Archive for the ‘Amour, tendresse’ Category

Parfums de vie de novembre 2025

En novembre 2025, le désir et l’amour 

Le désir, l’amour et ses dimensions invisibles

Les plans dits invisibles, sont souvent perçus comme des forces mystérieuses qui influencent notre existence, ils ne sont en réalité que l’expression de désirs inassouvis. Ces désirs, non comblés, façonnent nos pensées et nos actions, guidant silencieusement notre parcours de vie.

L’amour sincère est de donner sans attendre

L’amour véritable se manifeste par l’absence de conditions. Aimer sincèrement, c’est offrir son affection sans rien exiger en retour. Cette forme d’amour, pure et désintéressée, nous sera rendue en retour mille fois, car elle crée un cercle vertueux de bienveillance et de générosité.

L’amour parental : l’absence d’obligations

L’amour d’un parent envers son enfant devrait toujours être exempt d’obligations. Il doit s’agir d’un sentiment inconditionnel, offert sans attente ni contrainte, pour permettre à l’enfant de s’épanouir dans la sécurité affective.

Le rêve : moteur de transformation

Tout rêve peut devenir réalité pour celui qui le souhaite ardemment, ose entreprendre, travaille sans relâche et persévère malgré les obstacles. Le rêve agit alors comme une promesse, celle d’une réalité nouvelle à construire et à mieux vivre.

2023, une année, noce d’Emeraude

Quarante ans ensemble, s’agit-il vraiment d’un exploit ou d’une chance exceptionnelle extraordinairement bien vécue ? Ou seulement 40 ans d’amour et de tendresse partagée souvent avec la complicité bienveillante de deux êtres qui se sont choisis. Est-ce encore… Simplement un de ces amours qui n’aura pas su succomber aux désespérantes contraintes de la vie et qui s’est douillettement maintenu grâce à l’intelligence d’utiles compromis choisis ensemble, malgré les nombreux aléas de la vie subis et qui n’ont bien sûr pas manqués.

Qui aurais pu l’imaginer… Qu’après avoir vécu une enfance torturée, une adolescence livrée aux aléas de la vie sans réel soutien d’adultes pour l’encadrer, une jeunesse forgée au feu de l’infortune et des circonstances souvent improbables, j’aurai cette grande chance de pouvoir gagner à la loterie de vie et un jour célébrer en 2023, une noce d’Emeraude.

Noce d’émeraude qui sera bien le reflet de 40 ans d’une vie de couple presque sans nuages, près de 40 ans d’une vie de père comblé dans ses plus incroyables rêves et espérances filiales. Une vie toute simple mais remplies d’incroyables circonstances, avec autant de succès et aussi avec parfois quelques échecs professionnels dans le Monde de la communication à Genève.

Une vie travaillée à la force du poignet, toujours avec une volonté inébranlable qui m’aura permis de m’offrir l’opportunité de commencer une retraite professionnelle à seulement 53 ans en 2006 à Pedreña près de Santander, au Nord de l’Espagne, il y a déjà… Presque 20 ans.

Merci à Rosa, à Xavier et au hasard de la bonne fortune d’avoir aussi bien remplie ma vie, satisfaisant de surcroît à mes plus incroyables rêves et chères espérances.

Eh oui, il y a quarante ans en juin 1983, j’ai osé faire un choix de vie, que je n’aurai jamais à regretter, celui d’épouser Rosa, une native d’Espagne venue travailler au Nations Unies à Genève, elle qui m’a apporté bien plus que la sérénité et offert ce cadeau précieux de la vie, la naissance de notre fils Xavier en 1984, comblant ainsi un de mes rêves les plus audacieux au vu des curieuses circonstances de mon passé.

Depuis cette famille est devenue ma principale raison de vivre, le fruit de ma volonté d’agir et aussi la source de mon plus bel équilibre émotionnel. Merci à ma destinée, à la vie, aux chances que j’ai su parfois prendre à bras le corps, aux heureux hasards de certaines circonstances favorables, de m’avoir permis de pouvoir vivre cela !

