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Autres petits parfums de vie de décembre 2021

Selon Victor Hugo, « Les bons mûrissent et les mauvais pourrissent ».

La peine de l’autre lui appartient mais on peut offrir de la partager pour le soulager.

L’énergie positive n’a pas de prix, elle se mesure en sentiments et émotions ressenties.

La pensée qui divague donne la même sensation qu’un vin dont on s’est enivré.

Avant de devenir vieux et sage, il aura fallu oser être un jeune fou.

Le bonheur appartiendra à ceux et celles qui se l’offre.

Bonne année à tous avec  meilleurs vœux.

Autres petits parfums de vie / Juillet 2021

Les pensées du mois :

Hésitation… C’est sûrement, quand l’inconscient a déjà pris une décision.

Parfois, le bonheur parait si simple à vivre qu’on ose plus l’apercevoir au premier coup d’œil, de peur de le perdre.

Si les gens savaient mettre autant d’énergie à aimer qu’ils osent le faire pour te décevoir, nous vivrions tous dans un monde exceptionnellement merveilleux.

Que l’unique religion qui s’impose à l’avenir soit sans croyance et hypocrisie… vivre simplement le ressenti bénéfique de l’amour avec sa naturelle joie de vivre. Et… l’humanité aura, c’est sûr, choisi de faire un très grand pas !

Juillet 2021 / Juillet 2022, un an de plus à vivre ? Merci la vie !

Osons aimer avec le filtre de ces treize forces qui nous animent ?

Nos appels du désir sont-ils tous réalisables ? Ou est cachée la réalité du bien être de notre ressenti ? Peut-on décider toujours décider d’être conscient de ce que l’on fait ? Comment passe-t-on de l’état de connaissance à la compréhension des causes qui nous animent et qui nous rendent amoureux (se)?

La réponse est sans doute dans la volonté que l’on met lorsqu’on est poussé par un désir cohérent et sans équivoque en recherchant simplement que ce qui est bon et sensuellement bien dans l’instant et de durable pour nous dans l’idée d’un futur partagé.

En réalité quand notre volonté  s’affaiblit, doute et parfois devient douloureuse, c’est quand elle va dans le sens contraire aux treize forces qui nous animent :

Notre capacité d’écoute et de ressenti.

La concentration de notre volonté.

L’art d’émettre des pensées positives.

La maîtrise de notre raisonnement.

L’aptitude à la persévérance.

Le partage de l’enthousiasme.

La capacité de générer de l’optimisme.

L’application de notre intelligence contre la force brutale.

Le droit à la reconnaissance d’être.

Le savoir faire rayonner nos connaissances.

L’art d’utiliser les circonstances.

La maîtrise des énergies psychiques.

La réflexion associée à la maîtrise du temps psychologique.

Nous avons le pouvoir de mettre en action n’importe quelle idée durable , et nous oublions souvent et ne remarquons même pas ces forces naturelles qui sommeillent en nous et qui pourtant sont si vitales pour établir une bonne relation.

Souvent nous nous forgeons dans notre raisonnement d’innombrables fictions nées d‘illusions passionnelles et trompeuses, c’est pourquoi nous devons sans cesse remettre en question notre entendement entre les notions bien et mal, perfection ou imperfection, jalousie, haine ou amour.

Nous ne trouverons notre équilibre qu’en vivant un amour sincère et réel en harmonie à ces treize forces qui nous conduisent vers le mieux être en nous libérant  ainsi de nos illusions passionelles.

Voilà ce qui est probablement le secret de la recette pour aller vers votre bonheur durable ou un amour retrouvé.

Oserez- vous suivre le chemin indiqué pour être toujours vrai dans l’expression de vos sentiments ?

Jean Ferrat – Que serais-je sans toi ?

