Archive for the ‘Choisir d’agir’ Category

Croire ou voir le réel, là sera l’important choix

Le libre arbitre serait la faculté mentale qui nous permettait de choisir librement d’agir selon notre bon vouloir. La croyance en l’existence du libre arbitre serait liée au sentiment d’être en mesure d’exercer un certain contrôle sur son…comportement.

Pour Sartre l’humain serait ainsi totalement responsable de ce qu’il est.

Ainsi, notre réalité personnelle serait l’élément qui pourrait aussi définir ce que nous sommes.

Le problème est que en réalité, le mental humain voit le monde que selon l’image qu’il en a apprise créant ainsi sans cesse sa propre illusion basée sur ce qu’il croit avoir reconnu selon l’étendu de sa connaissance.

Pour avoir une saine liberté, il faudra donc apprendre à découvrir la réalité de ce qui se cache dans l’au-delà d’une illusion faussement perçue.

En conclusion… Sans la conscience de ce qui est réellement réel on ne pourra jamais prouver ce qui n’existe pas et notre tendance à être toujours mécontent et insatisfait ira également à l’encontre de notre désir ou libre arbitre facilitant notre désir de mieux vivre. Finalement ce qui ne changera pas décline… Et fera mourir nos plus belles des intentions. L’homme sage sait ce dont il a souffert et il sait également ce qu’il ne doit pas vouloir reproduire.

Cultivons simplement le plaisir de vivre

La vraie sagesse de la vie… « Est savoir découvrir le merveilleux des petites choses, jour après jour. » et les plus belles toiles de sa vie sont celles qui se tissent avec les intentions que l’on a dans le cœur.

Le réel savoir vivre est de recevoir chaque jour l’instant plaisir qui apporte la joie permettant d’oser s’amuser et se détendre afin de rendre agréable sa vie et celles des autres.

La gentillesse est le sésame de toute relation humaine heureuse et satisfaisante. Il ne faut jamais craindre le bonheur qui est juste un bon moment à vivre.

Apprendre à positiver c’est savoir dire merci à la vie et le vrai secret du bonheur est être simplement heureux avec ce que tu as pendant que tu continues ce que tu désires.

Le regard de l’autre n’est pas le plus important c’est ce que tu décides d’être dans la relation qui est l’indispensable. L’opinion de l’autre n’est vérité que pour celui ou celle qui l’exprime.

Dans la vie, ni on gagne, ni on perd, ni on échoue par prudence ou triomphe par excès. Dans la vie on apprend, on grandit, on se découvre, on tisse, on file et parfois on se défile, puis, on recommence chaque jour.

N’oublie jamais que ta vie est une flamme qui finira par s’éteindre si tu ne l’alimentes pas de tes rêves tout en sachant cultiver le jardin secret de tes désirs qui t’offre joie et plaisir simple pour vivre heureux.

On ne peut pas changer l’être humain, ni le rendre heureux par la contrainte, on peut juste faire appel à sa conscience et lui apprendre à reconnaitre sa capacité à se connecter à son désir de vivre mieux.

Ne cessez jamais d’écouter cette petite voix intérieure émanant du cœur et parfois de la raison qui vous dit que cela en vaut la peine.

Et comme la si justement écrit Friedrich Nietzsche « on trouve bon goût que à ce qui nous fait du bien et le plaisir et la peine ne sont rien que des antithèses ».

La véritable sagesse n’est que l’émerveillement pour les petites choses qui rendent agréable la vie.

Réponds donc à tes envies, simplement avec justice et bon sens et le reste de ta vie trouvera sa bonne place naturellement. Nous sommes juste « ici et maintenant, la continuité d’hier et le rêve de demain » sans autres fanfaronnades ni soumission á un ego surdimensionné.

N’en déplaise aux croyants rigoristes qui promotionnent l’idée du pêché à ne pas commettre depuis plus de 2000 ans, aux castrateurs ou castratrices de la pensée bienveillante qui prodiguent les conseils du bien être pour l’autre qui n’est jamais bon de s’imposer à soi.

La nécessaire jouissance des délices du plaisir à ressentir et à partager est depuis la naissance de l’humain sur cette planète, ce qui génère la satisfaction, la joie de vivre et le plaisir de vivre afin de répondre à l’appel de son désir d’un futur plus agréable.