Un des événements chaleureux de l’année que nous allons celèbrer dignement en juin ou juillet de 2023, en famille, comme il se doit.

Osons mettre du cœur à l’ouvrage !

Parfois, je parle avec les yeux, j’écoute avec mon cœur en méditant et rêvant à des jours meilleurs. Sachant pertinemment qu’offrir de la gentillesse n’a pas de prix et que ce sera juste un acte de bonne volonté qui adoucira ta vie. Il est vrai que sans la volonté la vie n’est qu’un jeu de hasard et que c’est avec ce même mental que naît l’intuition qu’il ne faudra jamais prendre á la légère.

Comme l’écrivait Albert Camus, “vivre c’est aussi bien éprouver que réfléchir alors que penser est juste oser vouloir créer un nouveau monde ». Le désespoir est rarement un fait mais un état de la pensée et nous avons trop souvent l’habitude de survivre avant d’acquérir celle de penser.

Un homme se définit aussi bien par ses comédies que par ses élans du cœur. Tout est liberté selon Nietzsche, “tu le peux que si tu le veux et celui qui seulement obéit n’est déjà plus lui-même. Il faut vouloir de tout dans les limites du pensable”.

Le temps n’a pas de réelle importance c’est comment le vivre qui en a et les ailes du bon sentiment naissent toujours dans le cœur. Vis pour ce que demain peut t’offrir non pour ce hier t’a quitté. Socrate nous a dit, “que beaucoup pense à vivre longtemps et que peu pense à vivre bien”.

S’aimer c’est choisir d’agir en toute circonstance. Aide-toi et choisis d’agir, on trouve bon et beau que ce l’on aime. L’utopie n’est rien d’autre que l’irréalisé de ce qui te reste à faire.

L’ennemi de ton bien être est ta peur, pas les autres. Si tu renonces avec cœur à craindre ta peur, tu vivras simplement heureux pour les jours qui te restent à vivre.

L’espoir n’est pas un mirage, ce n’est autre que l’expression bienveillante de ta volonté du devenir de ton futur, si tu le veux. Alors ose mettre du cœur dans l’ouvrage de ta vie, la rencontre du bonheur sera ta plus belle récompense.

Osons aimer avec le filtre de ces treize forces qui nous animent ?

Nos appels du désir sont-ils tous réalisables ? Ou est cachée la réalité du bien être de notre ressenti ? Peut-on décider toujours décider d’être conscient de ce que l’on fait ? Comment passe-t-on de l’état de connaissance à la compréhension des causes qui nous animent et qui nous rendent amoureux (se)?

La réponse est sans doute dans la volonté que l’on met lorsqu’on est poussé par un désir cohérent et sans équivoque en recherchant simplement que ce qui est bon et sensuellement bien dans l’instant et de durable pour nous dans l’idée d’un futur partagé.

En réalité quand notre volonté  s’affaiblit, doute et parfois devient douloureuse, c’est quand elle va dans le sens contraire aux treize forces qui nous animent :

Notre capacité d’écoute et de ressenti.

La concentration de notre volonté.

L’art d’émettre des pensées positives.

La maîtrise de notre raisonnement.

L’aptitude à la persévérance.

Le partage de l’enthousiasme.

La capacité de générer de l’optimisme.

L’application de notre intelligence contre la force brutale.

Le droit à la reconnaissance d’être.

Le savoir faire rayonner nos connaissances.

L’art d’utiliser les circonstances.

La maîtrise des énergies psychiques.

La réflexion associée à la maîtrise du temps psychologique.

Nous avons le pouvoir de mettre en action n’importe quelle idée durable , et nous oublions souvent et ne remarquons même pas ces forces naturelles qui sommeillent en nous et qui pourtant sont si vitales pour établir une bonne relation.

Souvent nous nous forgeons dans notre raisonnement d’innombrables fictions nées d‘illusions passionnelles et trompeuses, c’est pourquoi nous devons sans cesse remettre en question notre entendement entre les notions bien et mal, perfection ou imperfection, jalousie, haine ou amour.

