Archive for the ‘Déclarations & opinions’ Category

Modérer nos rêves pour vivre mieux

Il vaut mieux savoir savourer pleins de modestes et petites conquêtes que courir après un grand rêve inaccessible, qui en plus nous fait souffrir. La sagesse est de se contenter de ce qui est à notre portée et d’accumuler plein de petits plaisirs qui rendent agréable notre vie quotidienne.

S’accorder un petit déjeuner qui nous fait plaisir, boire un jus de fruits qui nous tonifie, déguster avec gourmandise et longuement un carré de chocolat délicieux, admirer un lever ou un coucher de soleil spectaculaire, observer l’éclosion d’une jolie fleur, paresser sous un rayon de soleil bienfaisant rendent la vie mille fois plus agréable que de s’astreindre à des efforts inutiles et parfois insurmontables.

Nous avons souvent l’art de nous rendre la vie impossible en devenant conquérants de l’illusoire et en recherchant le luxe qui est l’illusion du pauvre qui se croit riche.

L’enfant n’a pas besoin d’un beau vêtement, d’un plat sophistiqué, d’un jouet surpuissant, d’aller à l’autre bout du monde pour être heureux, il a juste besoin de lait, d’un peu de purée, de tendresse et d’attention, d’un hochet pour se distraire pour pouvoir grandir et être satisfait.

Retrouvons les joies simples qui nous ont émues dans notre enfance et nos vieux jours deviendront aussi plus paisibles et confortables.

Pratiquons le bonheur de vivre plein de petits rêves accessibles et nous accumulerons durablement joies et plaisirs à vivre.

La vie n’est pas plus compliquée que cela pour des millions d’autres gens qui n’ont souvent simplement pas le choix.

Avoir la sagesse de modérer nos envies à ce qui nous  est réellement utile et accessible nous permet de conquérir le bonheur au quotidien. Rien n’empêche également d’améliorer parfois l’ordinaire.

La sagesse et le goût des plaisirs simples ne doit pas nous empêcher d’avoir envie de concrétiser l’exceptionnel dans notre vie. Nous devons juste vérifier que ce rêve est bien à notre portée. Qu’en accumulant de simples efforts quotidiens  nous pouvons le concrétiser. La durée n’as pas d’importance, c’est le plaisir de la réalisation qui rend heureux.

C’est l’objectif atteint qui apporte la satisfaction et l’amélioration désirée. Concrétiser  son  rêve est toujours possible pour autant qu’il soit accessible. Le rêve ne peut nuire qu’à celui ou celle qui oublie ou néglige la réalité.

L’art de la pensée positive Nº31

L’art de la pensée positive Nº24

Eloge du bon sens

Voici quelques règles à méditer pour vivre mieux, en harmonie avec soi, afin d’obtenir une qualité de vie satisfaisante :

1/ Faire la paix avec soi-même et accepter de se pardonner nos erreurs ou incompétences apportent calme et sérénité dans la vie et contribuent à la maîtrise de soi et de ses choix.

2/ Croire l’invérifiable, c’est ouvrir la porte au mensonge de l’autre. La croyance aveugle nuira à la compréhension du monde qui nous entoure et nuira à nos désirs sains.

3/ Avoir l’envie de concrétiser un plaisir simple sera la source naturelle de toute joie á venir, elle est aussi notre force motrice. La source de notre devenir.

4/ Dédies toi avant toutes choses à te sentir bien avec toi-même en harmonie avec tes aspirations pour n’ouvrir que la porte du plaisir de ton mieux-être.

5/ Ne sois pas trop exigeant avec toi et dans tes désirs, cela te permet de trouver le juste équilibre et le bon sens à vivre.

6/ Evites les contestations inutiles, temps perdus, comme de faire de faux compromis temporaires ou l’on sort également généralement perdant. Apprends simplement à choisir de dire non quand cet utile.

7/ Vivre intensément les situations positives, est choisir d’affirmer notre volonté et donne l’élan nécessaire pour progresser face à toutes situations.

8/ L’acceptation du fait que l’autre n’est pas toi et que tu ne seras jamais l’autre favorise ta recherche d’équilibre et de justice et t’aide à vivre mieux au quotidien.