Il serait sot et une erreur fatale avec de graves conséquences que de se priver des bienfaits du bonheur et de cette indispensable raison qui nous permet d’apprécier la qualité du ressenti du plaisir de vivre.

Oser être soi ou accepter de porter un masque ?

Confronté au quotidien de sa vie, nous apprenons peu à peu à porter un masque pour atteindre nos objectifs. L’enfant, dès ses premières années, apprend qu’il doit masquer ses sentiments dans le but de plaire aux autres ou obtenir ce qu’il veut.

Au début, nous étions que perceptions, sensations et émotions, puis, il y a la découverte de l’autre et de la nécessité d’entrer en contact pour satisfaire nos besoins primaires. Nous découvrons que cet être peut répondre à nos besoins si l’on attire et séduit son attention. Et puis, nous commençons à ressentir des peurs, des joies et nous constaterons que nos attitudes déclenchent des manifestations d’émotions chez l’autre, de la joie, de l’angoisse, de la colère, des expressions d’amour et de tendresse.

Alors, nous adopterons certaines croyances à propos de qu’il faut faire ou ne pas faire pour séduire et obtenir ce que l’on désire.

Ainsi, d’expérience nouvelle en nouvelles expériences au contact de l’autre, nous comprendront intuitivement qu’il nous faut porter un masque de séduction voire d’agression, pour séduire et se voir satisfait par l’autre.

Plus tard, viendra le moment de la réprimande, juste ou injuste, et nous découvrons aussi que nous attirons des récompenses agréables ou des punitions.

Plus mature, avec l’âge on commencera à savoir à quels rêves ont tient le plus, nous comprendrons que la société nous apporte des bienfaits et aussi des contraintes désagréables en nous suggérant d’adhérer à des nouvelles croyances sur ce que nous devrions être ou ne pas être pour ne plus avoir à subir souffrances et punitions.

Vient alors le temps du questionnement. Avons-nous eu les bons comportements ? Ceux à qui nous faisons confiance sont-ils fiables ? Pourquoi avons-nous certains réflexes face à des situations données ? Peut-on être seulement soi ou doit-on toujours porter un masque ? Nous devrons découvrir aussi que nous avions la peur que se reproduisent des situations désagréables ou des souffrances vécues.

Dans d’autres cas, nous apprenons également que nous avons construit parfois notre vie sur des suggestions erronées, autant sur les plans affectifs que professionnels. Que nos choix de vie ne correspondraient plus à notre vouloir être et bien vivre ? Ce sera à ce moment précis, que par sagesse nous apprendront qu’il faudra juste oser faire face et faire de nouveaux choix, pour décider d’agir d’être en accord avec soi-même.  Rangeant définitivement dans les souvenir les masques qui nous ont fait souffrir ou faussement soulagé en décidant désormais de porter d’autres masques plus aimables et agréables sans de trop néfastes conséquences.

Pourrons-nous renoncer de subir les souffrances générées par nos anciennes peurs ? Trouverons-nous les clefs qui ouvrent notre positivité en transformant nos craintes en nouvelles opportunités de confiance dans la vie ?  A ce niveau de conscience, nous désirerons naturellement apprendre à nous ouvrir à de nouvelles joies source d’un nouvel équilibre. Nous savons que les pensées positives conduiront à notre bien-être et avons bien compris que les négatives nous apportent que de la souffrance.

Enfin nous auront le privilège plus tard, l’âge de sagesse étant survenu, d’avoir le courage de nous libérer de tous nos masques pour se porter de mieux en mieux de jours en jours restant toujours simplement vrai.  Et que finalement, pour toujours être soi, nous devons vivre en priorité le ressenti de la joie et du plaisir du moment présent, apprenant également à faire les bons choix en harmonie avec désormais ce que l’on ne veut plus, mal ressentir où ne plus avoir à vivre.

Choisir de vivre ou rêver de s’éteindre à petits feux ?

Parfois, fais de toi une priorité, ce n’est pas égoïste, c’est nécessaire pour avancer.