Nous ne trouverons notre équilibre qu’en vivant un amour sincère et réel en harmonie à ces treize forces qui nous conduisent vers le mieux être en nous libérant  ainsi de nos illusions passionelles.

Voilà ce qui est probablement le secret de la recette pour aller vers votre bonheur durable ou un amour retrouvé.

Oserez- vous suivre le chemin indiqué pour être toujours vrai dans l’expression de vos sentiments ?

Empathie, amitié, amour, tendresse ?

Domestiqués par des croyances imposées. Punis ou récompensés selon des croyances.  La peur d’être puni et de ne pas être récompensé, nous ont contraints à nous insérer dans une société avec l’intention de faire plaisir et de paraître bien, acceptable.  Faisant naître en nous la culpabilité, le doute, la peur ainsi que le manque d’estime de soi.

L’amour tendresse envers soi-même est aussi devenue l’antidote au manque d’estime de soi selon les circonstances subies ou vécues.

Pour guérir, vous devez découvrir la bonté naturelle qui est en vous et chez les autres sans prétentions ni orgueil. Oser et Permettre l’échange en confiance, juste et équilibré afin de casser les anciennes peurs irraisonnées.

Cette simple ouverture mentale aux autres est ce qui permet de rompre la solitude dans laquelle notre éducation, l’individualisme et l’esprit de compétition nous ont conduit.

Il y a diverses sortes d’amitiés :

L’amitié occasionnelle de la personne qui a un simple coup de cœur pour vous et qui vous le démontre pour attirer votre attention.

L’amitié intéressée qui se construit sur des relations basées sur l’intérêt matériel ou professionnel.

L’amitié qui est une forme d’admiration de vos qualités mais qui n’est pas toujours directement témoignée et peut parfois rester secrète.

L’amitié qui se forge aux cours des ans, qui n’est pas toujours démonstrative, mais qui est durable.

L’amitié vraie et sans compromis, sans jugement, tolérante et toujours présente face aux bons et mauvais jours.

Sans attachement, comme sans curiosité il n’y a pas d’empathie possible et la seule évidence est que le « Je » ne peux vivre seul.

Toutefois pour rencontrer l’autre, nous devons consentir quelques efforts pour susciter l’intérêt, séduire et aimer en ayant les antennes de notre ressentir parfaitement déployées. C’est ainsi que l’humain entre dans le groupe auquel il appartient en découvrant les bienfaits de l’empathie et du bien vivre en société.

L’empathie est l’art de tisser des liens, de savoir comprendre ce qui trouble ou déchire.

 L’humain survit socialement qu’en échangeant des informations et il faut l’aptitude émotionnelle de l’empathie pour que nos neurones miroirs entre en résonance avec le bon geste, le sourire, la parole de l’autre qui nous a attiré et qui nous permet de répondre au désir de séduction ou de ce qui nous touche.

Pour devenir un(e) bon (ne) empathique il faut : se respecter et savoir se faire respecter ; oser s’exprimer ; identifier et maîtriser nos attitudes pour être entendu ; savoir faire face pour désamorcer l’agressivité de l’autre ; exprimer et partager notre assurance en défendant nos droits tout en respectant ceux des autres. Il s’agit de traiter d’égal à égal et sans a priori, négocier sans perdant ni gagnant et ce qu’il ne faut surtout pas vouloir est : asservir l’autre ; choisir à sa place ; critiquer sans avoir entendu ; se satisfaire prioritairement au détriment de l’autre ; refuser d’entendre.

Voilà vous connaissez l’essentiel des règles de l’empathie, il vous reste simplement à acquérir un peu de pratique pour en tirer les bienfaits et tisser vos nouvelles relations amitié, amour et tendresse en toute confiance.

Eloge de la tendresse et de la gentillesse

La sensibilité est la clé qui ouvre à la tendresse et apporte la gentillesse,ce qui permet d’accéder à un bonheur plus agréable à vivre et à partager. Vivre sans gentillesse et tendresse est se priver de l’essentiel de la relation humaine.

