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Osons aimer avec le filtre de ces treize forces qui nous animent ?

Nos appels du désir sont-ils tous réalisables ? Ou est cachée la réalité du bien être de notre ressenti ? Peut-on décider toujours décider d’être conscient de ce que l’on fait ? Comment passe-t-on de l’état de connaissance à la compréhension des causes qui nous animent et qui nous rendent amoureux (se)?

La réponse est sans doute dans la volonté que l’on met lorsqu’on est poussé par un désir cohérent et sans équivoque en recherchant simplement que ce qui est bon et sensuellement bien dans l’instant et de durable pour nous dans l’idée d’un futur partagé.

En réalité quand notre volonté  s’affaiblit, doute et parfois devient douloureuse, c’est quand elle va dans le sens contraire aux treize forces qui nous animent :

Notre capacité d’écoute et de ressenti.

La concentration de notre volonté.

L’art d’émettre des pensées positives.

La maîtrise de notre raisonnement.

L’aptitude à la persévérance.

Le partage de l’enthousiasme.

La capacité de générer de l’optimisme.

L’application de notre intelligence contre la force brutale.

Le droit à la reconnaissance d’être.

Le savoir faire rayonner nos connaissances.

L’art d’utiliser les circonstances.

La maîtrise des énergies psychiques.

La réflexion associée à la maîtrise du temps psychologique.

Nous avons le pouvoir de mettre en action n’importe quelle idée durable , et nous oublions souvent et ne remarquons même pas ces forces naturelles qui sommeillent en nous et qui pourtant sont si vitales pour établir une bonne relation.

Souvent nous nous forgeons dans notre raisonnement d’innombrables fictions nées d‘illusions passionnelles et trompeuses, c’est pourquoi nous devons sans cesse remettre en question notre entendement entre les notions bien et mal, perfection ou imperfection, jalousie, haine ou amour.

Nous ne trouverons notre équilibre qu’en vivant un amour sincère et réel en harmonie à ces treize forces qui nous conduisent vers le mieux être en nous libérant  ainsi de nos illusions passionelles.

Voilà ce qui est probablement le secret de la recette pour aller vers votre bonheur durable ou un amour retrouvé.

Oserez- vous suivre le chemin indiqué pour être toujours vrai dans l’expression de vos sentiments ?

Empathie, amitié, amour, tendresse ?

Domestiqués par des croyances imposées. Punis ou récompensés selon des croyances.  La peur d’être puni et de ne pas être récompensé, nous ont contraints à nous insérer dans une société avec l’intention de faire plaisir et de paraître bien, acceptable.  Faisant naître en nous la culpabilité, le doute, la peur ainsi que le manque d’estime de soi.

L’amour tendresse envers soi-même est aussi devenue l’antidote au manque d’estime de soi selon les circonstances subies ou vécues.

Pour guérir, vous devez découvrir la bonté naturelle qui est en vous et chez les autres sans prétentions ni orgueil. Oser et Permettre l’échange en confiance, juste et équilibré afin de casser les anciennes peurs irraisonnées.

Cette simple ouverture mentale aux autres est ce qui permet de rompre la solitude dans laquelle notre éducation, l’individualisme et l’esprit de compétition nous ont conduit.

Il y a diverses sortes d’amitiés :

L’amitié occasionnelle de la personne qui a un simple coup de cœur pour vous et qui vous le démontre pour attirer votre attention.

L’amitié intéressée qui se construit sur des relations basées sur l’intérêt matériel ou professionnel.

L’amitié qui est une forme d’admiration de vos qualités mais qui n’est pas toujours directement témoignée et peut parfois rester secrète.

L’amitié qui se forge aux cours des ans, qui n’est pas toujours démonstrative, mais qui est durable.

L’amitié vraie et sans compromis, sans jugement, tolérante et toujours présente face aux bons et mauvais jours.

Sans attachement, comme sans curiosité il n’y a pas d’empathie possible et la seule évidence est que le « Je » ne peux vivre seul.

Toutefois pour rencontrer l’autre, nous devons consentir quelques efforts pour susciter l’intérêt, séduire et aimer en ayant les antennes de notre ressentir parfaitement déployées. C’est ainsi que l’humain entre dans le groupe auquel il appartient en découvrant les bienfaits de l’empathie et du bien vivre en société.

L’empathie est l’art de tisser des liens, de savoir comprendre ce qui trouble ou déchire.