9/ Faire un choix, valorisant les choses que tu peux faire toi-même est mieux que de dépendre des autres pour agir.

10 / La confiance aveugle est trompeuse comme de risquer de faire dépendre sa vie, selon les seules lois du hasard, n’est jamais sans risque, ni conséquences, elle t’expose subir tous les aléas et vents contraires.

11/ Diffuses le bonheur et le positivisme autour de toi sera ce qui renforce ta force de vie et t’aide à vivre mieux dans toutes les situations.

12/ Recherches l’équilibre du savoir être, en trouvant ta juste place dans ton environnement. Ainsi tu t’éviteras de nombreuses maladies physique et psychique. Prend soin de ton corps c’est le véhicule de ta vie et ton meilleur allié pour franchir les étapes.

13/ Portes un regard affectueux bienveillant sur ton entourage, celui qui sera une aide bienvenue en cas de nécessité.

14/ S’ouvrir à l’autre est aussi accepter de le/la recevoir dans sa vie. Honnêteté et franchise sont les clés qui tissent les liens durables. Offrir le meilleur de soi-même est l’unique vitamine qui apporte la joie de vivre au quotidien.

15/ Ecouter les autres en choisissant ce qui est bon et qui sert de leçon, en rejetant les personnes négatives et toxiques de son environnement social est une saine pratique. Faire toujours de son mieux est le meilleur conseil à appliquer pour avoir le meilleur de la vie.

16 / Plus facile à dire que à faire ? Ne fais jamais une affaire personnelle d’une remarque ou un reproche que l’on t’adresse. Le jugement de l’autre se fonde sur sa réalité qui n’est pas la tienne. Ce qui est valable pour l’autre ne l’est pas pour toi, sois prudent et ne fais aucune supposition à partir de cela.

17/ Parfois, il faut apprendre à vivre avec ses sensations de mal être sans trop accorder d’importance au mauvais temps qui passe. Après le mauvais temps survient toujours l’éclaircie. Il suffit d’attendre et non de se préoccuper avec un excès d’anxiété qui déséquilibre et fait souffrir.

18/ Que ta parole soit toujours impeccable préservant ta liberté de choisir en toutes circonstances cela évitera les pires déceptions.

19/ Refuses de renoncer à un rêve porteur de progrès par peur ou médisance d’autrui, laisses l’optimisme guider ta vie.

20/ Calme, respect, méditation, raisonnement, choix, projet sont les outils utiles pour te préparer un futur à ta mesure en t’évitant des erreurs de jugements.

21 /La difficulté rencontrée est le mur que crée notre pensée par instinct de survie ou par manque d’imagination et de connaissance. La vie mettra des pierres sur ton chemin, tu peux décider d’en faire un mur ou un pont. Rechercher l’autre chemin ou la solution de bon sens, elle te permet d’atteindre ton but avec persévérance.

22/ Accomplir ses choix de vie en pensant à partager et faire rayonner son savoir facilite l’évolution des générations du futur.

L’art de la pensée positive Nº22

L’art de la pensée positive Nº21

L’art de la pensée positive Nº19

L’art de la pensée positive Nº17

L’art de la pensée positive Nº15

L’art de la pensée positive Nº14

Eloge à la vie

La vie est une suite de plaisirs simples à savourer au jour le jour et l’optimisme, parfum de la vie, est ce qui peut tout changer dans ton destin.

Une belle vie agréable apparait quand les désirs sont satisfaits. L’unique devoir, pour la personne humaine, est d’apprendre à vivre une existence heureuse. La meilleure vitamine de la vie est savoir et pouvoir faire quelque chose d’utile pour soi et les autres.

Vivre sans amour est se priver de l’essentiel du plaisir de partager, comme vivre sans amis, c’est mourir sans témoin.

Réfléchir est un art difficile c’est pourquoi la plupart des gens se trompent de choix de vie et il n’y a pas de pire malheur à vivre que celui que l’on s’est inventé.

Fuir l’inconnu c’est renoncer à mettre du sel dans sa vie et pas de chance c’est quand la vie te prend ce que tu négliges. S’ouvrir à de nouvelles joies fait partie de l’art de vivre mais seulement… croire au bonheur sans le vivre avec passion empêche de le vivre pleinement. Espoir et désespoir sont les ailes de la vie. Observe toujours ce qui est beau dans ta vie c’est ce qui te permettra d’avancer dans les moments difficiles.