Tes rêves se concrétisent quand tu n’as plus d’excuse pour ne pas le faire. La vie récompense tes efforts pas tes excuses. Continuer à s’abstenir de choisir est offrir le droit d’agir aux mauvaises intentions des autres qui t’environnes.

On doit apprendre à choisir ses pensées comme on choisit un vêtement, le matin en se levant. N’accepte jamais ce qui ne te rend pas heureux (se).

Les belles personnes s’apprécient par leur qualité de cœur non pas pour leur apparence ou encore ce qu’elle t’offre.

Tu n’es pas libre quand tu fais ce que tu veux, tu es libre quand tu exprimes ce que tu es.

Fais ce que tu aimes, ce que tu penses juste de faire. Ainsi tu trouveras ton meilleur équilibre de vie.

Il faut apprendre à ne plus se retourner… Continues et avances.

L’acteur(trice) de sa vie :

– Ecoute son cœur.

– Raisonne et médite.

– Sais faire ses choix

– Agis sans avoir peur.

L’optimisme est comme un muscle, il se renforce par l’utilisation de la pensée positive. En positivant nos pensées, nous pouvons agir comme nous le voulons.

Il ne faut jamais craindre le bonheur c’est juste un bon moment à vivre.

Que de temps perdu à ne pas juste… ressentir l’essentiel de la beauté du temps qui passe.

La liberté est savoir choisir les chaines qui nous sont les plus agréable à porter. Sans ta volonté et tes choix, la vie ne seras qu’un jeu de hasard.

Le réel plaisir de vivre est savoir recevoir chaque jour, cet instant plaisir qui t’apporte ce petit moment positif et indispensable de ressentir la joie du moment.

Ta vie est une flamme qui finira par s’éteindre si tu ne l’alimentes pas utilement de tes rêves.

Choisir de vivre et de ressentir à 100%, c’est juste, le bon choix à faire.

L’avenir n’est que fruit mûr d’un choix et choisir est aussi la conséquence de ton désir d’agir. Le réel plaisir d’être curieux est savoir choisir de voir le bon moment à tous les âges.

Oses choisir ?.. Les pensées positives conduisent à ton bien être, les négatives à tes souffrances.

L’indécision te rendra malheureux(se).                                                               

Vois, choisis et agis et tu seras maître de ton avenir et ta réelle liberté, sera simplement la récompense, d’avoir eu la volonté de choisir.

Quand…  Je choisi d’être heureux et vivant, je le suis. C’est l’effet de ma volonté.

Choisir est un art difficile, c’est pourquoi tant de gens renoncent à le faire.

L’échec assuré est toujours de ne pas choisir et le doute devient angoisse quand on ne sait pas choisir. Penser sans choisir sera qu’un rêve déçu et agir sans penser deviendra le faux espoir.

Mais si, il est vrai que celui qui a faim dévore sans choisir. Vieillir sera aussi parfois apprendre à ne plus choisir quand ce qui te reste de mémoire choisira automatiquement,  mis en état de survie, à ta place la réalité qui t’arrangera le mieux.

Choisir d’agir pour mieux vivre

On ne peut pas changer l’être humain, on peut juste faire appel á sa conscience et lui apprendre à reconnaitre sa capacité à se connecter ou reconnecter à son désir de vivre mieux. On n’insuffle pas l’idée du bonheur malgré soi, on peut seulement rappeler que l’organe principal de l’action humaine est la pensée, apprendre à l’utiliser et grâce à elle tout commence ou recommence.

La pensée sans l’aide du savoir qui la raisonne et de l’intelligence qui lui indique la voie à suivre ne sera qu’une émotion non comprise, parfois non acceptée, et apprendre à s’ouvrir á recevoir de nouvelle joie est le meilleur antidote contre la morosité.

La distance entre le rêve et la réalité s’appelle le choix d’agir, sachant que parfois une nouvelle réalité se cache dans les désirs d’un rêve. Il faut toujours assumer le désir qui s’exprime dans un rêve, car il trace le chemin à suivre vers un futur plus agréable.

Le seul échec assuré est ne pas saisir sa chance dans toute transformation de vie, c’est aussi ne pas vouloir essayer de changer ce qui provoque en soi le mal être et la souffrance.