 L’humain survit socialement qu’en échangeant des informations et il faut l’aptitude émotionnelle de l’empathie pour que nos neurones miroirs entre en résonance avec le bon geste, le sourire, la parole de l’autre qui nous a attiré et qui nous permet de répondre au désir de séduction ou de ce qui nous touche.

Pour devenir un(e) bon (ne) empathique il faut : se respecter et savoir se faire respecter ; oser s’exprimer ; identifier et maîtriser nos attitudes pour être entendu ; savoir faire face pour désamorcer l’agressivité de l’autre ; exprimer et partager notre assurance en défendant nos droits tout en respectant ceux des autres. Il s’agit de traiter d’égal à égal et sans a priori, négocier sans perdant ni gagnant et ce qu’il ne faut surtout pas vouloir est : asservir l’autre ; choisir à sa place ; critiquer sans avoir entendu ; se satisfaire prioritairement au détriment de l’autre ; refuser d’entendre.

Voilà vous connaissez l’essentiel des règles de l’empathie, il vous reste simplement à acquérir un peu de pratique pour en tirer les bienfaits et tisser vos nouvelles relations amitié, amour et tendresse en toute confiance.

Le jouet du savoir

Quand l’humain renonce à apprendre, il n’est plus que le jouet du savoir des autres.

Blessure de tendresse

Hier elle était là devant moi
Et je n’ai pas su partager son émoi
Dans ses yeux j’ai perçu l’effroi
D’un futur départ vers l’irrémédiable froid

Je m’en veux
Je n’y ai vu que du feu
Et j’ai peu pensé à nous deux
Malgré la tendresse permanente de ses yeux

Devenue partie de mon bonheur
Elle m’a offert son petit cœur
Sans jamais émettre de rancœur
Et je n’ai pas su discerner sa peur

Partie vers l’effroyable rivage
D’où il ne reste que le souvenir en partage
Je garderai ainsi d’elle la plus belle image
Jusqu’à mon dernier hommage

Compagne d’une  vie presque irréelle
Désormais je dois apprendre à vivre sans elle
Cette Coquine restera ma plus belle
Blessure de tendresse émotionnelle

10 essentiels pour établir un contrat avec le plaisir de vivre

Voici les quelques bases indispensables du vivre mieux, en harmonie, permettant de jouir d’une qualité de vie  satisfaisante : 

1 / On aime bien que si l’on s’aime.
2 / L’envie d’un plaisir simple est la source naturelle de toute joie.
3 / S’ouvrir à l’autre est accepter de le/la recevoir dans sa vie.
4 / S’offrir sans calcul est la porte d’entrée d’un bonheur partagé.
5 / Honnêteté et franchise tissent les liens durables.
6 / Oser voir grand permet d’ajuster son optimisme aux besoins de sa réalité.
7 / Est fort, celui ou celle, qui  par nature défend et aide le faible.
8 / Progressera, l’humain, qui sait que sans bâtir rien ne se construit.
9 / Donner le meilleur de soi-même  est la vitamine qui apporte la joie de vivre au quotidien.
10 / Permettre toutes formes  de vie et de pensées rend possible le vivre ensemble.

Compassion ou mauvaise conscience ?

Si être solidaire est avoir le désir de s’entraider, faire la charité est celui de soulager sa conscience.

Toi, moi, nous..

Quand l’histoire collective est lourde de conséquences, le rêve individuel est toujours possible.

Ainsi de notre imparfait nait aussi la vérité humaine de notre envie d’être.

Sachant que le regard de l’autre est  celui de notre paraître.

N’oublies pas que celui (celle) qui te hait  souffre de l’envie de te ressembler.

***

Quand parfois la réalité t’échappe, il te faut juste oser faire face.

En n’oubliant jamais que savoir n’est pas croire.

Que de l’illusion du sensible naît  aussi ton désir d’être.

Et que ta confusion sera d’autant plus grande que tu seras insécure.

***

Quand l’humain se croit sans lendemain, il désespère de son désir d’avenir.

Ainsi tu dois être la personne positive qui ose prévoir que demain progressera.

N’oubliant jamais qu’apprendre ce n’est pas seulement se souvenir d’avoir peur.

Que le choix de ta raison sans la passion restera juste une intention.

Et que de ta joie d’agir naîtra la juste récompense de tes bonnes pensées.