Un sourire tendre et bienveillant désarme toujours la colère et le plus beau des sourires est aussi celui qui efface les larmes. En tous les cas, votre sourire sera toujours votre meilleur passeport du cœur. Si la joie est la graine que l’on sème, le bonheur est ce qui se cultive et c’est la tendresse qui s’offre en partage comme fruit de la récolte.

Votre jardin secret deviendra le mélange subtil entre vos douces pensées et la tendresse avec laquelle vous apprenez à les exprimer. La gentillesse partagée c’est quand le regard de l’autre rencontre, sans masque, notre paraitre. Si le malheur est souvent un fruit du hasard, la tendresse pour l’autre nait seulement après avoir consenti un effort.

Quand parfois la beauté accroche l’œil, c’est la gentillesse de l’être qui fascine toujours le plus. La gentillesse est aussi l’élégance du cœur et sa noblesse. Sans la magie de la rencontre, entre l’étincelle du désir et de l’émotion partagée avec gentillesse, il n’y aura pas de tendre projet de vie réussi et satisfaisant.

L’acte le plus difficile et courageux sera de reconnaitre une belle personne et d’oser en faire une amie ou une personne complice de sa vie.

L’art d’aimer et de choisir de jouir de la vie

Etre c’est désirer, désirer c’est ressentir ce qui est bon pour nous afin d’aller vers notre épanouissement. C’est souvent, le manque de désir qui nous affaiblit  car nous nous trompons sur que nous voulons et sur la qualité des événements affectifs qui nous arrivent mais cela à souvent divers causes.

Nous avons toujours comme un légitime besoin de projeter, d’associer nos sentiments, nos envies d’être avec quelqu’un ou quelque chose et souvent nous nous imaginons capable de nous renforcer grâce à cela.

Mais c’est seulement, quand nous  concrétisons notre désir en pleine conscience, sans seulement laisser libre cours à notre pulsion instinctive, que nous agissons le mieux pour retirer le réel plaisir de celui-ci.

Autrement dit, l’amour sans association avec un peu de raisonnement n’est que sentir et ressentir et devient alors, aimer et haïr sans raison.

Vous êtes-vous déjà demandé combien de fois vos désirs ont été influencés voire provoqués par le désir de l’autre ?

Combien de fois vous avez dû vous opposer au désir de l‘autre pour retrouver la voie de votre bon sens et la satisfaction complète de vos sensations ? Autre question existentielle,  votre désir est-il né de l’envie de la satisfaction de l’autre  ou de votre propre envie de vous satisfaire ?

En aimant cherchez-vous davantage à aimer ou à être aimer ?

Curieusement, il faut remonter à l’enfance, entre le vingtième et le trentième mois  ou sans le secours d’une école on apprend les mots, découvre les règles du comportement et même ce que nous devrions faire pour éviter de rencontrer la souffrance et apprendre à aimer pour parvenir à comprendre les raisons de ce qui précède.

En étudiant cela on a pu observer que l’enfant privé de chaleur humaine prend un retard considérable dans ses apprentissages.

On n’a pu, aussi observer, qu’un enfant mal aimé, ou mal entouré, à cet âge passera une bonne partie de son existence à tenter de retrouver ou de compenser ce manque d’attention initial. Il développera même avec le temps un sentiment masochiste se disant que s’il n’a pas été aimé en fait c’est à lui même qu’en reviendrait la faute. Conception erronée qui le contraindra à prendre le masque de tout les sacrifices pour que cet adulte, voire les autres adultes, en viennent à l’aimer.

Combien de vie ont été perturbée voire gâchée en raison de ce manque de chaleur humaine à un moment si crucial et  primordial du développement humain. Peut-être, s’agit-il  de la principale raison de la majorité des souffrances ressenties dans la manière d’aimer aujourd’hui ?

Combien de tyrans ont trouvé leurs pires et plus infâmes justifications en raison de cela ?Les découvertes ces dernières années, nous ont apprises notamment par  les recherches en neuroscience que sans attachements, il n’y a pas d’empathie. Et que le « JE »  ne peux pas vivre seul sinon nous devenons agressif et sadique avec notre environnement social. Il a aussi été établi que le bain sensoriel dépend essentiellement des attitudes parentales attentives et bienveillantes.