Plaisirs émotionnels

Les plaisirs catastématiques

La tradition philosophique oppose les plaisirs catastématiques (en repos) d’Epicure et les plaisirs cinétiques (en mouvement) d’Aristippe. La joie est un plaisir cinétique, Epicure oppose les plaisirs cinétiques, qui résultent d’un manque et du mouvement (d’où le terme cinétique) qui comble un vide intérieur comme la joie (expression momentanée), aux plaisirs catastématiques, ceux de la satiété et de la plénitude, qui se caractérisent comme un état plus durable.

Epicure admettait les plaisirs cinétiques mais insistait fortement sur la nécessité de fonder son existence sur les plaisirs vécus dans le repos du corps et de la pensée (catastématiques). Car seuls ces plaisirs-là, pensait Epicure, étaient à même de construire un bonheur capable de durer dans le temps au lieu d’être morcelé en « moments » ponctuels. Le bonheur étant ce qui nous comble. Epicure n’envisageait pas un seul instant que la recherche du plaisir puisse se faire sans moralité, ni vertu.

La théorie épicurienne du plaisir distingue donc  les plaisirs qui consistent en une absence de douleur (plaisirs au repos, ou stable, catastématiques), caractérisés tout à la fois par leur grande intensité par le fait qu’ils ne perturbent pas l’équilibre de celui qui l’éprouve et les plaisirs en mouvement, qui sont la satisfaction d’un manque naturel (la faim, la soif, etc…). Elle sépare les plaisirs qui viennent combler un manque organique ou psychique et les désirs qui proviennent au contraire d’un état de satiété. Ainsi le bonheur évoqué par Épicure se définit avant tout comme absence de douleur du corps (anomia) et absence des troubles de la pensée (ataraxia). Pour lui le bonheur, c’est donc l’absence de peine ; il estime que la recherche du plaisir peut, paradoxalement, devenir un ascétisme (Épicure dit notamment que le sage peut être heureux sous la torture car il a appris à surmonter l’absence de plaisirs corporels).

Ces deux formes de plaisir appartiennent à des temps différents : le moment de la satisfaction correspond au plaisir en mouvement, puisqu’il y a rééquilibrage de la tension produite par le manque.

Une fois l’équilibrage effectué (le ventre plein, la soif étanchée) vient le temps du plaisir au repos, c’est-à-dire du maintien de l’équilibre, pour jouir de l’absence de douleur. Selon la doctrine  d’Epicure il s’agit de n’encourager que le plaisir au repos, car c’est le seul qui permette d’accéder au calme. Or on a tendance à développer le plaisir en mouvement, alors même qu’il faudrait tenter de le réduire au strict nécessaire, puisqu’il s’appuie nécessairement sur les temps de déséquilibre.

Rappelons pour conclure que le plaisir se définit comme une  sensation, sentiment, émotion agréable découlant de la satisfaction d’un besoin, d’un désir qui en est la source.

Désir sensuel d’un tableau noir

Par un beau soir mirant son reflet dans le miroir

Voulant l’impossible de ne plus être tout noir

Tableau noir rêva à un destin aux couleurs d’espoir

Là ou pour l’ignorant tout serait facile à voir

***

Voyons si la craie magique s’associera à son délire

Elle qui sait que l’attente est  joie à venir

Qu’accepter son ignorance est aussi plaisir

Pour prétendre au partage du jouissif sourire

***

Mais attention au désir d’excellence

Qui de l’échec à peur d’absence

Pouvoir n’est pas qu’inconscience

Et surtout jamais conseil de surpuissance

***

Oses te tromper pour apprendre

Pour au coeur du plaisir redescendre

Parviens à  te détendre

Pour jouir du futur qui s’engendre

***

Si le temps passé est sans surprises

Quand la mémoire revient après la crise

Pour l’être qui se laisse aller à toutes brises

Le plaisir du savoir jouir n’a pas de réelle prise

***

Si sans curiosité, il n’y pas de vrai science

Ose  savoir ce qui peut contrer l’ignorance

Ouvre la voie du bon geste à la jouissance

Et  la confiance partagée sera récompense

***

Veux-tu ressentir, vouloir ou pouvoir ?

