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Albédo, l’albédo

Ce mot découvert en lisant le magazine « Horizons » de la recherche en Suisse de décembre 2023 a éveillé ma curiosité.

Selon Wikipedia : L’albédo, ou albedo (sans accent), est le pouvoir réfléchissant d’une surface, c’est-à-dire le rapport du flux d’énergie lumineuse réfléchie au flux d’énergie lumineuse incidente. C’est une grandeur sans dimension, comparable à la réflectance, mais d’application plus spécifique, utilisée notamment en astronomie, climatologie et géologie Le substantif masculin albédo est emprunté au latin tardif (bas latin)  albedo, substantif féminin signifiant blancheur. Il a été introduit au XVIIIe siècle en optique et en astronomie par le mathématicien et astronome Jean-Henri Lambert.

On connait également l’albédo de Bond, ou albédo bolométrique, ou albédo sphérique, ou albédo planétaire, mesure la capacité d’un corps astronomique à réfléchir la lumière reçue.

Selon Science et Avenir : L’albédo à l’échelle de la planète représente la part des rayonnements solaires – la lumière solaire – renvoyée vers l’espace car ces rayons sont réfléchis sur la surface terrestre ou l’atmosphère.

« L’albédo est une grandeur sans dimension, explique sur son site le CNRSSa valeur s’exprime soit par un pourcentage entre 0% et 100%, qui est donc le pourcentage de lumière réfléchie par rapport à la quantité reçue, soit par un chiffre entre 0 et 1, qui est la fraction de la lumière réfléchie« .

Selon Geoconfluences :  La banquise a un albédo proche de 100, elle peut renvoyer jusqu’à 70 % de l’énergie solaire pour la glace nue, voire 90 % quand elle est couverte de neige fraiche, quand l’océan n’en renvoie que 10 % (Godard et André, 2013, p. 47). Cela signifie que la fonte de la banquise a un effet négatif, puisque l’eau absorbe alors plus l’énergie solaire que la glace, et que sa surface se réchauffe plus vite, accroissant encore la fonte de la banquise dans une boucle de rétroaction négative. L’atténuation de l’albédo accélère ainsi encore le réchauffement dans les régions polaires.

Selon https://www.projetecolo.com/  :Les conséquences de l’effet albédo peuvent être importantes et avoir un impact direct sur divers aspects de notre planète, du climat mondial aux écosystèmes locaux. Voici quelques-unes des principales conséquences :

Changement climatique : à mesure que les surfaces réfléchissantes, telles que les calottes glaciaires et les couches de neige, fondent en raison de la hausse des températures, elles sont remplacées par des surfaces moins réfléchissantes, comme l’eau des océans ou le sol nu. Ici, vous pouvez en apprendre davantage sur les effets du changement climatique.

Fonte des glaciers et des glaces polaires : l’effet albédo est particulièrement important dans les régions polaires. À mesure que les calottes glaciaires et les glaciers deviennent moins réfléchissants et plus sombres en raison de la fonte des glaces et de l’accumulation de particules, leur fonte s’accélère. Ici, vous pouvez en savoir plus sur les conséquences de la fonte des glaces aux pôles.

Modification des régimes de précipitations : L’effet albédo peut également affecter les régimes de précipitations. Des surfaces plus chaudes et moins réfléchissantes peuvent chauffer l’air ambiant, ce qui peut modifier la configuration des vents et les courants atmosphériques. Dans ce lien vous découvrirez les types de précipitations.

Impact sur la vie urbaine : des températures plus élevées dans les villes en raison de surfaces à faible albédo augmentent les risques de coup de chaleur, augmentent la demande d’énergie pour le refroidissement et affectent négativement la santé des personnes.

Parfums de vie janvier 2024

Sagesse et pensées du mois

Restons toujours en chemin vers un meilleur ailleurs.

Toutes nos bonnes pensées seraient permises si on savait juste résister, à seulement croire ce que la vie nous a durement imposé.