Ces études ont également constaté que l’excès de sécurité affective pouvait curieusement provoquer presque les mêmes symptômes en rendant dépendant par le manque d’assurance.

Tout cela dit, plus simplement : c’est parce que je t’aime que je vais faire ce tu veux et aussi ce qui est bon pour moi. Mais voilà pour que cela se passe naturellement bien, il faut avoir été entouré de chaleur humaine au bon moment.

Le déroulement de notre vie nous fait passer par de nombreuses étapes et souvent les moins heureuses se caractérisent par un manque de chaleur affective.

A l’adolescence, il est fréquent que les problèmes de communications soient générés par un manque de chaleur effective ou d’attention des adultes.

Puis plus tard les séparations affectives vécues nous confronteront violemment à nouveau au manque de chaleur affective.

Parfois la vie professionnelle avec le cloisonnement peut aussi conduire à souffrir du manque de contacts humains dans certaines professions.

Les ainés ont ceci de commun avec les adolescents que le manque de chaleur humaine provoque en eux parfois les mêmes drames qu’au moment de leur adolescence.

Ceci rend vrai que l’individu ne  peut pas vivre agréablement s’il n’échange pas des informations affectives. Comme il est maintenant prouver que c’est le manque de chaleur humaine qui provoque le désir d’agression chez l’humain générant en lui une envie d’attirer l’attention en utilisant la violence.

En conclusion, la science de l’observation humaine à fait de considérables progrès et nous savons tous maintenant que sans le partage de chaleur humaine nous sommes en état de souffrance.

Alors faites ce petit geste sympathique d’écoute de l’autre et offrez chaque jour, quelques minutes de votre temps pour diffuser autour de vous un peu de cette si précieuse chaleur humaine.

Ainsi de la compréhension de la vraie nature de votre désir naîtra votre meilleure  et durable source d’équilibre.

Conclusion, les expériences négatives vécues aux contacts de nos parents dans notre prime enfance, et plus généralement avec les adultes, conditionnent et déterminent durablement notre façon intime d’apprendre l’amour de l’autre.

Le secret de notre véritable bonheur ne pourra se révéler, peu à peu à nous, qu’en réglant  les erreurs de communication et de compréhension de ce qui précède.

C’est en corrigeant nos premières conclusions erronées que nous auront une chance de trouver les raisons secrètes de notre propre évolution en prenant ainsi conscience que sans amour, rien n’est réellement possible pour assurer notre futur.

Sinon, les pensées immatures suggérées dans notre enfance continueront d’influencer durablement notre mal être en conditionnant ainsi l’essentiel de nos comportements.

Puis, il faut accepter un nouveau concept, qui est que nous sommes les miroirs des uns et des autres.

Par la méditation et l’acceptation de ce concept, nous pourront enfin parvenir sans encombre au plaisir de la rencontre et découvrir un peu de l’image de soi chez l’autre pour parfois  aussi, reconnaître un peu de l’image de l’autre chez soi, ce qui nous aidera à s’aimer davantage.

Puis plus après, avoir jouis du bonheur partagé, nous prendrons alors conscience d’une appartenance universelle qui nous conduira à vouloir le bonheur des autres, de soi même et de sa descendance.

C’est aussi l’affection partagée pour l’humain qui est le fondement naturel de notre humanité et la meilleure aspiration à conquérir pour progresser vers un monde global plus heureux du vivre ensemble. Ainsi l’aspiration à un monde global de l’amour partagé sera fort et plus puissant que la globalisation du profit économique.

Chacun de nous est  donc bien un miroir pour les autres et c’est par le rayonnement de nos intentions positives que nous pouvons convaincre les autres d’adopter le bon sens qui conduit à un bonheur collectif. Favorisant l’avenir de notre civilisation et non pas sa destruction. Si, nous prenons la bonne décision de le vouloir. C’est notre liberté de choix qui fera toute la différence du devenir de la planète.