Choisis et apprends à caresser ton devoir

Ainsi comme pour le tableau noir

Tu coloreras  ton manque de savoir

L’art de conquérir les petits bonheurs quotidiens

Il vaut mieux savourer pleins de modestes et petites conquêtes que courir après un rêve inaccessible qui nous fait souffrir. La sagesse est de se contenter de ce qui est à notre portée et d’accumuler plein de petits plaisirs qui rendent agréable notre vie quotidienne. S’accorder un petit déjeuner qui nous fait plaisir, boire un jus de fruits qui tonifie, déguster avec gourmandise un carré de chocolat, admirer un lever ou un coucher de soleil, observer l’éclosion d’une jolie fleur, paresser sous un rayon de soleil bienfaisant rendent la vie mille fois plus agréable que s’astreindre à des efforts insurmontables pour conquérir l’inutile qui n’est pas nécessaire.

Nous avons souvent l’art de nous rendre la vie impossible en devenant conquérants de l’illusoire, recherchant avec  manque de bon sens l’illusion du pauvre qui veut se croire riche. L’enfant n’a pas besoin d’un beau vêtement, d’un plat sophistiqué, d’un jouet surpuissant, d’aller à l’autre bout du monde pour être heureux, il a juste besoin de lait, d’un peu de purée, de tendresse et d’attention, d’un hochet pour se distraire pour pouvoir grandir et être satisfait. Retrouvons donc les joies simples qui nous ont émues dans notre enfance et nos vieux jours deviendront paisibles et confortables. Pratiquons le bonheur de vivre plein de petits rêves accessibles et nous accumulerons joies et plaisirs à vivre.

La vie n’est pas plus compliquée que cela pour des millions de gens qui n’ont souvent pas le choix. Avoir la sagesse de modérer nos envies à ce qui nous  est réellement utile et accessible nous permet de conquérir le bonheur au quotidien.

Rien n’empêche d’améliorer l’ordinaire. La sagesse et le goût des plaisirs simples ne doit pas nous empêcher d’avoir envie de concrétiser l’exceptionnel dans notre vie. Nous devons juste vérifier que ce rêve est bien à notre portée. En accumulant de simples efforts quotidiens  nous pouvons le concrétiser. La durée n’as pas d’importance, c’est le plaisir de la réalisation qui rend heureux. C’est l’objectif atteint qui apporte la satisfaction et l’amélioration désirée.

Concrétiser  son  rêve est toujours possible pour autant qu’il soit accessible et le rêve ne peut nuire qu’à celui ou celle qui oublie la réalité. Le rêve est ainsi la vitamine du bonheur.

10 essentiels pour établir un contrat avec le plaisir de vivre

Voici les quelques bases indispensables du vivre mieux, en harmonie, permettant de jouir d’une qualité de vie  satisfaisante : 

1 / On aime bien que si l’on s’aime.
2 / L’envie d’un plaisir simple est la source naturelle de toute joie.
3 / S’ouvrir à l’autre est accepter de le/la recevoir dans sa vie.
4 / S’offrir sans calcul est la porte d’entrée d’un bonheur partagé.
5 / Honnêteté et franchise tissent les liens durables.
6 / Oser voir grand permet d’ajuster son optimisme aux besoins de sa réalité.
7 / Est fort, celui ou celle, qui  par nature défend et aide le faible.
8 / Progressera, l’humain, qui sait que sans bâtir rien ne se construit.
9 / Donner le meilleur de soi-même  est la vitamine qui apporte la joie de vivre au quotidien.
10 / Permettre toutes formes  de vie et de pensées rend possible le vivre ensemble.

Le plaisir du désir

Parler du plaisir est l’apéritif du désir.

Le bon équilibre écolo alimentaire

Pour trouver le bon équilibre en matière de santé et écologie, il faut avoir une  bonne connaissance de soi, de ses envies, de ses capacités physiques et de l’art de l’alimentation. S’aimer comme on est, consiste à trouver l’harmonie entre le vécu et le pensé, savoir organiser ses pensées, avoir une bonne estime de soi pour pouvoir agir selon ses désirs.