***

Eveillé de ce qui précède  toi et moi deviendrons nous.

Pour toujours et pour la nuit des temps.

Sachant que de l’intime naît aussi l’universel.

Ensemble nous serons soleil dans notre monde.

Surtout n’oublie jamais que je t’aime et que je te ressemble !

Quand l’illusion est un rêve ?

Savoir n’est pas croire.

Savoir être

L’imparfait est une vérité humaine de notre savoir être.

Extimité

Wikipedia nous apprend que l’extimité par opposition à l’intimité, est le désir de dévoiler sa vie intime autant physique que psychique. Le mot a été proposé par Jacques Lacan dans son séminaire XVI en 1969.
 Les blogs et réseaux sociaux sont des dispositifs où cette extimité s’exprime. Le côté “journal intime” de certains blogs, l’exposition de soi que l’on peut découvrir par des images ou de textes en sont des exemples.
L’extimité, est l’extériorisation de ce qui appartient normalement au domaine de l’intimité, voir du privé. C’est l’intimité extériorisée et divulguée publiquement.

L’âme, alma

L’âme est…
Illusion du sensible
Tromperie de l’invisible
Vérité impossible
Prétention du désir d’être
Sensibilité de l’inconnu
Déraison de la raison
Faculté imaginative
Quintessence antonyme d’apparence

Elle n’est pas…
Eccéité d’un impossible
Une et multiple
Essence invisible
Témoin de la grandeur
Qualificatif de la bonté
Réceptrice de l’indicible beauté
Intention divine reçue
Ainséité d’une apparence

Serait-elle ?
Tricherie du réel
Vouloir être permanent
Espoir insensé
Rêve perdu
Illusion d’un déçu
Manipulation de l’ecclésiaste
Rassemblement des ignorances

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El alma es…
Ilusión del sensible
Engaño de lo invisible
Verdad imposible
Deseo de estar
Sensibilidad de lo desconocido
Miedo irracional
Facultad imaginativa
Antónimo de la quintaesencia de apariencia

no es…
Verdad del imposible
Uno y múltiple
Esencia invisible
Testigo de grandeza
Calificador de bondad
Belleza indescriptible
Intención divina recibida
Ojos de una apariencia

¿Sería?
Engaño de la imaginación                                                                                                                                                                                            Querer ser permanente
Esperanza loca
Sueño perdido
Ilusión de un decepcionado
Manipulación de Eclesiastés
Recopilación de la ignorancia

Illusoire espérance

La religion est l’utopie humaine d’oser se croire sublime.

Aporie, aporétique

On nomme aporie (en grec aporia, absence de passage, difficulté, embarras) une difficulté à résoudre un problème selon wikipedia et la pensée aporique  peut devenir dialectique et se distingue du scepticisme, de l’agnosticisme, ou du sophisme. Selon l’ Internaute : c’est une contradiction irréductible, insoluble en philosophie.

Dans le boudhisme Zen on appelle aporie (en grec aporia, absence de passage, difficulté, embarras) une difficulté à résoudre un problème. On précise également que pour Aristote, c’est une question qui place le lecteur ou l’auditeur dans l’embarras pour trancher entre deux affirmations.  Le sens moderne d’aporie serait plus fort concernant tout problème insoluble et inévitable.
Selon cocoledico c’est un problème logique insoluble. D’autres sources précisent qu’il s’agit  de la description d’une situation sans issue.

Selon sensagent.com est aporétique celui qui fait preuve de scepticisme, qui doute; est incrédule. Celui  qui se heurte à une contradiction logique ; qui professe le refus du jugement. Pour Larousse c’est être embarrassé relativement à l’aporie. Pour Reverso.net c’est  avoir une contradiction de fond dans un raisonnement.

Politique Europe

Europe, souvent prêteur sera la source de tes sueurs.

Agir ou réagir ?

Créer sa vie pas à pas, instant après instant, est la méthode permettant d’atteindre les objectifs qui constituent notre bonheur et notre joie de vivre quotidienne.
La création de notre réalité progressive dépend souvent de notre aptitude à accepter simplement ce que nous offre la vie et de notre manière de gérer  les conséquences de ce que nous avons été les jours précédant.