L’intime besoin de chaleur humaine

Curieusement l’enfant entre le vingtième et le trentième mois  sans le secours d’une école apprend les mots, découvre les accents, découvre les règles du comportement et même ce qu’il doit faire pour éviter de rencontrer la souffrance.

 Si l’on pas encore constaté exactement toute les raisons du pourquoi, ce petit être fait un tel effort gigantesque qui consiste en quelques mois à apprendre à se dresser sur ses jambes, à mémoriser une centaine de mot, à comprendre la symbolique et l’utilisation approprié du mot.  On a pu observer que l’enfant privé de chaleur humaine prend un retard considérable dans ses apprentissages.

 Face à l’enfant, les adultes consacrent un effort considérable d’expression de la chaleur humaine pour gagner son affection  et il semble bien selon les observateurs que c’est cette même chaleur humaine qui soit le moteur des progrès lors des apprentissages.

 On n’a pu, aussi observer, qu’un enfant mal aimé, ou mal entouré, à cet âge passera une bonne partie de son existence à tenter de retrouver ou de compenser ce manque d’attention initial. Il développera même avec le temps un sentiment masochiste se disant que s’il n’a pas été aimé en fait c’est à lui même qu’en reviendrait la faute. Conception erronée qui le contraindra à prendre le masque de tout les sacrifices pour que cet adulte, voire les autres adultes, en viennent à l’aimer.

 Combien de vie ont été perturbée voire gâchée en raison de ce manque de chaleur humaine à un moment primordial du développement humain. Peut-être, s’agit-il d’une confortable majorité des êtres humains ?

 Les découvertes ces dernières années, nous ont apprises notamment par  les recherches en neuroscience que sans attachements, il n’y a pas d’empathie. Et que le « JE »  ne peux pas vivre seul sinon nous devenons agressif et sadique avec notre environnement social. Il a aussi été établi que le bain sensoriel dépend essentiellement des attitudes parentales attentives et bienveillantes.

 Nous avons en fait, besoin d’être anxieux afin de se lier à la personne qui nous sécurise et cela est le fondement essentiel de notre plaisir d’aimer et d’apprendre à évoluer.

 Ces études ont également constaté que l’excès de sécurité affective pouvait curieusement provoquer presque les mêmes symptômes en rendant dépendant et manquant d’assurance.

 Tout cela dit, plus simplement : c’est parce que je t’aime que je vais faire ce tu veux et aussi ce qui est bon pour moi.

 Le déroulement de notre vie nous fait passer par de nombreuses étapes et souvent les moins heureuses se caractérisent par un manque de chaleur affective.

 A l’adolescence, il est fréquent que les problèmes de communications soient générés par un manque de chaleur effective ou d’attention des adultes.

 Puis plus tard les séparations affectives vécues nous confronteront violemment à nouveau au manque de chaleur affective.

 Parfois la vie professionnelle avec le cloisonnement peut aussi conduire à souffrir du manque de contacts humains dans certaines professions.

 Les ainés ont ceci de commun avec les adolescents que le manque de chaleur humaine provoque en eux parfois les mêmes drames qu’au moment de l’adolescence.

 Ceci rend vrai que l’individu ne  peut pas vivre agréablement s’il n’échange pas des informations affectives. Comme il est maintenant prouver que c’est le manque de chaleur humaine qui provoque le désir d’agression.

 En conclusion, la science de l’observation humaine à fait de considérables progrès et nous savons tous maintenant que sans le partage de chaleur humaine nous sommes en état de souffrance.

 Alors faites ce petit geste sympathique d’écoute de l’autre et offrez chaque jour, quelques minutes de votre temps pour diffuser autour de vous un peu de cette si précieuse chaleur humaine.

 Merci d’avance !

Aimer ou être aimé ?

Les expériences négatives vécues aux contacts de nos parents dans notre prime enfance, et plus généralement avec les adultes, conditionnent et déterminent durablement notre façon intime d’apprendre l’amour de l’autre.

