons, de nouvelles passions en profitant de tarifs réduits en hors-saison ou concédés en privilège de l’âge survenu.

Les Renoncements à souffrir du mal de vivre vieux

Être septuagénaire, c’est donc s’affranchir des contraintes du temps et commencer à respirer seulement avec le but de pouvoir ressentir de la joie de vivre le plus souvent possible. C’est choisir plus souvent de penser positivement et de renoncer négativement, peu à peu, à craindre l’avenir du pire.

C’est aussi s’adapter aux nouvelles réalités que notre rythme biologique et notre physique nous imposent. « Vivre ne serait-il pas simplement profité d’être là » comme le disait avec sagesse Jean Cocteau.

Trouvez donc ce qui correspond à votre réel besoin à satisfaire et ainsi peu à peu vous deviendrez l’acteur(trice) qui concrétise son désir consciemment, en retirant le plus grand plaisir de vivre.

Le temps est venu enfin, sans autre contrainte, de faire le choix de vivre notre désir en pleine conscience, pour concrétiser alors notre recherche du plaisir. Un plaisir qui devient de plus en plus nécessaire à notre qualité de vie jours après jours. De la compréhension de la vraie nature de votre désir naîtra votre meilleure et durable source d’équilibre pour nos années à venir.

Pensez un peu à ce qui précède, pesez franchement les existentielles questions nécessaires et relisez cette invite encore une autre fois et vous verrez comme cela vous fera du bien dans votre quête du bonheur tous simple de vivre heureux(se).

Mais attention car il y a aussi les pièges auxquels il faut échapper. Celui des attentes insatisfaites, de nos espoirs déçus qui reviennent à la surface, des regrets de ce que nous n’avons pas pu réaliser, des efforts que l’on ne peut plus faire, des trop beaux souvenirs que notre physique ne pourra plus revivre.  Il ne faut pas que le temps psychologique nous conduise à choisir de vivre dans un ailleurs qui serait demain ou hier. Vous voilà prévenu(e) !

Selon vos choix et si tout va bien pour vous, voilà ce que pourrait devenir avec un peu de bonne volonté, ce nouveau printemps d’un futur confortable… pour pouvoir le vivre essentiellement, plaisamment et en satisfaisant le rythme de nos besoins et désirs naturels.

Et surtout n’oubliez pas le plus important, que l’homme ou la femme qui renonce à vivre ses rêves vieillit beaucoup plus rapidement.

En vous souhaitant le meilleur des possibles pour cette nouvelle année de jeune apprenti vieillard, ne dit-on pas que 70 ans n’est que la porte d’entrée dans le grand âge.

Les femmes dans ma vie

Depuis ma plus tendre enfance quelque chose en moi séduit le genre féminin faisant de moi un charmant séducteur. J’estime avoir eu plus d’une centaine de séduction à mon actif (maîtresses d’école, monitrices, voisines ou clientes, fille d’un soir ou d’une boîte le samedi soir). Séduire est dans mon caractère et j’ai même choisi d’en faire mon métier devenu publicitaire et vendeur de publicité. Autres signes favorables dans ma destinée, mes meilleurs coups de chances dans mes affaires professionnelles furent souvent apportés par des femmes.

Une soixantaine de relations se sont concrétisées au cours de ma vie par une rencontre sexuelle. Chaque heure passée, chaque soirée, chaque fin de semaine ou moment de rencontre ont été vécu avec sincérité totale et chaque fois avec un respect très fort à l’égard de l’autre. J’en garde de très bons souvenirs en mémoire, quelques-unes de ces rencontres féminines sont devenues des amies par la suite et aussi parfois je fus déçu que certains moments heureux ne se soient pas poursuivis dans le temps pour diverses raisons. Certaines femmes m’ont fait douter de mes aptitudes physiques, d’autres m’ont effrayé par leurs exigences ou idées de couple trop convenues. D’autres encore n’étaient simplement pas libres, mariée ou vivant déjà en couple. Quelques-unes non pas su me séduire dans le temps ou satisfaire sensuellement sur le moment. Ainsi va la vie, et au travers de ces rencontres s’est formée l’expérience vécue d’un jeune homme devenu séducteur.