Si ta vie commence à 70 ans, avant ne sera qu’un passe-temps. Parfois la flamme s’éteint, la raison de vivre aussi, c’est le moment de la raviver en ayant de nouveaux projets. L’espace d’une vie est le même qu’on le passe en chantant ou en pleurant disent les japonais et… un jour la mort te fera perdre définitivement l’art de vivre.

Adieu la vie, la flamme qui te brûlera ne sera que transformation de la matière.

Revendiquons notre droit au bonheur brut

Aujourd’hui que l’on sait que la religion n’offre pas le futur paradis auquel on a cru pouvoir rêver. Que les idées généreuses du communisme, s’effondrent peu à peu, comme est partiellement tombé le mur de Berlin, n’ayant pas réussi à imposer la tyrannie d’un modèle de société essentiellement basé sur la lutte des classes. N’ignorant pas également, que le capitalisme, lui-même, n’est plus une fin en soi et qu’il a globalement et mondialement prouvé aux électeurs qu’il ne produira pas, en aucun cas, le bonheur individuel, sans avoir pris au préalable sa confortable part d’intérêt.

En règle générale, les partis traditionnels et leurs séduisantes promesses électorales sont en perte de confiance dans la population citoyenne autant que les médias qui prétendent vouloir imposer leur choix en politique. Que nous reste-t-il à imaginer pour ne pas sombrer dans le nihilisme, le fatalisme, le fascisme, l’anarchisme ou autres désirs mortels pour les civilisations comme le terrorisme, tous se terminant en isme… (déchets de la pensée). Souvent destructeurs d’humanité.

Selon Wikipédia, le nihilisme (du latin nihil, « rien ») est une doctrine ou attitude, fondée sur la négation de toutes valeurs, croyances ou réalités substantielles. Dans l’athéisme occidental le nihilisme ne nie plus uniquement Dieu, mais également le sens de la création, la raison d’être du monde et de la vie. Il constate que la justice humaine est incapable de porter remède au mal moral et qu’elle devient, elle-même, un mécanisme quelquefois inhumain.

Dès la Grèce antique, le sophiste Gorgias développa des thèses nihilistes, ce fut l’un des premiers philosophes à le faire. Ces thèses énoncées se résument selon lui en trois points : Rien n’existe. Si quelque chose existe, ce quelque chose ne saurait être appréhendé et toujours moins connu par l’homme. Même s’il l’était, son appréhension ne serait pas communicable à autrui.

C’est le mouvement révolutionnaire nihiliste et anarchisme russe dans la seconde moitié du XIX siècle qui la fait connaitre en occident en rejetant l’autorité de l’Etat, de l’église et la famille et revendiquant une société rationnelle basée sur le matérialisme. Plus tard Emil Cioran philosophe, poète et écrivain roumain et philosophe, inventera le nihilisme pessimiste, qui ne laisse à l’homme plus aucune lueur d’espoir, dont les thèses sont publiées notamment dans son livre « De l’inconvénient d’être né », ouvrage de 1973.

Le fascisme, idéologie politique nationaliste, a connu ses heures de misère en Italie, en Allemagne et en Espagne avant de polluer de ses idéaux extrêmes divers pays d’Amérique du Nord et du Sud. L’arrivée au pouvoir récente de certains dirigeants s’appuyant sur des pseudos vérités et de grossiers mensonges populistes ne sera pas sans conséquences dans un futur proche.Apparu dans plusieurs pays européens pour tenter de freiner la réalisation des idéaux généreux issus du siècle des Lumières, il est souvent promu par les courant libéraux extrémistes de la société dont il tire sa puissance, légitimé par certains intellectuels qui le propage. Aujourd’hui, plus pervers, le fascisme se sert des faiblesses de la démocratie et de l’abstention de l’électeur pour atteindre ses objectifs.