Le secret de notre véritable bonheur ne pourra se révéler, peu à peu à nous, qu’en réglant  les erreurs de communication et de compréhension de ce qui précède.
C’est en corrigeant nos premières conclusions erronées que nous auront une chance de trouver les raisons secrètes de notre propre évolution en prenant ainsi conscience que sans amour, rien n’est réellement possible pour assurer notre futur.

Sinon, les pensées immatures suggérées dans notre enfance continueront d’influencer durablement notre mal être en conditionnant ainsi l’essentiel de nos comportements.

L’image de soi reflète comment on se voit, ce que l’on croit être, ce que l’on croit qu’on est capable de faire, comment on croit que les autres nous voient.  Elle produit une sorte de photo imaginaire de nous-mêmes, de ce que nous avons en tête, elle précise quel rôle nous voulons jouer, de quel masque nous voulons nous parer pour échapper à la réalité qui nous a blessée.

L’image de soi peut-être le moteur ou la négation de notre devenir. Une bonne image
nous apporte la confiance en nous même et une mauvaise image renforcera nos peurs et nous incitera à mesurer et à se méfier de la médiocrité des autres. Ainsi nos peurs, nous inciterons à ne pas prendre les bons risques calculés.

Accéder à l’amour véritable demande  l’acceptation entière de soi, et la correction des erreurs initiales imposées par notre environnement, pour pouvoir aimer l’autre sans les entraves générés par les mauvaises expériences du passé.
Puis, il faut accepter un nouveau concept, qui est que nous sommes les miroirs des uns et des autres.

Par la méditation et l’acceptation de ce concept, nous pourront enfin parvenir sans encombre au plaisir de la rencontre et découvrir un peu de l’image de soi chez l’autre pour parfois  aussi, reconnaître un peu de l’image de l’autre chez soi, ce qui nous aidera à s’aimer davantage.
Puis plus après, avoir jouis du bonheur partagé, nous prendrons alors conscience d’une appartenance universelle qui nous conduira à vouloir le bonheur des autres, de soi même et de sa descendance.
C’est aussi l’affection partagée pour l’humain qui est le fondement naturel de notre humanité et la meilleure aspiration à conquérir pour progresser vers un monde global plus heureux du vivre ensemble.
Ainsi l’aspiration à un monde global de l’amour partagé sera fort et plus puissant que la globalisation du profit économique.

Chacun de nous est  donc bien un miroir pour les autres et c’est par le rayonnement de nos intentions positives que nous pouvons convaincre les autres d’adopter le bon sens qui conduit à un bonheur collectif.
Ainsi sera l’avenir de notre civilisation si, nous prenons la bonne décision de le vouloir.

Mais attention au revers de la médaille, ne nous laissons pas prendre au piège de la réalité de l’autre, qui elle pourrait, avec de mauvaises intentions, nous conduire à nous plonger dans l’illusion.

C’est notre liberté de choix qui fera toute la différence de notre devenir sur la planète.

Le goût du plaisir de la sensorialité

C’est par l’usage de ses sens que l’enfant reconnaît les objets et les événements qu’il perçoit, qu’il élabore sa conception du monde et de lui même. On peut donc dire que la première approche de l’environnement est  généralement un plaisir sensoriel.
 
Scientifiquement le système sensoriel fait  partie du système nerveux qui est responsable de la sensation. Il regroupe les récepteurs sensoriels, les voies nerveuses, et les parties du cerveau responsables du traitement de cette information .
 
L’ensemble des systèmes sensoriels se réfère à ce qui est capté par : la vision, l’odorat, le goût, l’ouïe et le toucher.
 
Le ressenti  physique s’effectue par la pression, la chaleur, l’odeur, la douleur et l’ensemble des sens sont stimulés par la lumière, le son, la température et le goût.
 
Les organes sensoriels déterminent ainsi l’existence de la réalité ressentie de ce qui nous entoure.
 
Du point  de vue biologique les réactions captées par les organes sensoriels crées des impulsions électriques qui deviennent des messages nerveux  qui nous apportent une sensation de bien être ou de répulsion.
 