Conclusion, il faut savoir entrer pieds nus dans les cœurs aimés toujours avec sincérité, merci à toutes de m’avoir tant aimé, partagé mes rêves du moment et une partie de ma vie en m’apprenant ainsi à vivre une vie complice à deux, de manière constructive et satisfaisante.

Mais en finalité, seulement quatre femmes ont été de vraies étapes de ma vie qui m’ont réellement influencé de façon marquante :

Ma première vraie expérience de couple sera avec Eliane, algérienne née à Marseille, rencontrée durant un séminaire en Suisse. Elle avait le délicieux charme de la méditerranéenne originaire de l’orient. Elle m’a apporté du rêve durant une période assez difficile de ma vie, celle d’une fin d’adolescence, inconstante, insécure et troublée, vivant dans le cadre d’une vie souvent perçue par moi comme décevante et peu rassurante pour mon ego et pour ma partenaire. Elle m’a fait découvrir les tourments de l’amour et les plaisirs de la jouissance, les délices d’une sensualité orientale débordante et parfois délicieusement perverse et, aussi, elle  m’a fait connaitre et subir les supplices de la jalousie en raison de ses infidélités. Elle n’était pas la femme d’un seul homme mais notre liaison a duré plus de cinq ans, par épisodes sensuels, incluant 2 ans de vie commune.

Eliette, une jolie Parisienne rencontrée sur la Côte d’Azur m’a ensuite apporté dans ma vie, le charme, le raffinement, l’élégance et l’originalité à la française, mais notre différence d’âge n’a pas su résister au temps, ce qui finalement a finis par nous séparer.  Avec elle j’ai découvert l’amour plus raisonnable avec une passion sensuellement moins volcanique, ayant pour cadre une certaine philosophie rassurante, m’apportant dans   ma vie la connaissance et le goût du plaisir de bien vivre à la française, l’hiver à Paris et l’été sur la Côte d’azur durant 2 ans. Elle m’a aussi apaisé dans mes manques de confiance et appris à vivre dans un cadre qui comportait un certain luxe et confort.

Enfin, Maria Rosa, espagnole venue travailler à Genève à l’ONU, rencontrée au début de ma trentaine, m’a finalement apporté la stabilité affective recherchée et permis de réaliser mon rêve d’avoir un enfant, celui-ci est devenu le cadeau le plus précieux de mon existence. Elle m’a toujours supporté avec mérite, me soutenant complice dans mes incroyables circonstances et péripéties de vie professionnelle peu sécurisante, m’encourageant encore aujourd’hui à vivre dans les moments parfois difficiles dus à mon diabète, parfois elle m’agace par sa trop  tranquille assurance, m’accompagnant fidèlement depuis plus de 40 ans et c’est avec elle que je finirai une vie finalement heureuse, devenue encore plus confortable et satisfaisante grâce à elle, une étape désormais totalement remplie de très bons souvenirs partagés.

Merci à elles, elles ont fait de moi pleinement un homme responsable, devenu sage avec le temps, fort d’une solidité intime peu à peu retrouvée, elles m’ont soigné de mes blessures émotionnelles intimes. Elles ont construit ce que je suis devenu, fabriqué l’être humain très sensible qui a pu vivre une vie bien remplie, souvent risquée et aventureuse, parfois hasardeuse, faisant de moi l’être que je suis aujourd’hui, complice du partage paisible à deux et qui pourra quitter demain (le plus tard possible), une vie finalement rendue heureuse.

Et puis un jour, il faut aussi s’arrêter de s’en vouloir pour quelque chose qu’on n’a pas pu changer. Ma mère m’a donné naissance, elle fut mon illusion de tendresse, la source de mes premières fausses espérances les premières années de mon innocence, puis les plus douloureuses raisons de mes désespoirs à long terme à l’âge des prémices du raisonnement. L’amour d’une mère devrait être la lumière qui éclaire l’avenir de son enfant, pour moi ce fut le contraire. Malheureusement ma mère m’a également fait douter du vrai sens du verbe aimer. Avoir le sentiment de perdre l’amour d’une mère au moment de l’adolescence c’est aussi perdre l’espoir dans la vie et c’est là, quand, toute la confiance en soi aussi s’écroule. Une nuisance sentimentale dont il m’aura fallu plus de 50 ans pour pouvoir enfin me libérer sereinement de l’emprise du sentiment de culpabilité ressenti vis à vis de ma mère.  Autant que des doutes insidieusement créer par elle sûr des mensonges infusés concernant une trouble évolution de ma personnalité et des doutes instillés concernant les improbables ressemblances supposées aux défauts de mon père. Comme le dit un proverbe juif « un enfant sans père est à demi orphelin, un enfant sans mère devient un orphelin entier » et ce fut partiellement mon cas, prenant ainsi, un mauvais départ dans une vie sans réels appuis parentaux pour me guider. Heureusement, pour mon équilibre psychologique, la suite de ma vie n’aura pas permis à ma mère d’avoir raison dans ses pires prédictions.