Avoir des envies est la meilleure vitamine autant pour son moral que pour satisfaire ses instincts ainsi que sa qualité de vie. C’est donc la volonté d’agir qui est l’antidote contre la morosité et le désespoir.

Et puis il y a cette merveilleuse machine qu’est notre corps qui nous permet de concrétiser tout ce qui précède.

Selon ses bons fonctionnements ou ses disfonctionnements nous devons adapter selon nos possibilités l’étendue de la concrétisation de nos désirs.

La clé de tout cela réside d’abord dans notre alimentation. Faut-il se passer de la viande ? Manger du poisson ? Choisir les légumes et fruits ?  Comment les cuisiner ?

Sont les questions essentielles auxquelles répondent les experts de manière nuancées et en la matière trouver le bon équilibre nécessite de se poser les bonnes questions concernant  la préservation de la planète.

En ce qui concerne la viande la recommandation la mieux partagée est l’encouragement à opter pour les viandes maigres dinde, poulet, bœuf élevé de manière naturelle si possible produit selon les contraintes du BIO.

« Mieux vaut un végétarien roulant en 4×4 qu’un mangeur de steak en vélo ! » est la blague récente qui circulent dans le monde écologique et la vérité scientifique associé à cette affirmation, est qu’un kilo de bœuf dégage l’équivalent de 14,8 kg de Co2, ce qui revient à parcourir 121 km en voiture. Le porc fait mieux 3,8 kg de Co2 par kilo alors que le poulet produit lui 1,1 kg de Co2 par kilo.

En ce qui concerne la pêche les méfaits de la surpêche sont à l’ordre du jour et l’avenir se jouera probablement dans les élevages. Si le rythme de consommation se poursuit au rythme actuel, les experts envisage une disparition de nos assiettes d’ici 2048.  Certaines espèces sont déjà largement menacées.

Devrons-nous tous devenir végétariens, l’avenir nous le dira.

L’art d’aimer et de choisir de jouir de la vie

Etre c’est désirer, désirer c’est ressentir ce qui est bon pour nous afin d’aller vers notre épanouissement. C’est souvent, le manque de désir qui nous affaiblit  car nous nous trompons sur que nous voulons et sur la qualité des événements affectifs qui nous arrivent mais cela à souvent divers causes.

Nous avons toujours comme un légitime besoin de projeter, d’associer nos sentiments, nos envies d’être avec quelqu’un ou quelque chose et souvent nous nous imaginons capable de nous renforcer grâce à cela.

Mais c’est seulement, quand nous  concrétisons notre désir en pleine conscience, sans seulement laisser libre cours à notre pulsion instinctive, que nous agissons le mieux pour retirer le réel plaisir de celui-ci.

Autrement dit, l’amour sans association avec un peu de raisonnement n’est que sentir et ressentir et devient alors, aimer et haïr sans raison.

Vous êtes-vous déjà demandé combien de fois vos désirs ont été influencés voire provoqués par le désir de l’autre ?

Combien de fois vous avez dû vous opposer au désir de l‘autre pour retrouver la voie de votre bon sens et la satisfaction complète de vos sensations ? Autre question existentielle,  votre désir est-il né de l’envie de la satisfaction de l’autre  ou de votre propre envie de vous satisfaire ?

En aimant cherchez-vous davantage à aimer ou à être aimer ?

Curieusement, il faut remonter à l’enfance, entre le vingtième et le trentième mois  ou sans le secours d’une école on apprend les mots, découvre les règles du comportement et même ce que nous devrions faire pour éviter de rencontrer la souffrance et apprendre à aimer pour parvenir à comprendre les raisons de ce qui précède.

En étudiant cela on a pu observer que l’enfant privé de chaleur humaine prend un retard considérable dans ses apprentissages.

On n’a pu, aussi observer, qu’un enfant mal aimé, ou mal entouré, à cet âge passera une bonne partie de son existence à tenter de retrouver ou de compenser ce manque d’attention initial. Il développera même avec le temps un sentiment masochiste se disant que s’il n’a pas été aimé en fait c’est à lui même qu’en reviendrait la faute. Conception erronée qui le contraindra à prendre le masque de tout les sacrifices pour que cet adulte, voire les autres adultes, en viennent à l’aimer.