Le fascisme fascine généralement les classes moyennes qui lui accordent du crédit. Il s’appuie pour séduire sur les concepts : (maîtrise de soi, défaut de vie sociale, sens du devoir, morale, sadisme, lubricité, cupidité, envie). Et en finalité, il soumet ses adeptes par la peur et la contrainte étant caractérisée par le désir de la toute-puissance de l’État, en s’appuyant sur une police politique puissante qui fait naître la délation, la dénonciation, la corruption avec l’objectif de neutraliser les masses, de les rendre inoffensives.

Après avoir porté notre attention sur certains déchets de la pensée universelle, il faut aussi savoir retrouver ses désirs et envies d’aspirer au naturel bonheur brut et instinctif. Pour pouvoir y parvenir nous devons apprendre ou réapprendre à vivre avec le courage d’essayer et non avec la peur de ne pas y arriver. Comme un électron libre non asservi par la peur d’un état. En tous les cas, nous devrions avoir faim de bienveillance, celle qui n’appartient à aucune religion ou utopie politique. Qui est simplement la naturelle étincelle d’amour universelle, une qualité humaine qui nous permet de tous nous relier, d’aimer l’autre et de vivre paisiblement et pacifiquement ensemble. Dont l’ambassadeur le plus habile reste le sourire.

Pour faire face au risque du retour des pensées destructrices et malodorantes au pouvoir, nous devons tous revendiquer notre droit à une part d’accès au bonheur brut, celui qui nous apportera au quotidien ce désir d’être bien avec soi et avec les autres dans le moment présent. N’oubliez pas, chaque jour, de faire quelque chose qui vous rend heureux(se) jusqu’à que cela devienne une habitude, c’est ainsi qu’on trouve son équilibre et sa force de vivre malgré la pestilence et l’impertinence de certaines idées néfastes.

Un peuple libre, heureux et instruit n’aura pas besoin de croire aux vertus simplificatrices d’un futur tyran qui prétend offrir des promesses d’un futur meilleur à son unique profit. Enfin, nous devons savoir nous entraider, choisir cette loi respectable qui est celle d’avoir du cœur en partage. Et finalement comme l’affirmait Jean-Paul Sartre, « nous somme le résultat de nos choix » et ce sera notre aspiration à la liberté d’être qui nous libérera des plus sanglantes options que certains voudrait voir revenir à la une du populisme mondial.

Pour élargir le débat, je terminerai ce texte, en citant positivement l’invitation bienveillante de l’ami Joseph Triponez, toujours plein de bon sens, « C’est en activant et en mettant nos talents au service de la société – plutôt qu’en cherchant à gagner toujours plus – que nous nous rendons réellement utiles et vivants ! »

Le temps qui passe et la confiance s’efface

Quand la réalité s’échappe, il faut juste apprendre à faire face.

Le doute existentiel deviendra angoisse quand on ne sent plus maître de soi et quand l’humain n’aura que pour horizon la crainte du lendemain. Dès lors l’être qui se s’emporte vers tous les mauvais vents, perdra ses racines et le vécu de son histoire, selon les strictes lois du bon sens perdu.

En temps de crise, certains roitelets, devenus abuseurs politiques, se croient investis de tous les pouvoirs, et c’est alors que la tyrannie s’installe pour réduire une à une toutes les libertés. Ces élus s’égarent gravement et nient les bienfaits de la sagesse populaire, en oubliant pour l’essentiel, les bénéfices de la conquête des droits de l’homme et ses libertés chèrement acquise. Ils nous sous-estiment quand leurs égos deviennent trop présents, ils oublient ce qui est passé et n’osent plus aller vers le futur, c’est alors que la confiance en nos leaders s’efface et se relâche. La maturité ou l’expérience du pouvoir, devraient leurs avoir appris avec l’âge, à savoir en quels rêves, les humains tiennent le plus… Liberté, égalité et fraternité. Ils en paieront le juste prix dans les prochaines urnes.

Nous allons collectivement, au-devant de lendemains qui nous feront tous déchantés en ce qui concerne la perte de confiance en les élus et en la démocratie.

Entre temps, quelqu’un aura-t-il inventé ou manipulé, le contenu du vaccin… du siècle contre la perte de confiance collective?