Le premier gouvernement à contester, n’est-il pas celui de sa mère, face à l’obligeance et l’injustice d’avoir à vivre de douloureux combats imposés, parfois recevoir des coups et punitions. De vivre des accès de violence durant de nombreuses années, jusqu’à mon adolescence, agissant ainsi, elle a aussi fait de moi un enfant rebelle à vie, et à toute autre autorité.  Devenant un être qui avait avant tout peur de l’autre et de la confiance trahie. Finalement notre relation fut une succession de douloureux rendez-vous manqués. Jeté à la rue à 15 ans par ma mère pour incommunicabilité, ce fut un dur apprentissage d’une jeunesse presque sans repères… mais c’est ce qui me permet aujourd’hui, de vous raconter l’histoire d’une destinée avec ses parts d’ombres et de lumières.  

Merci aux autres femmes dans ma vie qui ont su restaurer ma confiance en moi et appris peu à peu à ne plus avoir peur de l’autre, cette peur devenue ogresse au féminin dans certains cas.

Le secret pour accéder à une vie meilleure, c’est la pensée positive

Enfant, confronté à la dureté de la vie et à de pénibles injustices, j’ai dû apprendre en urgence à survivre et n’ai pas eu la chance de pouvoir autant jouer, rêver et penser comme devrait pouvoir le faire chaque enfant en toute insouciance.

Dès mon plus jeune âge, je suis donc devenu plus mature et responsable que la moyenne des êtres, étant chargé de responsabilités qui n’incombait pas à la réalité de mon âge.

Si ceci m’a rendu fort, parfois excessivement dur, je suis aussi, devenu un handicapé de la vie et parfois du cœur, en raison des circonstances durement vécues et en réaction avec une excessive sensibilité face à l’injustice du sort qu’il m’était imposé de vivre.

A certains moments de ma vie mon désespoir fut si fort que plusieurs fois, j’ai souhaité mourir pour échapper à la pauvreté et à la dureté de ma vie et c’est là que le hasard et la chance, les opportunités de survie sont intervenues pour diriger mes pensées vers d’autres écueils, rêves ou solutions.

J’ai appris ainsi sans réellement le savoir, ce qu’était le pouvoir de la pensée, celui qui enseigne et impose de choisir d’oser agir, s’aidant de la volonté, pour changer les dramatiques circonstances d’une destinée subie et non choisie. Rendant vrai que la distance entre le rêve et la réalité se trouve dans le choix de l’action.

J’ai découvert que cette sensibilité faisait souffrir mais qu’elle était aussi la clé qui ouvre la porte du bonheur conduisant à une nouvelle joie de vivre. L’échec assuré dans la vie, étant de ne pas oser essayer de faire et d’agir quand une nouvelle réalité nouvelle se cache dans le désir d’une simple pensée positive devenue un rêve, que l’on peut choisir de concrétiser.

La vérité du grand secret se trouve dans l’art de savoir positiver le possible sachant que les croyances suggérées par la société sont souvent aussi le piège ou l’illusion que l’on s’impose à tort, celui ou celle qui nous détourne passagèrement de nos objectifs sans résoudre réellement la cause du problème initial.

S’il y a des blessures qui ne s’oublient jamais, vivre sans l’amour de l’autre concrètement est se priver de l’essentiel d’une vie partagée et accomplie. Le manque d’amour d’un parent est la pire souffrance imposée à un enfant et ce qui handicape sa vie durant de nombreuses années.