Ce dont on ne se souvient plus, saura-t ’-il disparaître …

La vie serait tellement plus belle, si nous renoncions… à craindre l’autre.

Quand la pensée heureuse trouve sa joie, tout va pour le mieux.

Poésie et bon cœur sont les belles ailes du sentiment.

C’est souvent l’ingratitude qui tue la bonne volonté.

La sagesse véritable n’est autre que l’émerveillement face à la vie.

Être-là (Le Dasein)

Selon le dictionnaire le Larousse: C’est pour Heidegger, l’être humain en tant qu’il est la somme de ses possibilités. C’est également pour les existentialistes, l’être humain existant concrètement dans le monde.

Pour Wiktionnaire: c’est la traduction littérale de l’allemand existence.

Selon Wikipédia : Le terme dasein est utilisé pour identifier de de manière catégorique la relation entre l’être humain et toute action visant à atteindre un but ; alors, le but est connu, raisonnable et intellectuellement traité, mais l’action ne jouit pas des mêmes conditions, ça en quelque sorte c’est une action préconsciente, non traitée, non remise en question ; cela arrive simplement c’est le Dasein.

Ce terme indiquerait également le degré de dévouement de l’être humain par rapport au monde. Les êtres humains se donnent, en tant que participants, en faveur de la routine, du travail, des coutumes -entre autres cas similaires- mais chaque action réalisée est un échantillon de dévouement et de relation continue avec la création ; bien qu’il ne soit pas aussi clair, comme mentionné ci-dessus, quels sont les véhicules qui donnent l’impulsion à ces actions.

En philosophie: c’est simplement la situation d’une créature qui existe.

En Chine et dans le bouddhisme: c’est la fusion du Chi et du Nen, l’être qui fusionne avec l’énergie cosmique.

Pour l’auteur Marc Galy dans son livre « Être là » c’est : Entendre, voir, écouter… Être présent à soi et aux autres, apprendre à percevoir son environnement et mieux comprendre ceux qui nous entourent.

Parfums de vie de novembre 2023

Sagesse et pensées du mois :

Retrouver sa joie de vivre est le plus beau cadeau de la vie.

L’indispensable plaisir de vivre, est d’avoir toujours envie d’aimer.

Aimer, c’est juste oser… s’autoriser à avoir l’élan du cœur.

Ne laissez jamais personnes douter de vos élans du cœur.

Renoncer à s’aimer c’est choisir d’handicaper sa vie.

On ressent bien que ce qui est sincèrement bien fait.

En cas de doute, tu peux toujours croire… t’évitera peut-être d’avoir à le faire.

Parfums de vie… d’octobre 2023

Pensées et sagesse du mois :

« A ceux qui font la guerre, l’homme juste est devenu inutile. » / Platon

« Il vaut mieux être juste qu’injuste ». / Socrate

Essaye… Toujours par principe, de ne pas être, celui par qui, le malheur arrive.

Parfois ce n’est que ta gentillesse qui sera la source de tes problèmes.

Apprécie dans la vie, celui ou celle, dont le mental est plus fort que ses blessures.

Suis-je réellement devenu un élément utile dans mon univers et pour mes proches ?

Saurons-nous continuer à bien vieillir ensemble après avoir vécu notre noce d’émeraude ?

L’équilibre mental n’est qu’un état de la pensée et un choix à vivre ?

Parfums de vie… de septembre 2023

« Vous serez réellement libre… dès lors que vous fonderez votre vie sur une seule chose : votre perception de vous-même. » / Deepack Chopra

Dans l’intelligence artificielle, il y a surtout… la bonne ou mauvaise intention de celui qui l’a programmée.

On devrait tous, savoir apprendre à nos enfants à s’aimer eux-mêmes.

Surtout, n’écris jamais demain avec les maux d’hier.

Vouloir la paix est une décision de vie positive. Vouloir la trouver en soi-même est également un but nécessaire.

Le désir aspire toujours à être satisfait… c’est sa principale raison d’être.