Ces mécanismes de réactivités organiques créent des situations d’excitations qui jouent un rôle important dans la perception du plaisir et de la souffrance. C’est pourquoi nous devons être sensoriel pour pouvoir goûter pleinement le plaisir et comprendre le sens de la souffrance.
 
Le plaisir c’est le sentiment éprouvé lors de la réussite d’un acte positif ou lors de la réception d’un stimulus agréable apporté par notre environnement. La douleur ou la souffrance sont des signaux d’alarmes produits en réaction par nos facultés intellectuelles pour nous avertir d’un danger ou d’un disfonctionnement d’un organe du corps. On peut ainsi dire que toute souffrance est en réalité une demande inconsciente d’adaptation pour retrouver la sensation du plaisir.
 
C’est ainsi notre capacité de percevoir qui détermine notre capacité d’agir pour devenir acteur de notre propre destin et ainsi définir les contours de notre personnalité et des conditions idéales pour satisfaire nos besoins de plaisirs.
 
La personnalité nous permet d’avoir la conscience de soi et de choisir d’offrir le don de sa personne en nous permettant d’être en parfait accord avec notre environnement tout en nous respectant nous même en exprimant notre véritable désir.
 
C’est pourquoi être sensoriel est si essentiel dans le vécu de notre vie.

Nous savons désormais que nos sens sont des organes de perception qui nous servent à :  comprendre ce qui nous entoure.                                                                                     
Agir sur l’autre et le monde.                                                                                           
Nous adapter aux situations qui nous touchent.                                                            
Survivre en cas de besoin.                                                                                             
Choisir une vie plus agréable  et  confortable .                                                                               
Savoir pourquoi nous réagissons et agissons.

 
Que cela nous permet aussi de  faire face aux aspects négatifs qui nous rendent insatisfait de notre image.                                                                                               
Comme ne pas oser exprimer le rejet de l’odeur de l’autre.
Ne plus vouloir ressentir notre sensorialité. 
Perdre le goût des aliments et de la vie.
 
Il est donc essentiel de comprendre et d’agir sur ces divers points afin de trouver notre équilibre dans notre quête du bonheur.
 
Eh.. Tout cela est la clé de votre plaisir de vivre.

Véritable amour ou illusion passionnelle ?

La passion est un amour devenu déraisonnable qui nous conduit à avoir des illusions passionnelles.

Nous nous forgeons dans notre raisonnement d’innombrables fictions nées de nos illusions passionnelles c’est pourquoi nous devons sans cesse remettre en question notre entendement entre les notions bien et mal, perfection ou imperfection.

Nos appels du désir sont-ils tous réalisables ? Ou est cachée la réalité de notre ressenti ? Peut-on décider toujours décider d’être conscient de ce que l’on fait ?

Comment passe-t-on de l’état de connaissance à la compréhension des causes qui le justifie?

La réponse est sans doute dans la volonté que l’on met lorsqu’on est poussé par un désir cohérent et sans équivoque en recherchant que ce qui est bien et bon pour nous.

En réalité quand notre volonté  nous paraît faible c’est seulement quand elle va dans le sens contraire aux treize forces qui nous animent :

Notre capacité d’écoute.

La concentration de notre volonté.

L’art d’émettre des pensées positives.

La maîtrise de notre raisonnement.

L’aptitude à la persévérance.

Le partage de l’enthousiasme.

La capacité de générer de l’optimisme.

L’application de notre intelligence contre la force brutale.

Le droit à la reconnaissance d’être.

Le savoir faire rayonner nos connaissances.

L’art d’utiliser les circonstances.

La maîtrise des énergies psychiques.

La réflexion associée à la maîtrise du temps psychologique.

Avec la croyance que nous avons la force de mettre en action n’importe quelle idée, nous oublions et nous ne remarquons même pas les forces qui sommeillent en nous.

Pourtant nous ne trouverons notre équilibre qu’en vivant notre amour réel en harmonie à ces treize forces qui nous conduisent vers le mieux être en nous libérant  ainsi de nos illusions émotionnelles.

Voilà ce qui est probablement la recette pour aller vers votre bonheur

Suivrez-vous le chemin indiqué ?