Nous devons agir en toute circonstance, choisissant toujours de faire cas à notre envie d’agir en renonçant aussi à seulement craindre nos peurs. Oser imaginer possible son futur, est aussi l’inventer. Conclusion, c’est bien par la pensée qu’on peut retrouver un bonheur vivable dans son existence.

Rêves et peurs sont les deux formes d’accouchements de nos pensées. Le rêve nous motive et nous optimise, les craintes nous empêchent d’avancer.  L’avenir n’est que le fruit mûr d’une espérance concrétisée avec persévérance. Observe, choisis et agis et tu seras maître de ton avenir en toute circonstance !

Ce n’est que la peur qui tue le rêve. Oser s’ouvrir au ressenti de nouvelles joies est notre meilleur antidote contre la morosité.

Penser sans agir, sera qu’un rêve déçu et agir sans penser, auparavant, ne sera qu’un faux espoir. Vous avez le choix, les pensées positives conduisent à votre bien être, les négatives à la souffrance. Votre choix est ce qui fera toute la différence pour parvenir à une vie plus heureuse et mieux vécue.

Le réalisme de survie choisit toujours la réalité qui l’arrange. Toute volonté est un désir qui doit être suivi d’un acte pour exister.

Fais ce que tu aimes et il faut le faire souvent, la récompense sera d’aller à la rencontre de ton équilibre retrouvé.

Nous terminerons ce texte en citant une pensée positive de Stephen Hawking  « Même si la vie semble difficile, il y a toujours quelque chose que vous pouvez faire et réussir ».

Le premier pas de l’homme sur la lune

L’année 1969 et l’événement exceptionnel des premiers pas de l’homme sur la lune a marqué ma mémoire d’une manière indélébile de plusieurs manières.

Cette année fut importante pour moi à plusieurs titres :

D’abord j’avais vécu 1968, en tant que jeune apprenti  et je m’étais mobilisé dans les rues de Genève avec d’autres pour deux causes qui m’ont tenu à cœur.

Une grève de la faim sur la plaine de Plainpalais pour manifester contre les lourdes peines qui avait été octroyée par l’armée contre des objecteurs de conscience.

Puis j’ai aussi participé aux manifestations pour obtenir la 4 ème semaine de vacances pour les apprentis.

Oh ce n’était pas aussi chaud qu’à Paris… mais nos CRS genevois n’étaient pas mal non plus dans la violence contre les manifestants. Et dans la rue on criait … Schmitt démission.  Contre cet homme politique qui était le conseiller d’état responsable de la police genevoise à cette époque.

En cette année 1968, mal conseillé, je suis également entré en apprentissage dans un garage situé en dessus de la Gare de Genève, à la rue de Vermont. C’est ainsi que j’ai pu découvrir ce qu’était l’exploitation humaine.  L’apprenti que je croyais être, était devenu le balayeur officiel et le pompiste attitrés payé par mois à l’époque CHF 150.-. Somme que je devais remettre à l’échéance de chaque mois à ma mère. Je devais y travailler des horaires allant de 8h le matin à 20h du soir. Avec quelques pauses rassurez-vous…Sans oublier le samedi matin.

Pour mon premier job, j’ai ainsi connu de suite ce qui pouvait m’arriver de pire dans le monde professionnel et c’est grâce à cela que je suis devenu syndicaliste à la FOMH, un syndicat qui deviendra ces années là, la FTMH, car il ne faisait déjà plus  bon, à ce moment d’être considéré comme un ouvrier, il valait mieux devenir un travailleur.

Côté famille, la chance n’était pas non plus au rendez-vous, en pleine adolescence, et victime d’injustices et d’incompréhensions quotidiennes, je n’ai donc pas bénéficié ni de l’écoute attentive, ni de conseils avisés de parents protecteurs.

Heureusement que j’ai découvert la solidarité entre personnes d’un syndicat ce qui m’a permis de me libérer de cet apprentissage d’esclave du monde économique.

Côté famille le choix qui m’a été proposé était simple, ou tu continues l’apprentissage ou tu quittes la maison. Alors je suis parti, et cela juste quelques mois après cet événement du premier pas de l’homme sur la lune. J’allais découvrir la rue, la faim, les combines pour survivre. Eh oui cela ne passait pas dans le tiers monde mais bien à Genève et en 1969.