Toujours choisir de dire la vérité est une bonne pratique comme restituer ce que l’on a reçu donne naissance à l’avenir.

Parfums de vie… d’août 2023

La gratitude est l’accent que l’on met sur le bonheur de vivre.

Savoir vouloir, c’est oser agir pour ce que l’on aime.

La liberté n’est qu’un impérieux désir à satisfaire.

On désire être heureux quand on comprend qu’être triste ne sert à rien.

La peur pour soi éveille… toujours le désir, d’avoir un ennemi.

Il faut oser savoir s’offrir un rêve… pour avancer.

Ainsi s’écoule une vie…

A dix ans, on aspire à grandir un peu plus vite. A vingt ans, on aimerait enfin devenir un adulte. A trente ans, force vive, on voudrait déjà tout pouvoir. A quarante ans, on croit déjà tout savoir de la vie. A cinquante ans, viendra le temps de penser à demain. A soixante ans, on suppose, être devenu mort, pour les autres. A 70 ans, on débute ce qui sera l’aube du grand âge. A 80 ans, on veut prendre son temps pour espérer tout finir. A 90 ans, on savoure avec patience ce qui reste à vivre. A 100 ans ans, le plaisir de la vie n’est plus que rempli que de bons souvenirs.

Parfums de vie du mois de juin 2023

Sagesse et pensées du mois :

Le besoin est toujours à l’origine d’un progrès.

Le droit à l’oubli, est juste une liberté de penser, qui permet d’être soi sans subir les entraves du passé.

Saurons-nous, avec le temps modifier la réalité de nos attitudes trop instinctives.

Chaque geste humain, répond à une demande, de ce qui arrivera et qui sera de la joie ou du chagrin selon ton choix de vie.

Observe attentivement la vie qui t’entoure et tu y trouveras les raisons de ta joie de vivre.

Le réel changement de vie, c’est qu’avec l’âge, on ose dire tout ce qui te passe par la tête.

Petits parfums de vie de mai 2023

Sagesse et pensées du mois :

« L’aspect innocent du monde est la capacité d’émerveillement du mental qui permet les découvertes, le ressenti de l’extase et la liberté de choix ». / Inspiré par Deepak Chopra

L’hypocrite n’aurais jamais, une réelle intention vraiment pure…

Prendre le temps de sourire, c’est aussi accéder à la musique de la vie.

On n’échappe jamais à sa réalité, seulement on choisit de la subir ou pas … !!!

Notre réalité personnelle est-ce qui définit qui nous sommes mieux que l’expression du masque de nous-même.

L’éducation pourra changer le monde que si on osera lui faire confiance.

L’opprimé est celui ou celle, à qui on impose de perdre sa raison d’être soi.

L’homme sage a souffert et il sait ainsi ce qu’il ne doit pas vouloir reproduire.

Le pouvoir de l’intention et le désir d’attention à l’autre sont les seules clés qui conduisent au réel ressenti d’un bonheur partagé.

Croire ou voir le réel, là sera l’important choix

Le libre arbitre serait la faculté mentale qui nous permettait de choisir librement d’agir selon notre bon vouloir. La croyance en l’existence du libre arbitre serait liée au sentiment d’être en mesure d’exercer un certain contrôle sur son…comportement.

Pour Sartre l’humain serait ainsi totalement responsable de ce qu’il est.

Ainsi, notre réalité personnelle serait l’élément qui pourrait aussi définir ce que nous sommes.

Le problème est que en réalité, le mental humain voit le monde que selon l’image qu’il en a apprise créant ainsi sans cesse sa propre illusion basée sur ce qu’il croit avoir reconnu selon l’étendu de sa connaissance.

Pour avoir une saine liberté, il faudra donc apprendre à découvrir la réalité de ce qui se cache dans l’au-delà d’une illusion faussement perçue.

