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Sycophante

Un sycophante était, dans l’Athènes antique, un délateur professionnel. Un calomniateur, espion, un personnage fourbe qui désirait ainsi s’approprier les biens des plus riches. Le sycophante serait aussi celui qui n’hésite pas à dénoncer son prochain, une personne qui ne cesse de mentir pour faire du mal.

L’existence de délateurs professionnels s’explique par les particularités du système juridique athénien á partir du cinquième siècle av. J.-C., la principale juridiction est l’Héliée, un tribunal populaire constitué de 6 000 citoyens tirés au sort. En l’absence de ministère public, on compte sur le civisme populaire pour la dénonciation. Dans Athènes d’alors, c’est encore, les dénonciateurs qui livraient aux passions de la foule les citoyens éminents et surtout ceux dont elle redoutait le plus la raison ou la vertu.

Autres petits parfums de vie de décembre 2021

Selon Victor Hugo, « Les bons mûrissent et les mauvais pourrissent ».

La peine de l’autre lui appartient mais on peut offrir de la partager pour le soulager.

L’énergie positive n’a pas de prix, elle se mesure en sentiments et émotions ressenties.

La pensée qui divague donne la même sensation qu’un vin dont on s’est enivré.

Avant de devenir vieux et sage, il aura fallu oser être un jeune fou.

Le bonheur appartiendra à ceux et celles qui se l’offre.

Bonne année à tous avec  meilleurs vœux.

10 essentiels pour établir un contrat avec le plaisir de vivre

Voici les quelques bases indispensables du vivre mieux, en harmonie, permettant de jouir d’une qualité de vie  satisfaisante : 

1 / On aime bien que si l’on s’aime.
2 / L’envie d’un plaisir simple est la source naturelle de toute joie.
3 / S’ouvrir à l’autre est accepter de le/la recevoir dans sa vie.
4 / S’offrir sans calcul est la porte d’entrée d’un bonheur partagé.
5 / Honnêteté et franchise tissent les liens durables.
6 / Oser voir grand permet d’ajuster son optimisme aux besoins de sa réalité.
7 / Est fort, celui ou celle, qui  par nature défend et aide le faible.
8 / Progressera, l’humain, qui sait que sans bâtir rien ne se construit.
9 / Donner le meilleur de soi-même  est la vitamine qui apporte la joie de vivre au quotidien.
10 / Permettre toutes formes  de vie et de pensées rend possible le vivre ensemble.

Abstencion et jugement

La faiblesse d’une opinion est d’être basée sur une croyance improbable.

Savoir être

L’imparfait est une vérité humaine de notre savoir être.

Illusoire espérance

La religion est l’utopie humaine d’oser se croire sublime.

Aporie, aporétique

On nomme aporie (en grec aporia, absence de passage, difficulté, embarras) une difficulté à résoudre un problème selon wikipedia et la pensée aporique  peut devenir dialectique et se distingue du scepticisme, de l’agnosticisme, ou du sophisme. Selon l’ Internaute : c’est une contradiction irréductible, insoluble en philosophie.

Dans le boudhisme Zen on appelle aporie (en grec aporia, absence de passage, difficulté, embarras) une difficulté à résoudre un problème. On précise également que pour Aristote, c’est une question qui place le lecteur ou l’auditeur dans l’embarras pour trancher entre deux affirmations.  Le sens moderne d’aporie serait plus fort concernant tout problème insoluble et inévitable.
Selon cocoledico c’est un problème logique insoluble. D’autres sources précisent qu’il s’agit  de la description d’une situation sans issue.

Selon sensagent.com est aporétique celui qui fait preuve de scepticisme, qui doute; est incrédule. Celui  qui se heurte à une contradiction logique ; qui professe le refus du jugement. Pour Larousse c’est être embarrassé relativement à l’aporie. Pour Reverso.net c’est  avoir une contradiction de fond dans un raisonnement.

Refus, négation, déraison

L’obstination est d’autant plus grande que l’homme est petit.

A l’âge des rêves perdus

L’homme à terre voit la réalité de plus près.
Le rêve n’est plus désir d’être.
Envie et volonté provoque de tristes constats.
Et la plainte devient gémissement d’échec.
 
Le facile à faire n’est plus que dire.
Le savoir n’est plus le conseil.
La vérité devient croyance.
Et la vie perd peu à peu son sens.
 
Le hasard est  incertitude.
L’avenir instinct de survie.
La pensée source de la peur.
Et le temps passé mauvais refuge.
 