Durant cette période de désespoir ambiant qui m’habitait  alors dans ma vie, je me souviens que je suis tenu éveillé jusqu’à 4 heures du matin pour assister à l’exploit. J’étais le seul de la famille à avoir attendu l’événement aussi tard. C’est donc dans une maison endormie que j’ai assisté seul, mais en même temps avec des millions (peut-être des milliards) de personnes, à la télévision en direct à l’événement.

Ce fut pour moi comme une révélation, une sorte de prise de conscience que j’appartenais à une planète ou il se passait des choses formidables. Ou le monde n’étais pas  fini, cantonné à Genève et à sa misère,  mais ouvert sur un univers plein de promesses d’aventures exceptionnelles.

Les années qui suivirent allaient me prouver que je n’avais pas tort de penser cela… À ce moment là. 

La télévision fut pour moi pendant ces années difficiles de mon enfance et de mon adolescence, une source de réconfort, de rêves et d’ouverture de mon intelligence sur la culture et le monde. Elle m’a donné envie de découvrir l’horizon hors de chez moi et aura été le déclencheur d’une vie qui deviendra passionnée et passionnante.

Mais cela, vous pourrez peut-être le découvrir, si je décide d’écrire un jour, afin de témoigner de l’histoire de ma vie,  de cette existence vécue que je peux qualifier, aujourd’hui avec le recul, d’aussi exceptionnelle que fut ce premier pas de l’homme sur la lune.

A suivre.

La torrée

J’ai un de mes souvenirs d’enfance qui me revient de temps à autres à la mémoire c’est la fameuse torrée dans le jura neuchâtelois. Ou l’on déguste le goûteux saucisson neuchâtelois cuit à la braise d’un feu, entouré de pierre calcaire, souvent accompagné de pomme de terre cuite sur la même braise, que l’on mange à l’ombre des sapins après avoir franchi les fameux murs de pierres blanches qui encadrent des prés à perte de vue.

J’ai aussi le souvenir associé de ces impressionnantes vaches rencontrées dans les prés par l’enfant que j’étais qui devait avoir entre 4 et 6 ans. C’était sympa mais j’avais un peu le trouillomètre à zéro….

Et puis, il y a aussi ce souvenir délicieux des cornets en bricelet remplis de crème fouettée que l’on achetait en passant dans une belle ferme jurassienne au très large toit. Sans oublier non plus le goût sucré de cette herbe cueillie dans les champ dont l’on sucait avec délice la base avec gourmandise.

 

Voila, le signe que je deviens vieux… car je commence maintenant à avoir envie.. de retourner en enfance.

Entre la vie et la mort

Le 23 juin 2007, une grande dame de 90 ans inconnue du grand public mais cher à mon cœur, nous a quittée. Elle était certes petite de taille mais grande par son savoir-vivre, ceci même si sa fin de vie n’a pas été des plus agréable. Mais le grand âge et la constatation quotidienne de la perte de ses facultés physiques et mentales pourraient-elle être agréables à vivre ?

C’est la deuxième personne dans ma vie d’homme ou j’ai l’occasion d’observer de près la déchéance des facultés corporelles consécutive au grand âge. Mon grand-père décédé à l’âge respectable de 99 ans a vécu très indépendamment jusqu’à ses 95 ans. Il a du ensuite vivre dans une résidence adaptée à ses besoins. Sa dernière espérance, son dernier orgueil, fut d’atteindre ses cent ans. La société c’est un peu moqué de lui en fêtant son centième anniversaire le jour ou de ses 99 ans soit pour le début de sa centième année. Son but ultime étant atteint, il s’en est allé trois mois plus tard. J’ai admiré sa ténacité de vie, cette envie qu’il a eu de surmonter ses difficultés quotidiennes d’être pour atteindre son ultime objectif.

Apprécier à leur justes valeurs ses ultimes actes de courage et de fierté. J’ai aussi écouté son désir d’en finir avec la vie, qui pour lui, manquait chaque jour davantage de saveurs et d’assurances d’équilibre. J’ai aussi partagé avec lui  sa crainte de quitter le connu pour aller vers l’inconnu.

