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L’envie du pardon

Pardonner n’est ni accepter, ni comprendre. Ce n’est  que vouloir vivre mieux.

L’art de conquérir les petits bonheurs quotidiens

Il vaut mieux savourer pleins de modestes et petites conquêtes que courir après un rêve inaccessible qui nous fait souffrir. La sagesse est de se contenter de ce qui est à notre portée et d’accumuler plein de petits plaisirs qui rendent agréable notre vie quotidienne. S’accorder un petit déjeuner qui nous fait plaisir, boire un jus de fruits qui tonifie, déguster avec gourmandise un carré de chocolat, admirer un lever ou un coucher de soleil, observer l’éclosion d’une jolie fleur, paresser sous un rayon de soleil bienfaisant rendent la vie mille fois plus agréable que s’astreindre à des efforts insurmontables pour conquérir l’inutile qui n’est pas nécessaire.

Nous avons souvent l’art de nous rendre la vie impossible en devenant conquérants de l’illusoire, recherchant avec  manque de bon sens l’illusion du pauvre qui veut se croire riche. L’enfant n’a pas besoin d’un beau vêtement, d’un plat sophistiqué, d’un jouet surpuissant, d’aller à l’autre bout du monde pour être heureux, il a juste besoin de lait, d’un peu de purée, de tendresse et d’attention, d’un hochet pour se distraire pour pouvoir grandir et être satisfait. Retrouvons donc les joies simples qui nous ont émues dans notre enfance et nos vieux jours deviendront paisibles et confortables. Pratiquons le bonheur de vivre plein de petits rêves accessibles et nous accumulerons joies et plaisirs à vivre.

La vie n’est pas plus compliquée que cela pour des millions de gens qui n’ont souvent pas le choix. Avoir la sagesse de modérer nos envies à ce qui nous  est réellement utile et accessible nous permet de conquérir le bonheur au quotidien.

Rien n’empêche d’améliorer l’ordinaire. La sagesse et le goût des plaisirs simples ne doit pas nous empêcher d’avoir envie de concrétiser l’exceptionnel dans notre vie. Nous devons juste vérifier que ce rêve est bien à notre portée. En accumulant de simples efforts quotidiens  nous pouvons le concrétiser. La durée n’as pas d’importance, c’est le plaisir de la réalisation qui rend heureux. C’est l’objectif atteint qui apporte la satisfaction et l’amélioration désirée.

Concrétiser  son  rêve est toujours possible pour autant qu’il soit accessible et le rêve ne peut nuire qu’à celui ou celle qui oublie la réalité. Le rêve est ainsi la vitamine du bonheur.

10 essentiels pour établir un contrat avec le plaisir de vivre

Voici les quelques bases indispensables du vivre mieux, en harmonie, permettant de jouir d’une qualité de vie  satisfaisante : 

1 / On aime bien que si l’on s’aime.
2 / L’envie d’un plaisir simple est la source naturelle de toute joie.
3 / S’ouvrir à l’autre est accepter de le/la recevoir dans sa vie.
4 / S’offrir sans calcul est la porte d’entrée d’un bonheur partagé.
5 / Honnêteté et franchise tissent les liens durables.
6 / Oser voir grand permet d’ajuster son optimisme aux besoins de sa réalité.
7 / Est fort, celui ou celle, qui  par nature défend et aide le faible.
8 / Progressera, l’humain, qui sait que sans bâtir rien ne se construit.
9 / Donner le meilleur de soi-même  est la vitamine qui apporte la joie de vivre au quotidien.
10 / Permettre toutes formes  de vie et de pensées rend possible le vivre ensemble.

Eloge du bon usage de la folie de penser

Quand la folie de penser discrédite ce que je crois sans savoir.

Favorisant l’opinion basée sur une croyance improbable.

Oubliant que Savoir n’est pas… Que Croire.

Et que l’auto critique, est un triste harcèlement que l’on s’impose.

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Quand l’incertitude devient ce rendez-vous manqué de la bonne pensée.

Sentiment douloureux du ne pas être parfait, adéquat, ni d’avoir raison.

Rendu victime d’une fausse croyance ambiante  niant le savoir être;

Fils d’une tromperie sociétale érigée en handicap du désir d’être.

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Quand la morale trop convenue s’offre en duperie d’utopie.

Apportant l’angoissant doute où l’on ne sent  plus maître de soi.

Placebo de la souffrance d’une auto-croyance incomprise.

Pensée automatique du surtout ne pas penser à… Pour ne pas avoir à être.

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Quand l’être humain redevient anxieux face à son destin ultime.

Devenu l’inquiet qui n’accepte pas, qu’il doit juste apprendre à faire face.

Victime complaisante et masochiste de son auto dénigrement.