Combien de vie ont été perturbée voire gâchée en raison de ce manque de chaleur humaine à un moment si crucial et  primordial du développement humain. Peut-être, s’agit-il  de la principale raison de la majorité des souffrances ressenties dans la manière d’aimer aujourd’hui ?

Combien de tyrans ont trouvé leurs pires et plus infâmes justifications en raison de cela ?Les découvertes ces dernières années, nous ont apprises notamment par  les recherches en neuroscience que sans attachements, il n’y a pas d’empathie. Et que le « JE »  ne peux pas vivre seul sinon nous devenons agressif et sadique avec notre environnement social. Il a aussi été établi que le bain sensoriel dépend essentiellement des attitudes parentales attentives et bienveillantes.

Ces études ont également constaté que l’excès de sécurité affective pouvait curieusement provoquer presque les mêmes symptômes en rendant dépendant par le manque d’assurance.

Tout cela dit, plus simplement : c’est parce que je t’aime que je vais faire ce tu veux et aussi ce qui est bon pour moi. Mais voilà pour que cela se passe naturellement bien, il faut avoir été entouré de chaleur humaine au bon moment.

Le déroulement de notre vie nous fait passer par de nombreuses étapes et souvent les moins heureuses se caractérisent par un manque de chaleur affective.

A l’adolescence, il est fréquent que les problèmes de communications soient générés par un manque de chaleur effective ou d’attention des adultes.

Puis plus tard les séparations affectives vécues nous confronteront violemment à nouveau au manque de chaleur affective.

Parfois la vie professionnelle avec le cloisonnement peut aussi conduire à souffrir du manque de contacts humains dans certaines professions.

Les ainés ont ceci de commun avec les adolescents que le manque de chaleur humaine provoque en eux parfois les mêmes drames qu’au moment de leur adolescence.

Ceci rend vrai que l’individu ne  peut pas vivre agréablement s’il n’échange pas des informations affectives. Comme il est maintenant prouver que c’est le manque de chaleur humaine qui provoque le désir d’agression chez l’humain générant en lui une envie d’attirer l’attention en utilisant la violence.

En conclusion, la science de l’observation humaine à fait de considérables progrès et nous savons tous maintenant que sans le partage de chaleur humaine nous sommes en état de souffrance.

Alors faites ce petit geste sympathique d’écoute de l’autre et offrez chaque jour, quelques minutes de votre temps pour diffuser autour de vous un peu de cette si précieuse chaleur humaine.

Ainsi de la compréhension de la vraie nature de votre désir naîtra votre meilleure  et durable source d’équilibre.

Conclusion, les expériences négatives vécues aux contacts de nos parents dans notre prime enfance, et plus généralement avec les adultes, conditionnent et déterminent durablement notre façon intime d’apprendre l’amour de l’autre.

Le secret de notre véritable bonheur ne pourra se révéler, peu à peu à nous, qu’en réglant  les erreurs de communication et de compréhension de ce qui précède.

C’est en corrigeant nos premières conclusions erronées que nous auront une chance de trouver les raisons secrètes de notre propre évolution en prenant ainsi conscience que sans amour, rien n’est réellement possible pour assurer notre futur.

Sinon, les pensées immatures suggérées dans notre enfance continueront d’influencer durablement notre mal être en conditionnant ainsi l’essentiel de nos comportements.

Puis, il faut accepter un nouveau concept, qui est que nous sommes les miroirs des uns et des autres.

Par la méditation et l’acceptation de ce concept, nous pourront enfin parvenir sans encombre au plaisir de la rencontre et découvrir un peu de l’image de soi chez l’autre pour parfois  aussi, reconnaître un peu de l’image de l’autre chez soi, ce qui nous aidera à s’aimer davantage.