En conclusion, tu dépendras moins du lendemain quand tu auras méditer et régler les problèmes d’aujourd’hui. « Pendant qu’on la diffère, la vie passe en courant  » (citation de Sénèque) et elle laissera aussi des traces indélébiles que les générations futures devront avoir l’énergie de corriger parfois avec le prix de leur sueur quand ce ne sera pas de leur sang, ajouterais-je, juste pour le plaisir d’un espoir et bon sens retrouvé dans l’histoire humaine.

Les bonnes pratiques du jeu politique

La démocratie réelle consiste à proposer une opinion, écouter celles des autres et décider en conscience la meilleur option pour servir l’ensemble de la société, ce n’est jamais imposer sa majorité.

L’indignation ne suffit pas

Le philosophe Charles Pépin, laisse entendre que l’indignation, ne sert à rien, sauf à lustrer l’ego de l’indigné. Pour le célèbre neuropsychiatre Boris Cyrulnik l’indignation est le premier temps d’un engagement aveugle « Il faut nous demander de raisonner et non de nous indigner » complète-t-il. L’indignation est en effet un cri du cœur irréfléchi, et c’est ce qui la rend sympathique et populaire au premier regard. Toutefois le cri de la souffrance de l’indigné exprimé sur la place publique, n’est qu’un avertisseur médiatique, il n’étanche jamais durablement la soif de justice sociale.  Cette indignation est seulement le message exprimé d’un trop plein d’individualisme ou le chacun pour soi est devenu l’ambiant oppressant de ceux, trop nombreux,  qui pensent que le meilleur pour tous va se concevoir comme par enchantement et qu’il leur suffit de crier publiquement leur envie, leur souffrance, ajouterais-je,  avec  la folle espérance que cela changera grâce à l’action des autres…  Eux… Les responsables.

Le savoir enseigne que pour  faire progresser notre vie, dans un espace collectif, nous ne pouvons pas être la seule intelligence, il faudra donc apprendre à relier les forces de la pensée de divers individus pour que tous et ensemble avec efforts et du temps nous permettions que la société évolue favorablement et durablement.

Si l’indignation peut-être un déclencheur de l’action et d’un engagement à long terme, la société y trouvera son compte. Elle peut aussi être un révélateur, devenir une nouvelle source d’idées pour servir l’intelligence collective globale et partagée, mais elle doit surtout permettre d’unir des forces de changement. Pour cela chaque personne indignée, doit décider d’agir concrètement, oser choisir de devenir l’un des êtres intelligents qui s’engage pour  corriger les conséquences d’une suite d’événements issus d’anciens mauvais choix de sociétés, imposés par d’autres, qui n’ont pas toujours été guidés que par les meilleures intentions. Cette prise de conscience individuelle de son réel pouvoir d’action, devra aussi choisir de s’unir aux autres pour permettre de construire ensemble une vie collective plus agréable.

Au cœur de ce choix personnel à faire, il y a la différence entre actif et passif, acteur ou consommateur, aspiration au court terme ou au long terme. La question n’est pas de seulement de faire opposition dans l’instant et de le crier dans la rue mais de transformer ce qui n’est qu’une émotion individuelle passagère exprimée en un engagement durable pour qu’elle soit réellement transformatrice, avec l’assurance du pas à pas, de la brique après brique permettant de construire solidement un réel progrès social.

Dépasserez-vous le stade de l’indigné individualiste pour devenir l’indispensable maillon de la chaîne du progrès collectif ?… Là est le véritable enjeu sociétal. Ami, amie d’un changement, oserez-vous avoir ce courage ? Si oui choisissez votre camp et engagez-vous politiquement avec ceux qui  le font depuis longtemps pour servir votre cité, votre planète, améliorer votre cadre de vie. Aucun progrès social dont vous bénéficiez aujourd’hui n’a été offert gratuitement.

L’art de conquérir les petits bonheurs quotidiens

Il vaut mieux savourer pleins de modestes et petites conquêtes que courir après un rêve inaccessible qui nous fait souffrir. La sagesse est de se contenter de ce qui est à notre portée et d’accumuler plein de petits plaisirs qui rendent agréable notre vie quotidienne. S’accorder un petit déjeuner qui nous fait plaisir, boire un jus de fruits qui tonifie, déguster avec gourmandise un carré de chocolat, admirer un lever ou un coucher de soleil, observer l’éclosion d’une jolie fleur, paresser sous un rayon de soleil bienfaisant rendent la vie mille fois plus agréable que s’astreindre à des efforts insurmontables pour conquérir l’inutile qui n’est pas nécessaire.