Imaginer un futur est l’inventer et choisir d’agir est ce qui permet de le concrétiser. Envie et volonté sont les outils qui aident à transformer un rêve en une nouvelle étape pour vivre mieux.

Pour pouvoir agir, il faut parfois observer ses peurs et s’apercevoir que dans nombreux cas, elles sont seulement créations de son imaginaire, peurs parfois suggérées par le manque d’optimisme et de courage.

Il n’y a pas de joie de vivre sans patience. La joie est la graine que l’on sème, le bonheur se cultive peu à peu et le plaisir de vivre est le fruit de la récolte.

Oser apprendre d’une erreur ou d’un mauvais choix est plus utile que de rien faire, la liberté de l’humain est simplement d’avoir la volonté de vouloir choisir un devenir plus agréable à vivre.

Apprendre à choisir de vivre mieux est aussi s’ouvrir à la connaissance de l’autre et apprendre sera toujours plus utile que de se souvenir que quand la réalité s’échappe dans une direction non désirée, il faut juste vouloir y faire face et avoir le désir de changer de direction.

Si le doute s’appelle angoisse quand on ne se sent plus maître de soi, chaque fois que tu pleures, une partie de ta chance ne fait que s’envoler et ta crainte sera alors l’évidence d’avoir à vivre un futur non souhaité.

Selon Antonio Gramsci « le pessimisme est affaire d’intelligence ; l’optimisme de la volonté ». Sans l’étincelle de l’émotion et du désir, il n’y a pas de projet possible et en temps difficile, aimer l’autre est la seule urgence indispensable.

L’espace d’une vie est le même qu’on le passe en chantant ou en pleurant énonce un proverbe japonais.

A toi de choisir ? Les pensées positives conduisent à ton bien être, les négatives à ta souffrance. Il faudra aussi savoir accepter que l’intelligence s’enrichît de ce qui est observé, sachant que le cœur gagne dans l’échange quand il partage avec sincérité.

Autre petit secret à méditer pour bien vivre, la vie et ton entourage t’aimeront si toi tu t’aimes.

L’âme dans le sens de ce qui anime est le choix de la volonté et la sagesse n’est autre que l’émerveillement de la vie.

Selon Jean Cocteau dans son livre la difficulté d’être, “la beauté aime ceux qui l’épouse pour assurer sa continuité”, il en va de même pour la volonté de concrétiser ses désirs de vivre mieux en choisissant l’option d’agir.

Eloge du bon sens

Voici quelques règles à méditer pour vivre mieux, en harmonie avec soi, afin d’obtenir une qualité de vie satisfaisante :

1/ Faire la paix avec soi-même et accepter de se pardonner nos erreurs ou incompétences apportent calme et sérénité dans la vie et contribuent à la maîtrise de soi et de ses choix.

2/ Croire l’invérifiable, c’est ouvrir la porte au mensonge de l’autre. La croyance aveugle nuira à la compréhension du monde qui nous entoure et nuira à nos désirs sains.

3/ Avoir l’envie de concrétiser un plaisir simple sera la source naturelle de toute joie á venir, elle est aussi notre force motrice. La source de notre devenir.

4/ Dédies toi avant toutes choses à te sentir bien avec toi-même en harmonie avec tes aspirations pour n’ouvrir que la porte du plaisir de ton mieux-être.

5/ Ne sois pas trop exigeant avec toi et dans tes désirs, cela te permet de trouver le juste équilibre et le bon sens à vivre.

6/ Evites les contestations inutiles, temps perdus, comme de faire de faux compromis temporaires ou l’on sort également généralement perdant. Apprends simplement à choisir de dire non quand cet utile.

7/ Vivre intensément les situations positives, est choisir d’affirmer notre volonté et donne l’élan nécessaire pour progresser face à toutes situations.

8/ L’acceptation du fait que l’autre n’est pas toi et que tu ne seras jamais l’autre favorise ta recherche d’équilibre et de justice et t’aide à vivre mieux au quotidien.

9/ Faire un choix, valorisant les choses que tu peux faire toi-même est mieux que de dépendre des autres pour agir.

10 / La confiance aveugle est trompeuse comme de risquer de faire dépendre sa vie, selon les seules lois du hasard, n’est jamais sans risque, ni conséquences, elle t’expose subir tous les aléas et vents contraires.