En conclusion… Sans la conscience de ce qui est réellement réel on ne pourra jamais prouver ce qui n’existe pas et notre tendance à être toujours mécontent et insatisfait ira également à l’encontre de notre désir ou libre arbitre facilitant notre désir de mieux vivre. Finalement ce qui ne changera pas décline… Et fera mourir nos plus belles des intentions. L’homme sage sait ce dont il a souffert et il sait également ce qu’il ne doit pas vouloir reproduire.

Petits parfums de vie d’avril 2023

Sagesse et pensées du mois:

Être simplement heureux est la plus sage des sensations à vivre.

Le bonheur le plus agréable à vivre est celui qui est partagé.

La bonne conscience d’avoir osé le faire, n’est que le fruit d’une expérience vécue.

Quand ton bon sens sera sans discernement, tu perdras aussi la motivation de ce qui t’anime.

Le réel moteur du devenir humain est… Avoir juste envie de vivre mieux.

L’échec assuré sera toujours de ne pas avoir oser essayer.

Lire est parfois… Savoir rêver les yeux bien ouverts.

Petits parfums de vie de mars 2023

Sagesse et pensées du mois :

Ne laissez jamais votre passé prendre une hypothèque sur le futur. Vivez simplement le moment présent.

A trop se regarder vivre et voir son ennui on se voit aussi souffrir.

Un jour je m’en irai sans avoir su te dire combien je t’aime.

Avec le sourire on peut tout dire même la vérité.

Avoir l’intention de… n’est que le désir d’avoir un nouveau futur.

Mon plaisir du jour sera juste avoir la sensation d’être heureux.

Vous et moi sommes pareils, affamé du mieux vivre.

Ne cherchez pas la faute de l’autre, trouver juste votre bonne solution.

La conscience n’est souvent que le fruit amer d’une expérience.

Pratiquons l’art du choix

L’avenir n’est que fruit mûr d’un choix et choisir est aussi la conséquence de ton simple désir d’agir. Le réel plaisir d’être curieux est savoir oser choisir au bon moment.

Oses choisir ?  Les pensées positives conduisent à ton bien être, les négatives produisent tes souffrances. L’indécision est ce qui te rendra malheureux.

Vois, choisis et agis et tu seras maître de ton avenir et ta réelle liberté, sera simplement la récompense, d’oser avoir la volonté de choisir.

Quand… Je choisi d’être heureux, je le deviens.

Choisir est un art difficile, c’est pourquoi tant de gens renoncent à le faire.

L’échec assuré est toujours de ne pas choisir et le doute sera angoisse quand on ne sait pas choisir. Penser sans choisir conduit au rêve déçu et agir sans penser est le faux espoir.

Mais si, il est vrai que celui qui a faim dévore sans choisir. Vieillir sera aussi apprendre peu à peu à de moins en moins choisir et c’est alors que ta mémoire et ton inconscient qui choisiront automatiquement, mise en état de survie, à ta place, la réalité qui s’arrangera le mieux, sur le moment.

Petits parfums de vie de février 2023

Sagesse et pensées du mois :

Parfois, un peu triste, souvent heureux de vivre mais avec toujours plein de désirs à satisfaire, ainsi tu vivras une vie, bien remplie.

La pensée suggère mais seul un travail acharné et persévérant rendra possible la concrétisation d’une bonne idée.

Partager son bonheur est aussi prouver aux autres que le bonheur est aussi possible pour eux.

Parfois la sagesse dans une vie est de savoir renoncer à être au bon moment.

La véritable modestie est savoir respecter et écouter l’autre.

Dans la vie, il y a toujours un ça me suffit qui nous ramènera à choisir de pouvoir être de nouveau soi-même.

La sagesse consiste à avoir la bonne volonté d’écouter et d’entendre sans juger.

Savoir aimer ce que l’on a est le précieux indicateur de notre réel niveau de bonheur.

Si le cœur est bien le centre de notre intelligence affective, l’image de soi résulte trop souvent de l’opinion d’autrui.