Nous avons souvent l’art de nous rendre la vie impossible en devenant conquérants de l’illusoire, recherchant avec  manque de bon sens l’illusion du pauvre qui veut se croire riche. L’enfant n’a pas besoin d’un beau vêtement, d’un plat sophistiqué, d’un jouet surpuissant, d’aller à l’autre bout du monde pour être heureux, il a juste besoin de lait, d’un peu de purée, de tendresse et d’attention, d’un hochet pour se distraire pour pouvoir grandir et être satisfait. Retrouvons donc les joies simples qui nous ont émues dans notre enfance et nos vieux jours deviendront paisibles et confortables. Pratiquons le bonheur de vivre plein de petits rêves accessibles et nous accumulerons joies et plaisirs à vivre.

La vie n’est pas plus compliquée que cela pour des millions de gens qui n’ont souvent pas le choix. Avoir la sagesse de modérer nos envies à ce qui nous  est réellement utile et accessible nous permet de conquérir le bonheur au quotidien.

Rien n’empêche d’améliorer l’ordinaire. La sagesse et le goût des plaisirs simples ne doit pas nous empêcher d’avoir envie de concrétiser l’exceptionnel dans notre vie. Nous devons juste vérifier que ce rêve est bien à notre portée. En accumulant de simples efforts quotidiens  nous pouvons le concrétiser. La durée n’as pas d’importance, c’est le plaisir de la réalisation qui rend heureux. C’est l’objectif atteint qui apporte la satisfaction et l’amélioration désirée.

Concrétiser  son  rêve est toujours possible pour autant qu’il soit accessible et le rêve ne peut nuire qu’à celui ou celle qui oublie la réalité. Le rêve est ainsi la vitamine du bonheur.

Helvétie et histoire de clocher…

Les suisses auraient-ils  voté majoritairement  de la même manière si au lieu d’interdire les minarets, on aurait demandé d’interdire tous les clochers des églises ?

 
Et que dire du respect de la liberté de croyance et de conscience qui sont inscrits dans la constitution  Suisse ?
 
Je n’ai pas de raison d’être fier de mon pays aujourd’hui.
 
De ce beau pays du mythe de Guillaume Tell, celui qui a vu naître l’idée de la Croix-Rouge, ce lieu de résidence européen des nations unies et du bel idéal de la déclaration des droits de l’homme. Un pays qui souvent prétend être le modèle de la démocratie et de l’union entre les peuples des cantons ou cohabitent quatre langues nationales.
 
Comment ne pas avoir ?   Le sentiment que la démocratie s’affaiblit, chaque fois que les mauvaises intentions gagnent une votation.
 
 

Coup de colère … Là ou règne l’intolérable

Offrir à un jeune 9 ans d’école, 4 ans d’études secondaires et 6 ans d’études à l’Université pour le contraindre à devenir chômeur à la fin de son parcours de sueurs et d’efforts consentis pour s’intégrer dans le monde professionnel est bien plus grave que la faillite de quelques banques.

Je trouve que la société et les êtres qui la dirige, les responsables politiques et financiers de la planète, sont non seulement malades mais complètement inconscients et irresponsables face au devenir de l’avenir du monde.

Je suis profondément scandalisé et indigné que dans le pays qui m’a vu naître la Suisse, dans ce continent qu’est l’Europe, sur cette planète qui a fait tant de progrès et ou certains réalisent tant d’incroyables profits. On soit incapable d’offrir à des jeunes le droit de vivre et d’exister. Quel modèle, quel exemple offrons-nous à ces jeunes êtres !

Contraindre à la misère et à la pauvreté des jeunes potentiellement en devenir  d’être, qui ont fait tous les efforts pour répondre à nos attentes,  est le plus invraisemblable échec de notre temps, si avancé dans la connaissance et le monde du savoir.

Chaque élu, chaque chef d’entreprise, chaque enseignant ou professeur d’université, chaque parent ne peut que se sentir honteux devant une telle faillite du système.

Car nous sommes tous coupables, chacun à notre échelon de n’avoir pas su faire et agir pour que cela ne soit pas.