11/ Diffuses le bonheur et le positivisme autour de toi sera ce qui renforce ta force de vie et t’aide à vivre mieux dans toutes les situations.

12/ Recherches l’équilibre du savoir être, en trouvant ta juste place dans ton environnement. Ainsi tu t’éviteras de nombreuses maladies physique et psychique. Prend soin de ton corps c’est le véhicule de ta vie et ton meilleur allié pour franchir les étapes.

13/ Portes un regard affectueux bienveillant sur ton entourage, celui qui sera une aide bienvenue en cas de nécessité.

14/ S’ouvrir à l’autre est aussi accepter de le/la recevoir dans sa vie. Honnêteté et franchise sont les clés qui tissent les liens durables. Offrir le meilleur de soi-même est l’unique vitamine qui apporte la joie de vivre au quotidien.

15/ Ecouter les autres en choisissant ce qui est bon et qui sert de leçon, en rejetant les personnes négatives et toxiques de son environnement social est une saine pratique. Faire toujours de son mieux est le meilleur conseil à appliquer pour avoir le meilleur de la vie.

16 / Plus facile à dire que à faire ? Ne fais jamais une affaire personnelle d’une remarque ou un reproche que l’on t’adresse. Le jugement de l’autre se fonde sur sa réalité qui n’est pas la tienne. Ce qui est valable pour l’autre ne l’est pas pour toi, sois prudent et ne fais aucune supposition à partir de cela.

17/ Parfois, il faut apprendre à vivre avec ses sensations de mal être sans trop accorder d’importance au mauvais temps qui passe. Après le mauvais temps survient toujours l’éclaircie. Il suffit d’attendre et non de se préoccuper avec un excès d’anxiété qui déséquilibre et fait souffrir.

18/ Que ta parole soit toujours impeccable préservant ta liberté de choisir en toutes circonstances cela évitera les pires déceptions.

19/ Refuses de renoncer à un rêve porteur de progrès par peur ou médisance d’autrui, laisses l’optimisme guider ta vie.

20/ Calme, respect, méditation, raisonnement, choix, projet sont les outils utiles pour te préparer un futur à ta mesure en t’évitant des erreurs de jugements.

21 /La difficulté rencontrée est le mur que crée notre pensée par instinct de survie ou par manque d’imagination et de connaissance. La vie mettra des pierres sur ton chemin, tu peux décider d’en faire un mur ou un pont. Rechercher l’autre chemin ou la solution de bon sens, elle te permet d’atteindre ton but avec persévérance.

22/ Accomplir ses choix de vie en pensant à partager et faire rayonner son savoir facilite l’évolution des générations du futur.

L’observateur du monde doit devenir participant

De simple observateur du monde, tu peux devenir participant(e), le choix de cette action individuelle te permet de rejoindre le collectif qui changera le monde, bien plus que l’action des politiques qui cherche seulement à préserver leurs intérêts.
L’actualité nous fait découvrir chaque jour de nouveau scandale politique confirmant ainsi que c’est de l’envie de préserver des intérêts que nait la pire corruption de l’homme politique, et comme le pensait  déjà Voltaire, « c’est de ce souci de préserver l’habitude qui nait l’intention de la tyrannie ». C’est Jules Michelet qui aura le mieux décrit le sens de la politique « La politique est l’art d’obtenir de l’argent des riches et des suffrages des pauvres sous prétexte de les protéger les uns des autres». Malheureusement la politique devient corruption quand elle commence à être action de l’un sur l’autre et  devient souvent dramatique quand elle est action contrainte d’une majorité, qui se révèle souvent être qu’une minorité corrompue, de l’ensemble de la société.
Au lieu de se lamenter sur la corruption de certains, la meilleure manière de réagir est d’inciter l’ensemble des citoyen(ne)s à apprendre à gérer leur nation ; à participer à la société qui l’environne ;  à rejoindre et choisir le programme de ceux qui ont envie de progresser pour vivre mieux ; à ne pas voter pour des personnalités qui ne sont qu’apparence ; à ne pas accepter la corruption comme une évidence naturelle du politique. En démocratie quand les hommes qui dirigent sont mauvais, il faut les remplacer et pour le faire il faut apprendre à choisir et passer du simple stade d’observateur à celui de participant. C’est l’abstention en politique qui  offre la force aux pires corrupteurs.
Merci d’y penser et d’agir !