Parfois trop complexé pour  retrouver le simple plaisir du rire.

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Esclave du penser peu, de celui qui a faim qui dévore sans plaisir.

Bêlant l’incessante plainte du gémissement de sa crainte du futur.

Ressassant sans cesse ses désespoirs en noires pensées.

Niant maladivement toute empathie ou compassion.

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Osera-t-il encore croire, à la bonne pensée, devenue alors l’idée folle ?

Acceptera-t-il les informations du ressenti agréable de ses nouvelles émotions ?

Surmontera-t-il la crainte du retour à l’indicible  souffrance ?

Activera-t-il  le récepteur affectif  utile à sa précieuse chaleur humaine ?

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S’ouvrira-t-il  au partage d’une joie, juste récompense d’une bonne pensée?

Revitalisera-t-il son  légitime désir de vivre un nouveau devenir.

Ravivera-t-il le puissant appel intime à revivre, un bonheur initial connu.

Acceptera-t-il le lâcher prise, la bouée à l’abandon du désir de survie.

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Réapprenant à rire de la folie de penser comme d’un mauvais souvenir.

Revendiquant  la délicieuse étape du penser plaisir avant de le recevoir ou faire.

Choisissant que  le facile à dire redevienne aussi…  Le facile à plaire.

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Ensoleillé par la pensée positive vitamine d’un mieux aller.

Permettant  ainsi l’incroyable rencontre entre folie et plaisir de penser.

D’où naîtra cet indispensable désir  d’avoir toujours la volonté de recevoir.

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Pour qu’avec l’autre, témoin miroir, s’anime un  plaisir partagé.

Ou compréhension et empathie équilibrée, seront  partenaires.

Pour qu’enfin… Folie de penser … Devienne, infinie sagesse.

Unie au plaisir vécu du… Il fait bon de vivre ensemble

élationnelle

Il s’agit d’un mot utilisé en sciences humaines et psychologie signifiant ce qui est antérieur à l’établissement d’une relation. Qualifie également la période de la relation de la mère et de son fœtus. Egalement ce qui se rapporte à la position primitive narcissique autarcique, ce qui serait autosuffisant dans une relation avec le soi.

Retrouvons convivialité et art de vivre

La convivialité, c’est partager un moment avec les autres : membres de la famille, amis, amoureux(ses), collègues, copains, clients…Faire des contacts, organiser un repas de famille, repas d’amis ou déjeuner d’anniversaire, sont des moments conviviaux qui sont autant d’occasions d’échanger, de faire connaissance, de se confier, de s’amuser, de réfléchir ensemble, de séduire, de convaincre… il peut donc se passer beaucoup de choses intenses lors d’un moment d’échange et de convivialité !

La convivialité permet de tisser des liens entre les gens, elle offre le plaisir de partager avec les autres aux cours de nos échanges quotidiens dans la société.

Il est si vrai que quand la société se déshumanise, quand les êtres ne se parlent plus, quand la volonté d’échange n’est plus, quand la curiosité de découvrir l’autre se meurt. C’est collectivement toute notre qualité de vie qui s’amenuise, qui devient stress, qui paralyse notre art et notre plaisir de vivre. Et parfois guerre et source de violence extrême.

Ce désintérêt conduit à avoir des comportements de haine, de rejet, d’incompréhension.

La haine, c’est rejeter l’image de l’autre et et c’est quand l’ignorance de l’autre devient la source de bien des maux dans nos sociétés contemporaines. Le plus grave sans doute  est que peu à peu le manque de convivialité modifie également notre image de soi et perturbe gravement notre vie sociale en nous faisant nous replier sur nous même et s’isoler du monde pour souffrir en silence.

L’image de soi reflète comment on se voit, ce que l’on croit être, ce que l’on croit qu’on est capable de faire, comment on croit que les autres nous voient, elle produit une sorte de photo imaginaire de nous-mêmes, de ce que nous avons en tête, elle précise quel rôle nous voulons jouer, de quel masque nous voulons nous parer pour échapper à la réalité qui nous blesse.

L’image de soi peut-être le moteur ou la négation de notre devenir, une bonne image nous apporte la confiance en nous même, une mauvaise image réveillera nos peurs et nous incitera à mesurer et à se méfier de la médiocrité des autres en nous incitant à ne pas prendre les bons risques calculés.

Ces risques qui permettent d’éviter de subir trop à coeur les nuisances consécutives à leur capacité nuire et de diffuser des médisances destructrices des autres à votre sujet. Si les autres peuvent être parfois un danger, il ne faut pas pour autant renoncer à la convivialité positive.

De grâce, choissisez le camp du dialogue, nous avons tant de bons moments à vivre ensemble.