Le malheur s’invente une raison.
Plus tard n’a plus d’instants présents.
Le changement n’a plus d’attraits.
Le cynisme déprime la réalité.
 
Le rêve n’est plus vitamine confiance.
L’heure est au bilan des jours perdus.
L’apparence n’a plus d’importance.
Et souvent le sot l’emporte sur l’intelligence.
 
Alors comment survivre sans rêves ?
Accepter cette triste ignorance ?
Vivre sans envie et plus de désir ?
Le temps saura-t-il encore se souvenir ?
 
De ce cauchemar devenu réel.
Le réveil sera-t-il possible ?
Le désir osera-t-il l’envie de recevoir ?
La faim dévorera-t-elle sans choisir ?
 
Quand l’âge venu, les rêves seront perdus
 

Voici la suggestion optimiste de mon fils, rempli d’amour filal, qui offre un autre point de vue :

Quand l’âge venu, les rêves seront retrouvés

De ces doux rêves devenus réels,
Aucun réveil ne sera possible.
Le désir osera l’envie de recevoir,
Et la satiété rugira avec plaisir.

Alors comment vivre avec ses rêves?
Accepter cette heureuse connaissance?
Vivre avec envie et désir?
Le temps saura-t-il se faire oublier?

Le rêve est vitamine de confiance.
L’heure est à l’inventaire des jours heureux.
Les apparences ont leur importance.
Et souvent l’intelligence l’emporte sur le sot.

Le bonheur n’a point besoin de s’inventer de raisons.
Plus tard est mêlé à l’instant présent,
Et l’évolution n’en a que plus d’attraits.
Le positivisme et l’altruisme animent la réalité.

Le destin librement choisi et construit est socle de certitudes,
L’avenir moteur de vie,
La pensée source de sécurité,
Le temps passé siège d’agréables souvenirs.

Le difficile à faire se fragmente en éléments atteignables.
Le savoir, de bon conseil, aide à franchir la montagne.
La vérité est conforme à la réalité,
Et la vie prend tout son sens.

L’homme debout voit mieux le panorama du réel,
Le rêve est désir d’être.
Envie et volonté sont l’heureuse sève de vie,
Rires et bonne humeur deviennent constats de succès.

A l’âge des rêves retrouvés.

Raison et déraison

Il faut savoir que..
Le raison prolonge la sensation du plaisir.
Le plaisir des sens est ainsi l’épice de la raison.
Parfois la raison incite à penser plus qu’à faire.
L’amour sans raison n’est que douce folie.
 
Il faut savoir que ..
Le bonheur durable est la conscience que l’on en a.
C’est la raison qui rend durable ce bonheur.
Choisir l’autre est donc le premier pas vers son intime sagesse.
Le bon sens  raisonné est se réjouir du bonheur de l’autre.
 
Il faut savoir que..
Lire et voir n’est pas comprendre sans le raisonnement.
Il n’y a pas de pire malheur à vivre que celui que la déraison invente.
Le doute est souvent l’adversaire de la raison
Parfois la raison de l’humain peut être sa propre prison.
 
Il faut savoir que..
La raison aspire à vivre, si on lui offre sa chance d’être.
La longévité de la raison est l’abandon de la déraison.
La déraison est tout ce qui n’est pas réfléchi.
La plus déraisonnable erreur est celle que l’on refait bêtement.
 
Conclusion :
L’ignorant  déraisonne pour cacher ses manques
et le sage raisonne pour apprendre et comprendre.

A qui se fier ?

Le savoir est une indication jamais un conseil.

 

Le bon équilibre écolo alimentaire

Pour trouver le bon équilibre en matière de santé et écologie, il faut avoir une  bonne connaissance de soi, de ses envies, de ses capacités physiques et de l’art de l’alimentation. S’aimer comme on est, consiste à trouver l’harmonie entre le vécu et le pensé, savoir organiser ses pensées, avoir une bonne estime de soi pour pouvoir agir selon ses désirs.

Avoir des envies est la meilleure vitamine autant pour son moral que pour satisfaire ses instincts ainsi que sa qualité de vie. C’est donc la volonté d’agir qui est l’antidote contre la morosité et le désespoir.

Et puis il y a cette merveilleuse machine qu’est notre corps qui nous permet de concrétiser tout ce qui précède.

Selon ses bons fonctionnements ou ses disfonctionnements nous devons adapter selon nos possibilités l’étendue de la concrétisation de nos désirs.