Notre façon de  nous ancrer dans la réalité du présent, en pensant au futur, est l’antidote qui fera de nous un être actif ou réactif.
En fait, accompagner les événements qui nous surviennent et les orientés vers un futur qui nous convient nécessite la capacité d’observer ce qui nous arrive, puis de  penser aux conséquences et d’enfin choisir la direction que nous voulons donner à notre projet d’évolution.
Il ne s’agit donc pas seulement de ressentir, aimer ou haïr ce qui nous touchent mais d’analyser, de parfois juger sans a priori et de choisir le sens à donner à nos actions.

La zone à proscrire  dans nos craintes de non épanouissement, sont de seulement écouter nos anciennes peurs et nos intentions négatives, ainsi que d’accorder foi en nos croyances hasardeuses qui nous font accepter notre infortune comme une légitime punition en regard à notre supposé sentiment de culpabilité dans ce qui survient.
Nous somme parfois responsable mais rarement totalement et intégralement.

Dans chaque événement qui survient, il y a les aspects positifs et ceux qui sont négatifs. En s’offrant le temps d’évaluer les poids des uns et des autres on peut ainsi arriver à trouver dans chaque situation ce qui correspond à notre plaisir d’être et à notre envie d’atteindre un futur meilleur.
Pour finalement trouver notre propre secret individuel clé de notre légitime aspiration au bonheur.

Certes notre existence, est le plus souvent une suite de réactions au lieu d’être un enchaînement d’actions voulues et dirigées vers notre bien être.
Toutefois, c’est en cherchant à inverser notre tendance naturelle que nous avons une chance de trouver notre équilibre en réprimant nos énergies négatives et en les transformant en énergies positives.
Il devient ainsi vrais que toutes nos erreurs, tous nos défauts contiennent potentiellement la clé de nos futurs succès lorsque que nous les transformons en énergies positives.
Ces dernières peuvent aussi être la source du savoir des raisons de ce qui nous a fait souffrir  en étant aussi le générateur de notre envie de ne pas vouloir revivre cette souffrance.

Transformer la peur et la souffrance en confiance, est un art difficile mais, celle ou celui, qui y parvient répond ainsi sans obstacle à son besoin et le réalise sans attendre, en y trouvant de surcroît le plaisir de la satisfaction.
L’apprentissage des règles simples de ce jeu de la vie  est le meilleur garant du plaisir de vivre une existence heureuse. Et cela vaut bien la peine de faire un petit effort pour y parvenir.

Agir ou réagir, souffrir ou trouver du plaisir,  ne sont finalement qu’une question de choix ?  Prendrez-vous, désormais, toujours le temps de le faire ?

Qu’en pensez-vous ?

Aimer ou être aimé ?

Les expériences négatives vécues aux contacts de nos parents dans notre prime enfance, et plus généralement avec les adultes, conditionnent et déterminent durablement notre façon intime d’apprendre l’amour de l’autre.

Le secret de notre véritable bonheur ne pourra se révéler, peu à peu à nous, qu’en réglant  les erreurs de communication et de compréhension de ce qui précède.
C’est en corrigeant nos premières conclusions erronées que nous auront une chance de trouver les raisons secrètes de notre propre évolution en prenant ainsi conscience que sans amour, rien n’est réellement possible pour assurer notre futur.

Sinon, les pensées immatures suggérées dans notre enfance continueront d’influencer durablement notre mal être en conditionnant ainsi l’essentiel de nos comportements.

L’image de soi reflète comment on se voit, ce que l’on croit être, ce que l’on croit qu’on est capable de faire, comment on croit que les autres nous voient.  Elle produit une sorte de photo imaginaire de nous-mêmes, de ce que nous avons en tête, elle précise quel rôle nous voulons jouer, de quel masque nous voulons nous parer pour échapper à la réalité qui nous a blessée.

L’image de soi peut-être le moteur ou la négation de notre devenir. Une bonne image
nous apporte la confiance en nous même et une mauvaise image renforcera nos peurs et nous incitera à mesurer et à se méfier de la médiocrité des autres. Ainsi nos peurs, nous inciterons à ne pas prendre les bons risques calculés.

Accéder à l’amour véritable demande  l’acceptation entière de soi, et la correction des erreurs initiales imposées par notre environnement, pour pouvoir aimer l’autre sans les entraves générés par les mauvaises expériences du passé.
Puis, il faut accepter un nouveau concept, qui est que nous sommes les miroirs des uns et des autres.