Puis plus après, avoir jouis du bonheur partagé, nous prendrons alors conscience d’une appartenance universelle qui nous conduira à vouloir le bonheur des autres, de soi même et de sa descendance.

C’est aussi l’affection partagée pour l’humain qui est le fondement naturel de notre humanité et la meilleure aspiration à conquérir pour progresser vers un monde global plus heureux du vivre ensemble. Ainsi l’aspiration à un monde global de l’amour partagé sera fort et plus puissant que la globalisation du profit économique.

Chacun de nous est  donc bien un miroir pour les autres et c’est par le rayonnement de nos intentions positives que nous pouvons convaincre les autres d’adopter le bon sens qui conduit à un bonheur collectif. Favorisant l’avenir de notre civilisation et non pas sa destruction. Si, nous prenons la bonne décision de le vouloir. C’est notre liberté de choix qui fera toute la différence du devenir de la planète.

Aimer ou être aimé ?

Les expériences négatives vécues aux contacts de nos parents dans notre prime enfance, et plus généralement avec les adultes, conditionnent et déterminent durablement notre façon intime d’apprendre l’amour de l’autre.

Le secret de notre véritable bonheur ne pourra se révéler, peu à peu à nous, qu’en réglant  les erreurs de communication et de compréhension de ce qui précède.
C’est en corrigeant nos premières conclusions erronées que nous auront une chance de trouver les raisons secrètes de notre propre évolution en prenant ainsi conscience que sans amour, rien n’est réellement possible pour assurer notre futur.

Sinon, les pensées immatures suggérées dans notre enfance continueront d’influencer durablement notre mal être en conditionnant ainsi l’essentiel de nos comportements.

L’image de soi reflète comment on se voit, ce que l’on croit être, ce que l’on croit qu’on est capable de faire, comment on croit que les autres nous voient.  Elle produit une sorte de photo imaginaire de nous-mêmes, de ce que nous avons en tête, elle précise quel rôle nous voulons jouer, de quel masque nous voulons nous parer pour échapper à la réalité qui nous a blessée.

L’image de soi peut-être le moteur ou la négation de notre devenir. Une bonne image
nous apporte la confiance en nous même et une mauvaise image renforcera nos peurs et nous incitera à mesurer et à se méfier de la médiocrité des autres. Ainsi nos peurs, nous inciterons à ne pas prendre les bons risques calculés.

Accéder à l’amour véritable demande  l’acceptation entière de soi, et la correction des erreurs initiales imposées par notre environnement, pour pouvoir aimer l’autre sans les entraves générés par les mauvaises expériences du passé.
Puis, il faut accepter un nouveau concept, qui est que nous sommes les miroirs des uns et des autres.

Par la méditation et l’acceptation de ce concept, nous pourront enfin parvenir sans encombre au plaisir de la rencontre et découvrir un peu de l’image de soi chez l’autre pour parfois  aussi, reconnaître un peu de l’image de l’autre chez soi, ce qui nous aidera à s’aimer davantage.
Puis plus après, avoir jouis du bonheur partagé, nous prendrons alors conscience d’une appartenance universelle qui nous conduira à vouloir le bonheur des autres, de soi même et de sa descendance.
C’est aussi l’affection partagée pour l’humain qui est le fondement naturel de notre humanité et la meilleure aspiration à conquérir pour progresser vers un monde global plus heureux du vivre ensemble.
Ainsi l’aspiration à un monde global de l’amour partagé sera fort et plus puissant que la globalisation du profit économique.

Chacun de nous est  donc bien un miroir pour les autres et c’est par le rayonnement de nos intentions positives que nous pouvons convaincre les autres d’adopter le bon sens qui conduit à un bonheur collectif.
Ainsi sera l’avenir de notre civilisation si, nous prenons la bonne décision de le vouloir.

Mais attention au revers de la médaille, ne nous laissons pas prendre au piège de la réalité de l’autre, qui elle pourrait, avec de mauvaises intentions, nous conduire à nous plonger dans l’illusion.

C’est notre liberté de choix qui fera toute la différence de notre devenir sur la planète.