L’ego n’existe que pour satisfaire l’approbation de l’autre : les parents, les maîtres, les amours de sa vie …

Ce qui tue l’amour est ressentir le faux sentiment d’avoir raison.

Ne laissez jamais votre passé prendre une hypothèque sur votre futur. Vivons simplement le moment présent.

2023, une année pour rêver dire non au fascisme global

En numérologie 2023 est annoncée comme une année 7, une année qui sera un bon moment pour refuser le pire et prendre de nouvelles directions. Soyons lucides, fous, réalistes et surtout rêvons un peu…

Dès 2019, comme vous j’ai eu le réveil acide, je venais d’apprendre comme tout le monde, découvrant la révélation démocratique, qu’un ancien militaire sera élu à la tête du Brésil propageant des idées qui m’ont fait me souvenir d’horribles autres temps, en obtenant ainsi une majorité de 55 % des votes. Aujourd’hui heureusement, il semble y avoir du changement dans ce pays avec l’espoir de l’arrivée d’un ancien président réélu avec plus de 51 % des voix mais il reste 49 % de soutien à des idées négatives, dont certains souhaiteraient en plus que se produise un coup d’état militaire ou encore voir l’annulation d’un grand nombre de voix de l’adversaire par un procédé douteux. L’avenir de ces prochains jours, avec violences au menu, nous confirmera ce que deviendra le futur démocratique de ce pays.

Malheureusement tout le monde, a pu également apprendre les avatars peu exemplaires vécus aux Etats-Unis grâce à  Mr Trump qui pense revenir prochainement  au pouvoir; nous avons aussi observé les mauvaises aventures qui se sont déroulées en Angleterre en raison d’idées nauséabondes trop conservatrices ; voir comment dans certains pays du Nord et à l’Est de l’Europe on a pu également assister à diverses prises de pouvoir de la droite extrême ; encore plus concrètement et décevant,  récemment en Italie une personne inspirée par Mussolini arrive au pouvoir de la démocratie italienne. La France n’a pas échappé à sa montée d’adrénaline avec en seconde place au premier tour, des idées extrêmes aux dernières élections.

Peut-on continuer démocratiquement à oser se faire peur sans réagir…    Allons-nous continuer à laisser le champ libre aux racistes, fascistes, démagogues, à des carriéristes disposant de surcroit d’une fortune souvent considérable pour influencer négativement les faits en proférant de grossiers mensonges dont ils se servent pour parvenir à leurs fins si peu démocratiques, eux, qui voudraient nous imposer une société qui leur ressemblerait ?

Tristement les excréments pestilentiels des mauvais sentiments nauséabonds, propre à cette bête humaine fasciste regagnent du terrain un peu partout. Aurions-nous déjà oublié les méfaits causés par ce type d’idéologie au pouvoir par le passé…

Le pire ennemi pour ces menteurs ne serait-il pas de savoir garder la mémoire d’un passé récent bien qu’appartenant déjà au précédant siècle. La mémoire des peuples est-elle donc si peu durable ?

Mais que se passe-t-il donc ?

Comment se libérer de ces virus propagandistes aux idées négatives qui se répandent globalement comme une peste brune ou un mauvais virus ?

Que font les nobles descendant de l’ONU, garant défenseurs de ceux qui ont rédigé les belles valeurs de la charte des droits de l’homme ? Que sont devenus les génies penseurs d’une internationale solidaire aux utopies civilisatrices ? Que reste-t-il des valeurs éthiques enseignées par les religions, auraient-elles perdues, en chemin, le naturel sens du devoir humain des vertus d’un partage équitable ?  On peut légitimement s’en inquiéter !

La touche « reset » pour remettre à zéro notre vie et pour pouvoir aussi aspirer individuellement et collectivement à vivre pacifiquement mieux dans un futur proche, se trouve au niveau de notre pensée individuelle, de notre manière de voir, d’accepter ou refuser les circonstances néfastes tristement imposées par quelques tristes sires agissant sur notre planète.