Par la méditation et l’acceptation de ce concept, nous pourront enfin parvenir sans encombre au plaisir de la rencontre et découvrir un peu de l’image de soi chez l’autre pour parfois  aussi, reconnaître un peu de l’image de l’autre chez soi, ce qui nous aidera à s’aimer davantage.
Puis plus après, avoir jouis du bonheur partagé, nous prendrons alors conscience d’une appartenance universelle qui nous conduira à vouloir le bonheur des autres, de soi même et de sa descendance.
C’est aussi l’affection partagée pour l’humain qui est le fondement naturel de notre humanité et la meilleure aspiration à conquérir pour progresser vers un monde global plus heureux du vivre ensemble.
Ainsi l’aspiration à un monde global de l’amour partagé sera fort et plus puissant que la globalisation du profit économique.

Chacun de nous est  donc bien un miroir pour les autres et c’est par le rayonnement de nos intentions positives que nous pouvons convaincre les autres d’adopter le bon sens qui conduit à un bonheur collectif.
Ainsi sera l’avenir de notre civilisation si, nous prenons la bonne décision de le vouloir.

Mais attention au revers de la médaille, ne nous laissons pas prendre au piège de la réalité de l’autre, qui elle pourrait, avec de mauvaises intentions, nous conduire à nous plonger dans l’illusion.

C’est notre liberté de choix qui fera toute la différence de notre devenir sur la planète.

La magie de nos illusions..

Il faut beaucoup de courage pour oser remettre en question ses croyances, car si elles n’ont pas été choisies,  en règle générale, nous les avons acceptées par amour pour ceux qui nous les ont suggérées
Un pourcentage important de nos croyances sont fausses et notre raisonnement a le ressenti qu’elles sont erronées sachant intuitivement quelles sont souvent fondées sur des peurs.
Il est vrai aussi que chaque fois que l’on exprime de la colère, de la jalousie, de l’envie ou de la haine on ressent comme un feu destructeur qui nous  consomme à l’intérieur de soi.  Un feu mental qui nous détourne à la fois  de nos pensées les plus positives et de nos principaux objectifs initiaux. De notre simple et légitime aspiration à être heureux.
Naturellement toute personne recherche sa vérité… sa beauté, son équilibre et  la justice dans ses comportements.
Pour y parvenir nous avons besoins de passer des accords avec à notre raisonnement et notre intelligence.
En ayant au préalable,d’abord pris conscience des influences néfastes subies, pour ensuite résister aux méfaits diffusés par les mensonges nés des croyances qui nous ont été imposées et que nous avons accepter à tort.

Les Toltèques appelle cela le mitote. Les Indiens sanskrits dans la philosophie védique, nomment nos confusions  du raisonnement, l’illusion du mâyâ,  illusion du monde physique que notre conscience considère à tort comme la réalité.
Les croyances reçues nous ont mis dans l’idée qu’être en accord avec soi même n’est pas suffisant, qu’il faut aussi faire confiance à autrui, à ceux qui nous aiment et à vivre en fonction du point de vue des autres. Ce qui fait naître en nous,  la peur de ne pas être accepté, de ne pas être bien selon eux et/ou pas assez conforme à leurs croyances.
Nous avons appris à plaire à ceux qui nous aiment et qui ont leurs propres images de la perfection à laquelle il nous est souvent impossible de ressembler.
Chacun(e) d’entre-nous doit formuler et définir sa propre envie de perfection pour établir son propre équilibre entre ce qu’il (elle) aura envie d’être.
Puis, comme nous sommes de faibles êtres confrontés à l’inconnu de nos vies ; confronté  de surcroît à la puissance des forces de la nature qui nous environne, aux faits et savoirs que nous ne connaissons pas encore alors nous doutons de nous même, de nos capacités.
Certains hommes ont inventé les dieux pour nous impressionner, nous rassurer, se servir de nous et nous conduire vers le destin qu’ils souhaitaient nous imposer pour servir leurs intérêts.
De là sont nées la plupart de nos lois, de nos illusions, de nos déformations de la réalité.
Désormais  nous avons appris que nous ne sommes pas seulement ce que nous croyons être.
Que nous n’avons pas choisi  ce que nous pensons être notre authenticité ?
Nous n’ignorons plus que nous avons accepté de porter des masques sociaux pour être conforme à l’image que les autres attendent de nous en retour.
ls nous restent alors à trouver comment corriger nos comportements, modifier nos attitudes.
Avez-vous une idée à nous faire partager dans ce but ?