Luisa Victoria, mère de mon épouse, si chère à mon cœur, grande dame évoquée au début de ce texte, a aussi dû se résoudre à vivre dans une résidence spécialisée pour personnes âgées depuis l’âge de ses 86 ans. Bien que tous les conforts possibles lui aient été proposés. Elle a vécu cette étape de sa vie comme une espèce de punition, un renoncement à sa liberté d’être. Elle s’est peu à peu enfermée dans une quasi-solitude choisie, à la fois dans et déconnectée du monde.

Elle est passé par plusieurs stades depuis son entrée en résidence. D’abord la révolte vis à vis de son entourage et des employés de la résidence avec parfois quelques attitudes agressives voire d’une violence inhabituelle chez elle pour une femme habituellement pacifique. Puis elle a vécu une brève période de tentative d’intégration de quelques mois, elle acceptait alors, de sortir de son habitation pour aller rencontrer les autres  et partager du temps  avec eux en jouant avec eux notamment aux cartes. Puis brutalement elle s’est à nouveau renfermée sur soi et n’a plus voulu sortir de son habitation refusant les contacts avec les autres arguant de ses impuissances physiques pour justifier  la rigueur de sa solitude choisie. Elle s’interdisait même le plaisir de joué au Parchis, un jeu qu’elle adorait par le passé.

Les derniers six mois de sa vie, elle semblait s’être peu à peu résignée et attendait la mort dont elle parlait chaque fois qu’elle nous rencontrait. Elle s’était également autorisée à retrouver le plaisir de jouer à son jeu favori à chacune des visites de sa fille et de son gendre.  Elle se refusait a accepté l’idée d’avoir récemment fêter ses nonante ans, elle affirmait même avoir 86 ans, sa dernière concession a été d’accepter l’idée d’avoir 89 ans plus un an. Mais le lendemain elle répétait à qui voulait bien l’entendre qu’elle avait 83 ans.

Sa mémoire était devenue sélective sur des épisodes anciens de sa vie qui l’avait marqué mais ne se rappelait plus pour l’essentiel de son quotidien.Le 23 juin au matin, elle s’est éteinte avec un visage d’une étrange clarté, un visage enfin détendu et désormais paisible. Un peu comme si elle avait accepté enfin d’être délivrée.

Cette femme courageuse était la sœur de onze enfants qui sont tous décédés avant elle alors qu’elle avait l’air la plus fragile de tous, confrontée à diverses difficultés de vie qui l’ont atteinte dans sa santé.Elle a connu la guerre d’Espagne, dans le camp républicain. Elle fut mise en prison après l’injuste dénonciation d’un amoureux éconduit duquel elle n’avait pas accepté les avances. Eh oui ! En ces temps troublés du début du franquisme, il suffisait de cela pour se voir mis au ban de l’infamie et être injustement condamnée. En conséquence de cette période, elle a du subir une intervention chirurgicale aux poumons et a eu des difficultés toute sa vie durant avec un estomac délicat qui l’ont fait souffrir et aussi limités ses facultés d’être pleinement heureuse et d’être bien dans sa peau.

Femme devenue volontaire en raison des difficultés de la vie à surmonter, elle avait un caractère et une volonté forte. Elle s’est imposée et elle a imposé à son entourage une rigueur d’existence  exemplaire parfois pesante pour ses proches. Sa rigueur de vie était toutefois tempérée par une noblesse de cœur et une générosité remarquable qui l’on fait apprécier par l’ensemble des membres de sa très nombreuse famille.Aujourd’hui, elle nous a quitté en nous laissant en première ligne de vie pour rejoindre à notre tour la fin de nos existences.

Elle qui a touché mon cœur en m’offrant sa tendresse, me laissera un souvenir attendri en m’offrant le sujet de mes quelques réflexions songeuses sur la difficulté de vivre la fin de vie avec un grand âge.Car si les progrès technologiques et la médecine nous offre l’opportunité de vivre plus âgé toutefois, ils offrent peu d’alternatives à la déchéance physique et aux besoins psychologiques et sociaux du grand âge ceci malgré les bonnes volontés des uns et des autres qui se trouvent souvent démunis face aux appels à l’aide de nos aînés.