La clé de tout cela réside d’abord dans notre alimentation. Faut-il se passer de la viande ? Manger du poisson ? Choisir les légumes et fruits ?  Comment les cuisiner ?

Sont les questions essentielles auxquelles répondent les experts de manière nuancées et en la matière trouver le bon équilibre nécessite de se poser les bonnes questions concernant  la préservation de la planète.

En ce qui concerne la viande la recommandation la mieux partagée est l’encouragement à opter pour les viandes maigres dinde, poulet, bœuf élevé de manière naturelle si possible produit selon les contraintes du BIO.

« Mieux vaut un végétarien roulant en 4×4 qu’un mangeur de steak en vélo ! » est la blague récente qui circulent dans le monde écologique et la vérité scientifique associé à cette affirmation, est qu’un kilo de bœuf dégage l’équivalent de 14,8 kg de Co2, ce qui revient à parcourir 121 km en voiture. Le porc fait mieux 3,8 kg de Co2 par kilo alors que le poulet produit lui 1,1 kg de Co2 par kilo.

En ce qui concerne la pêche les méfaits de la surpêche sont à l’ordre du jour et l’avenir se jouera probablement dans les élevages. Si le rythme de consommation se poursuit au rythme actuel, les experts envisage une disparition de nos assiettes d’ici 2048.  Certaines espèces sont déjà largement menacées.

Devrons-nous tous devenir végétariens, l’avenir nous le dira.

La magie de nos illusions..

Il faut beaucoup de courage pour oser remettre en question ses croyances, car si elles n’ont pas été choisies,  en règle générale, nous les avons acceptées par amour pour ceux qui nous les ont suggérées
Un pourcentage important de nos croyances sont fausses et notre raisonnement a le ressenti qu’elles sont erronées sachant intuitivement quelles sont souvent fondées sur des peurs.
Il est vrai aussi que chaque fois que l’on exprime de la colère, de la jalousie, de l’envie ou de la haine on ressent comme un feu destructeur qui nous  consomme à l’intérieur de soi.  Un feu mental qui nous détourne à la fois  de nos pensées les plus positives et de nos principaux objectifs initiaux. De notre simple et légitime aspiration à être heureux.
Naturellement toute personne recherche sa vérité… sa beauté, son équilibre et  la justice dans ses comportements.
Pour y parvenir nous avons besoins de passer des accords avec à notre raisonnement et notre intelligence.
En ayant au préalable,d’abord pris conscience des influences néfastes subies, pour ensuite résister aux méfaits diffusés par les mensonges nés des croyances qui nous ont été imposées et que nous avons accepter à tort.

Les Toltèques appelle cela le mitote. Les Indiens sanskrits dans la philosophie védique, nomment nos confusions  du raisonnement, l’illusion du mâyâ,  illusion du monde physique que notre conscience considère à tort comme la réalité.
Les croyances reçues nous ont mis dans l’idée qu’être en accord avec soi même n’est pas suffisant, qu’il faut aussi faire confiance à autrui, à ceux qui nous aiment et à vivre en fonction du point de vue des autres. Ce qui fait naître en nous,  la peur de ne pas être accepté, de ne pas être bien selon eux et/ou pas assez conforme à leurs croyances.
Nous avons appris à plaire à ceux qui nous aiment et qui ont leurs propres images de la perfection à laquelle il nous est souvent impossible de ressembler.
Chacun(e) d’entre-nous doit formuler et définir sa propre envie de perfection pour établir son propre équilibre entre ce qu’il (elle) aura envie d’être.
Puis, comme nous sommes de faibles êtres confrontés à l’inconnu de nos vies ; confronté  de surcroît à la puissance des forces de la nature qui nous environne, aux faits et savoirs que nous ne connaissons pas encore alors nous doutons de nous même, de nos capacités.
Certains hommes ont inventé les dieux pour nous impressionner, nous rassurer, se servir de nous et nous conduire vers le destin qu’ils souhaitaient nous imposer pour servir leurs intérêts.
De là sont nées la plupart de nos lois, de nos illusions, de nos déformations de la réalité.
Désormais  nous avons appris que nous ne sommes pas seulement ce que nous croyons être.
Que nous n’avons pas choisi  ce que nous pensons être notre authenticité ?
Nous n’ignorons plus que nous avons accepté de porter des masques sociaux pour être conforme à l’image que les autres attendent de nous en retour.
ls nous restent alors à trouver comment corriger nos comportements, modifier nos attitudes.
Avez-vous une idée à nous faire partager dans ce but ?