Au moment de faire / Al momento de hacer

« Lorsque tu fais quelque chose, saches que tu auras contre toi ceux qui voulaient faire la même chose, ceux qui voulaient faire le contraire et l’immense majorité de ceux qui ne voulaient rien faire » Confucius (551/479 av. J.-C)

“Cuando decidas hacer algo, tienes que saber, que tendrás en contra a los que quieren hacer lo mismo, a los que quieren hacer lo contrario y a todos que no quieren hacer nada”  Confucio (551/479 antes J.-C)

Eloge du bon usage de la folie de penser

Quand la folie de penser discrédite ce que je crois sans savoir.

Favorisant l’opinion basée sur une croyance improbable.

Oubliant que Savoir n’est pas… Que Croire.

Et que l’auto critique, est un triste harcèlement que l’on s’impose.

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Quand l’incertitude devient ce rendez-vous manqué de la bonne pensée.

Sentiment douloureux du ne pas être parfait, adéquat, ni d’avoir raison.

Rendu victime d’une fausse croyance ambiante  niant le savoir être;

Fils d’une tromperie sociétale érigée en handicap du désir d’être.

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Quand la morale trop convenue s’offre en duperie d’utopie.

Apportant l’angoissant doute où l’on ne sent  plus maître de soi.

Placebo de la souffrance d’une auto-croyance incomprise.

Pensée automatique du surtout ne pas penser à… Pour ne pas avoir à être.

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Quand l’être humain redevient anxieux face à son destin ultime.

Devenu l’inquiet qui n’accepte pas, qu’il doit juste apprendre à faire face.

Victime complaisante et masochiste de son auto dénigrement.

Parfois trop complexé pour  retrouver le simple plaisir du rire.

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Esclave du penser peu, de celui qui a faim qui dévore sans plaisir.

Bêlant l’incessante plainte du gémissement de sa crainte du futur.

Ressassant sans cesse ses désespoirs en noires pensées.

Niant maladivement toute empathie ou compassion.

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Osera-t-il encore croire, à la bonne pensée, devenue alors l’idée folle ?

Acceptera-t-il les informations du ressenti agréable de ses nouvelles émotions ?

Surmontera-t-il la crainte du retour à l’indicible  souffrance ?

Activera-t-il  le récepteur affectif  utile à sa précieuse chaleur humaine ?

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S’ouvrira-t-il  au partage d’une joie, juste récompense d’une bonne pensée?

Revitalisera-t-il son  légitime désir de vivre un nouveau devenir.

Ravivera-t-il le puissant appel intime à revivre, un bonheur initial connu.

Acceptera-t-il le lâcher prise, la bouée à l’abandon du désir de survie.

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Réapprenant à rire de la folie de penser comme d’un mauvais souvenir.

Revendiquant  la délicieuse étape du penser plaisir avant de le recevoir ou faire.

Choisissant que  le facile à dire redevienne aussi…  Le facile à plaire.

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Ensoleillé par la pensée positive vitamine d’un mieux aller.

Permettant  ainsi l’incroyable rencontre entre folie et plaisir de penser.

D’où naîtra cet indispensable désir  d’avoir toujours la volonté de recevoir.

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Pour qu’avec l’autre, témoin miroir, s’anime un  plaisir partagé.

Ou compréhension et empathie équilibrée, seront  partenaires.

Pour qu’enfin… Folie de penser … Devienne, infinie sagesse.

Unie au plaisir vécu du… Il fait bon de vivre ensemble

Agir ou réagir ?

Créer sa vie pas à pas, instant après instant, est la méthode permettant d’atteindre les objectifs qui constituent notre bonheur et notre joie de vivre quotidienne.
La création de notre réalité progressive dépend souvent de notre aptitude à accepter simplement ce que nous offre la vie et de notre manière de gérer  les conséquences de ce que nous avons été les jours précédant.