La solution existe, elle est en chacun de nous, nous devons librement grâce à notre éducation, à notre savoir : aspirer à penser mieux collectivement, oser imaginer un avenir positif commun, rêver d’un progrès utile à tous, choisir d’agir et oser plus. Pour défendre notre désir de vivre mieux. Créer ensemble de nouvelles utopies qui ne sont que l’irréalisé de ce qui reste à faire.

Le principal organe de l’action humaine est bien la pensée, grâce à elle tout commence ou recommence, tout se construit où se reconstruit, s’accepte où se refuse. Il faut juste devenir de plus en plus nombreux à vouloir intensément que la roue tourne, en ayant le courage de choisir d’agir pour établir des nouvelles normes acceptables et agréables de convivialité positive.

Nous devons instinctivement et naturellement désirer vivre mieux et ne plus accepter de subir les mauvaises actions et intentions, trop intéressées d’un capitalisme du tout pour soi, redevenir les agents diffuseurs de notre naturelle aptitude au bonheur pour tous et permettre au mental des êtres humains de retrouver le plaisir de la gratitude pour les moments agréables de joie que nous pouvons tous vivre un moment dans nos vies.

Le bonheur individuel et collectif sera dans l’art de positiver ensemble le possible. Une simple pensée positive au réveil peut dynamiser ta journée entière. Ne nous laissons plus convaincre par des marchands d’illusions aux séduisantes idées avec des solutions simplistes, qui comme vous pouvez l’observer, font tous partie de cette minorité de leaders de la globalisation, qui prétendent gérer le monde en améliorant individuellement leur propre capital.

Il sera impératif de reconstruire ainsi peu à peu notre estime de soi personnelle et collective, reprendre confiance en nos facultés de changement collectif, en retrouvant notre goût de vivre agréablement basée sur le plaisir de ressentir des joies simples.

Notre premier courage consistera à commencer par dire non à l’intérêt d’un petit nombre d’élus contre tous ! Ce n’est pas impossible mais dur à faire, seule la persévérance de choix positifs et d’actions individuelles responsables, multiples et librement consenties, changeront pas à pas l’évolution négative du monde en quelques chose de plus positif à vivre pour tous.

L’ennemi de notre bien-être c’est notre peur, cette peur qui ne nous empêche pas de souffrir mais qui nous conduit à renoncer à vivre pleinement en acceptant la déraison majoritaire comme une fatalité imposée, par des gens cyniques, qui ont que leur seul profit en tête.

Il n’y a pas de pire malheur que l’on accepte de se voir imposer une réalité qui n’est pas la nôtre par manque de raisonnement. Aide-toi suffisamment pour avoir le courage de changer ce qui risque de te faire souffrir longtemps. La vie est trop courte pour accepter de nous auto-mutiler par manque de savoir oser penser en positif.

L’avenir appartiendra à celles et ceux qui sauront formuler les nouvelles utopies à partager.

La solidarité partagée, c’est choisir d’agir ensemble pour le bien commun en toutes circonstances en retrouvant au jour le jour le plaisir de ce qui est bien accompli avec la naturelle joie de vivre en récompense. Il n’est jamais trop tard pour commencer à travailler en équipe solidaire pour obtenir un mieux vivre possible.

La véritable beauté de l’être humain est avoir ensemble l’intention pure et commune d’avoir la sincérité dans son cœur. En unissant nos pensées positives collectivement on vivra toujours mieux dans un monde devenu plus coopératif et libéré des sombres méfaits qu’impose le chacun pour soi.

Disons définitivement non à la bête du fascisme global et agissons avec détermination contre chaque déviation négative de la pensée à notre niveau. Le moment est revenu de contribuer à le faire ensemble pour vivre mieux notre futur.

Nous devons nous aider tous ensemble en 2023, plus que jamais, à rendre l’espoir d’une vie meilleure pour notre civilisation et pour tous.