Le temps est venu de corriger cette erreur et d’offrir une place de travail aux jeunes. Quelque en sera le prix…

Virtuel ou réel comment tisser le lien ?

L’amitié est une chose rare parfois purement relationnelle et affective, d’autres fois basée sur l’admiration réciproque. Dans les deux cas, elle est le lien entre les êtres qui sont heureux d’exister ensemble en partageant une même émotion dans un instant choisi.

Peut importe le sujet partagé, le mot échangé ? Peut importe l’image séduisante reçue ?  Peut importe la sensation, le ressenti traduis par les cinq sens connus ainsi que les sixième et septième sens à mieux connaître.

Tout est dans l’échange pas dans la forme.

Merci l’artiste, de continuer à nous offrir des moments de rêves face à une réalité de plus en plus dure et intrusive dans nos vie de tous les jours. Un monde devenu si violent que l’on s’en s’échappe plus qu’en rêvant afin d’embellir sa vie quotidienne.

Le rêve est cet instant précieux ou tout devient magique, possible dans l’irréel de nos pensées, cet outil précieux de l’intelligence qui permet aux êtres d’évoluer vers mieux, plus beau.

De trouver, ce qui deviendra le pur désir qui conduira ceux ou celles  qui le veulent, à le concrétiser.

Devenant ainsi plaisir à vivre et ressenti amélioré.

Ainsi le lien  sera créé entre virtuel et réel pour devenir un collectif meilleur. Merci d’y apporter votre pierre pour le concrétiser.

Maitrisez les 7 outils pour être soi

Apprenez  à  vous observer
La première règle pour apprendre à être soi est de prendre le temps de s’observer,  de comprendre les raisons de nos actions, de trouver le pourquoi de nos réactions. De tirer la leçon de nos erreurs de comportements pour tenter de ne pas les reproduire.
 
Prenez conscience de votre besoin de liberté face au savoir acquis
Il faut ensuite prendre conscience que plus de 80 % de nos croyances et savoir hérités de notre éducation, gravées dans nos mémoires, ne sont que des mensonges émis par ceux qui aspirent à nous mouler dans une réalité qui n’est pas la nôtre. Ils nous conduisent ainsi vers la souffrance  de ne pas pouvoir être soi.
 
Acceptez le regard de l’autre
Sachez que le miroir de l’autre est rarement objectif puisque généralement, il est le reflet de lui-même, toutefois c’est le seul outil à notre disposition pour confronter notre vision de nous même à un regard extérieur. Le  réel plaisir de la rencontre est découvrir un peu de l’image de soi chez l’autre et… parfois reconnaître un peu de l’image de l’autre chez soi aide aussi à s’aimer.
 
Soyez positivement critique
Se libérer de ses croyances est l’art d’acquérir la capacité d’émettre une critique constructive qui nous sert à ne pas reproduire essentiellement la cause de ce qui a généré notre erreur.  Cette libération nous sert à bâtir ou rebâtir pierre après pierre les fondements de notre désir d’être en cas de désespoir.
 
Rendez votre parole audible
La parole et le verbe sont si puissants qu’un seul mot peut changer positivement une vie ou détruire quelqu’un. Elle votre capacité, votre force pour exprimer et communiquer avec l’autre. Elle sert à  faire partager le fruit de votre connaissance de soi. Il est donc primordial d’apprendre à délivrer un message clair.
 
Sachez que ce qui est les autres n’est pas soi
Vous n’êtes jamais responsable de ce que font les autres, leurs actions dépendent de leurs propres motivations personnelles ou les exigences de leur vie. Même quand une situation vous paraît très personnelle et vous touche directement, il faut discerner ce qui appartient à l’autre et ce qui correspond à votre réalité d’être.
 
Le bonheur  d’être soi c’est l’oubli de la souffrance vécue
Ne passez pas votre temps à ressassez les souffrances vécues en faisant des suppositions sur votre culpabilité ou sur le comment vous auriez pu éviter ce qui vous est arrivé. La souffrance n’est qu’un simple accident de la vie, aussi douloureux soit-il, c’est en vous offrant le désir d’un nouveau plaisir à ressentir que vous corrigerez la blessure subie et retrouverez le simple désir d’être soi.