Notre façon de  nous ancrer dans la réalité du présent, en pensant au futur, est l’antidote qui fera de nous un être actif ou réactif.
En fait, accompagner les événements qui nous surviennent et les orientés vers un futur qui nous convient nécessite la capacité d’observer ce qui nous arrive, puis de  penser aux conséquences et d’enfin choisir la direction que nous voulons donner à notre projet d’évolution.
Il ne s’agit donc pas seulement de ressentir, aimer ou haïr ce qui nous touchent mais d’analyser, de parfois juger sans a priori et de choisir le sens à donner à nos actions.

La zone à proscrire  dans nos craintes de non épanouissement, sont de seulement écouter nos anciennes peurs et nos intentions négatives, ainsi que d’accorder foi en nos croyances hasardeuses qui nous font accepter notre infortune comme une légitime punition en regard à notre supposé sentiment de culpabilité dans ce qui survient.
Nous somme parfois responsable mais rarement totalement et intégralement.

Dans chaque événement qui survient, il y a les aspects positifs et ceux qui sont négatifs. En s’offrant le temps d’évaluer les poids des uns et des autres on peut ainsi arriver à trouver dans chaque situation ce qui correspond à notre plaisir d’être et à notre envie d’atteindre un futur meilleur.
Pour finalement trouver notre propre secret individuel clé de notre légitime aspiration au bonheur.

Certes notre existence, est le plus souvent une suite de réactions au lieu d’être un enchaînement d’actions voulues et dirigées vers notre bien être.
Toutefois, c’est en cherchant à inverser notre tendance naturelle que nous avons une chance de trouver notre équilibre en réprimant nos énergies négatives et en les transformant en énergies positives.
Il devient ainsi vrais que toutes nos erreurs, tous nos défauts contiennent potentiellement la clé de nos futurs succès lorsque que nous les transformons en énergies positives.
Ces dernières peuvent aussi être la source du savoir des raisons de ce qui nous a fait souffrir  en étant aussi le générateur de notre envie de ne pas vouloir revivre cette souffrance.

Transformer la peur et la souffrance en confiance, est un art difficile mais, celle ou celui, qui y parvient répond ainsi sans obstacle à son besoin et le réalise sans attendre, en y trouvant de surcroît le plaisir de la satisfaction.
L’apprentissage des règles simples de ce jeu de la vie  est le meilleur garant du plaisir de vivre une existence heureuse. Et cela vaut bien la peine de faire un petit effort pour y parvenir.

Agir ou réagir, souffrir ou trouver du plaisir,  ne sont finalement qu’une question de choix ?  Prendrez-vous, désormais, toujours le temps de le faire ?

Qu’en pensez-vous ?

Répondre à nos fondamentaux ?

En tout premier lieu nous sommes une formidable envie de vivre, un désir d’être et d’accroître ce qui nous rend heureux. Un ensemble de forces internes  et extérieures qui nous animent face à des circonstances qui nous font d’abord réagir pour ensuite décider de consciemment agir.

Notre énergie vitale est d’abord inconsciente axée sur la survie de l’espèce puis de plus en plus  consciente par l’éveil à la connaissance et aux outils qu’elle nous offre pour progresser vers un mieux être.

De ce dialogue entre conscience et inconscience naîtront nos enthousiasmes et nos peurs. Nos succès et nos échecs.

De notre  manière de nous confronter à la satisfaction du plaisir et aux malheurs de la douleur, de la souffrance,  de la tristesse dépendront pour l’essentiel notre confort de vie.

La douleur et la souffrance génèrent la tristesse. Elles  nous amoindrissent  et freinent nos processus d’acquisition.Elles vont à l’encontre de notre nature et de nos fondamentaux  qui sont ainsi détournés de leurs buts initiaux.

Ces poisons nous nuisent si nous nous laissons vaincre par eux.

De notre courage à affronter ces menteurs que sont douleur et souffrance, naissent nos plus belles envies.

S’ouvrir à des joies nouvelles est notre meilleur antidote  contre les blessures de la souffrance et à la tristesse qui l’accompagne.

Plus nous seront capable de ressentir ce qui est bon pour nous et mieux nous nous porteront jours après jours.

Plus notre envie de vivre se réanimera et ainsi pourra agir pour retrouver un mieux être.

Plus nous serons capable de ressentir  dans notre vie ce qui est bon pour nous.