Et surtout renonçons fermement à continuer à surfer sur la vague des mauvais ressentiments trop souvent signalé et promu médiatiquement qui nous éloignent du bon sens humaniste et de la solidarité partagée. Ne laissons pas s’éteindre les effets du siècle de lumière et des révolutions qui se sont suivies pour pouvoir progresser. La régression en s’aliénant en plus, à suivre de néfastes idées n’apportera aucune solution satisfaisante.

Le changement sociétal redeviendra possible qu’en retrouvant une majorité de bons sens en faveur d’une union populaire ayant le désir de mieux vivre, ce qui sera positivement possible qu’en additionnant les volontés d’être et d’agir ensemble.

Un vœu simplement réalisable en 2023, si nous le voulons tous et sauront judicieusement changer de cap mental pour laisser la place à de plus heureuses aspirations.

Sauvons la planète, autant que la civilisation d’un bien-être collectif et démocratique.

70 ans en 2023, comme un nouveau futur

En 2023, en année numérologique 7, prendre du recul à chaque fois que cela devient nécessaire devrait devenir un réflexe chez vous et pour moi… en cette année j’aurai 70 ans, un nouveau pic, un nouveau cap d’espérance, une fin de… voyons ensemble ce qui devient la durée des possibles.

Voici la  définition du Wiktionnaire, le dictionnaire libre et gratuit que chacun peut améliorer , «septuagénaire» est limitatif aux personnes âgées de 70 ans alors que selon le LAROUSSE, plus optimiste, septuagénaire s’appliquerait aux personnes dont l’âge se situe entre 70 et 79 ans. 

L’une des plus belles conquêtes lorsqu’on est arrivé à l’âge du temps libéré des contraintes professionnelles est sans doute de découvrir qu’avec cette liberté retrouvée nous pouvons enfin être désormais infiniment soi.

Peu à peu, nous découvrons le pur plaisir d’avoir le privilège du désir de poursuivre l’expérience du temps qui passe et de la vie qui s’écoule au rythme que l’on aura choisi. De vivre aussi intensément l’instant présent comme s’il ne devait jamais plus se reproduire.

Nous pouvons désormais, nous libérer de nos automatismes, de nos contraintes d’images, de nos actes retenus par convention. Nous avons aussi la liberté de penser à loisir, d’être soi parmi les autres sans obligations et tel(le) que nous voulons l’être.

Il s’agit dès lors d’une inestimable conquête sur le temps psychologique. Ce temps qui se constitue peu à peu, par l’accumulation des souvenirs. Par l’expérience acquise lors de nos apprentissages et les techniques apprises pour vivre et survivre, et aussi par les choix concrétisés par une mises en pratique, tout ceci pour pouvoir nous rendre la vie plus agréable.

Nous voilà mieux renseigné, et peu à peu, petite dose après petite dose, l’âge étant venu faire son œuvre handicapante, s’insinue alors comme un virus dans notre pensée, le désir de s’ouvrir au temps des renoncements au moment où tous les jours ressemblent désormais plus que à des dimanches.

« A soixante-dix ans commence l’été indien de la vie » nous dit avec raison Edwin Schneidman un célèbre psychologue clinicien spécialiste et professeur en thanatologie. La probabilité de mourir à 70 ans est de 1,62 % pour les femmes et de 2,41 % pour les hommes. 73 % des hommes nés la même année seraient encore en vie à cet âge et 82 % des femmes selon certaines études américaines.

Nous avons enfin le beau temps d’avoir que du plaisir et de pouvoir se nourrir de la pensée des autres sans avoir de restriction par la contrainte du temps. Et puis nous avons aussi le temps précieux pour apprendre aussi, qu’être c’est désirer, désirer c’est ressentir ce qui est bon pour nous dans le but d’aller vers notre épanouissement.

Nous pouvons constater que c’est bien le manque du désir qui nous affaiblit et parfois nous aigrit,car souvent nous nous trompons sur que nous voulons et sur la qualité des événements qui nous arrivent. C’est ainsi en faisant appel à son intelligence que l’être humain rectifiera ses connaissances et pourra retrouver le chemin de la satisfaction de ses désirs.