C’est l’accumulation des petites joies simples  et à notre portée qui peu à peu par contagion positive nous offre l’équilibre du bonheur d’être et de vivre pleinement nos sensations.

Le plaisir d’être entraînant naturellement l’arrivée de nouveaux plaisirs d’être.

Ne rompez donc pas cette chaîne en offrant à vos croyances et à vos illusions du paraître l’opportunité de vous détourner de la concrétisation de vos joies simples et vous deviendrez simplement et durablement plus heureux (es) avec bon sens et sagesse.

Tendre à l’objectif d’être heureux (se) ne dépend finalement que de notre vision de la réalité et de l’importance que nous accordons aux événements qui jalonnent notre vie,  ensoleillé notre regard de la réalité  c’est positiver et permettre de concrétiser pleinement nos envies.

Sans envie, la vie n’a plus le goût du plaisir, et sans la satisfaction quotidienne de nos petits plaisir la vie manque alors de sel et nous enferme dans la dépression.

Choissisez donc de tendre vers l’objectif d’être heureux (se) .

 

choisir ses utopies positives ?

L’harmonie utopique… n’est-elle pas ce que chacun recherche, tant dans son accomplissement personnel que dans ses relations aux autres ?

Les membres de nos sociétés urbanisées (85 % de l’ensemble de la population occidentale réside dans les villes) souffrent d’individualisme et d’isolement, et il est nécessaire de nous intéresser à ces questions pour tenter de trouver les moyens d’y remédier.

On sait que l’on doit à Thomas More le mot utopie basé sur l’association de deux termes grecs : le ού : qui signifie non, et le τόπος qui désigne lieu.

Il s’agit donc, étymologiquement, “d’un lieu privé de lieu”, “d’un lieu sans lieu”.

Pourtant, c’est dans ce lieu du “nulle part”, que se concentrent les visions des conceptions des sociétés idéales parfois racontées dans des récits ou contes philosophiques, politiques, idéologiques ou moraux.

C’est aussi dans ce lieu du “nulle part”, que s’exerce cette formidable énergie qui construit les réalisations matérielles les plus étonnantes, comme dans certains cas des villes idéales édifiées reflétant des visions du monde et des principes sociaux novateurs.

C’est encore dans ce lieu du “nulle part”, que se développent les innovations techniques et technologiques les plus décisives.

Mais c’est là aussi, que s’inventent des évasions, des simulations, des fictions et des rêveries échappatoires  pour refuser de faire face à la réalité.

L’utopie permet d’envisager le changement, elle provoque la naissance d’événement, elle révèle les aspirations nouvelles du temps actuel.

Elle prouve l’utilité de la nécessité de rêver, d’avoir l’envie de se bâtir  un nouveau monde dans un imaginaire qui permettra de proposer des solutions originales.

Elle est la ”poétique du futur”, l’indispensable à tout type d’action solidaire, à toute innovation matérielle, à l’invention de nouveaux conforts et à tous les précieux échanges culturels qui tissent de novateurs et bénéfiques rapports sociaux.

Parfois l’utopie fait peur à ceux qui ont tout et alors elle entraîne une opposition systématique du pouvoir et de ceux qui le contrôle dans nos sociétés civilisées  qui elles, sont trop souvent animées par des objectifs majoritairement compétitifs et capitalistes.

Les utopies deviennent ainsi souvent  confrontées  aux dénigrements, à la diffamation, la médisance, la méchanceté de ceux qui ont à perdre leur confort et leurs avantages individuels.

Leur motivation principale  de nuire étant la  crainte que les utopies deviennent réalisables alors ils feront tout pour empêcher leurs concrétisations.

Le versant noir de l’utopie se situe au niveau des idées totalitaires, comme le fascisme, certains intégrismes actuels, qui expriment les dérives utopiques les plus dramatiques.

Le racisme, l’eugénisme, les génocides, les déportations  sont les enfants de ces dégradations de la pensée qui peuvent entraîner (comme nous l’avons atrocement connu dans un passé même assez récent)  les sociétés dans des voies désespérée voir parfois suicidaires.

Il convient donc en matière d’utopie de prendre le temps de réfléchir avant d’agir et de faire les bons choix pour concrétiser que celles qui sont utiles et profitables à tous.