C’est souvent en raison de nos désirs inconscients mal satisfaits que naîtra et apparaîtra le pire, de notre mal être dans la vie.

Ceci écrit en préliminaire avec l’espoir de positiver le devenir, entrons sans retarder dans le vif des propos plus réalistes de ce texte :

Les renoncements du corps

Entre 30 et 70 ans, les muscles pèsent 2 fois moins lourd, la densité osseuse diminue, entraînant une diminution de la force, parfois une perte de l’équilibre et elle rend nos articulations plus fragiles nous apprennent les ultimes résultats de la recherche en médecine. De la même façon, la cage thoracique perd de son élasticité provoquant une réduction de la capacité respiratoire.

Il devient donc raisonnable de modérer ses efforts et de penser à entraîner son corps par des petits exercices physiques simples quotidiennement et de maintenir ses facultés mentales et cognitives actives en compensant les pertes de motivations dues à nos renoncements de vie provoqués par la condition de notre nouvelle inactivité.

Nous avons donc plus de temps pour soi et nous pourrions atteindre l’absence de douleur dans le corps et de turbulence dans le mental, en accordant seulement de l’importance à nos désirs naturels et nécessaires, selon ce que dit la sagesse populaire.

Il serait enfin temps de vivre selon les préceptes d’Epicure : Les désirs étant des choses naturelles et nécessaires : par exemple, nourriture, sommeil, abri, exercice du mental, etc. Sans eux, il sera impossible de bien vivre en bonne santé et d’être vraiment heureux, et la vieillesse ne pourra dès lors plus-faire ce qu’elle croit encore savoir-faire, il deviendra dès lors très urgent de bien satisfaire principalement que les besoins primaires de base.

Les renoncement au temps qui a passé

La retraite est l’occasion de réaliser les rêves, mis entre parenthèses durant la vie active, la retraite signe ainsi pour certains des remises en question, des regrets, le sentiment de ne pas avoir suivi ses rêves ou de s’être peu réalisé selon ses désirs. Le risque de tomber dans la dépression est bien réel et doit donc être pris au sérieux mais l’âge nous offrent aussi diverses possibilités nouvelles.

Et… Evitons d’emprunter seulement le boulevard de la dépression comme nous l’a suggéré avec un certain cynisme Fabrice Lucchini au cours d’un interview donné à la veille de célébrer ses soixante-dix et un an.

A l’heure de faire de nouveaux choix d’activité, on peut donner du sens à notre vie en fonction de notre personnalité et de nos talents :

  • Être utile à la société, en devenant un bénévole actif dans une association ;
  • Transmettre ses connaissances et ses expériences, en donnant des cours, en tenant des conférences, en aidants des jeunes, des enfants ou petits-enfants à mieux évoluer ;
  • Voyager et découvrir, de nouveaux horizons, de nouvelles passions en profitant de tarifs réduits en hors-saison ou concédés en privilège de l’âge survenu.

Les Renoncements à souffrir du mal de vivre vieux

Être septuagénaire, c’est donc s’affranchir des contraintes du temps et commencer à respirer seulement avec le but de pouvoir ressentir de la joie de vivre le plus souvent possible. C’est choisir plus souvent de penser positivement et de renoncer négativement, peu à peu, à craindre l’avenir du pire.

C’est aussi s’adapter aux nouvelles réalités que notre rythme biologique et notre physique nous imposent. « Vivre ne serait-il pas simplement profité d’être là » comme le disait avec sagesse Jean Cocteau.

Trouvez donc ce qui correspond à votre réel besoin à satisfaire et ainsi peu à peu vous deviendrez l’acteur(trice) qui concrétise son désir consciemment, en retirant le plus grand plaisir de vivre.

Le temps est venu enfin, sans autre contrainte, de faire le choix de vivre notre désir en pleine conscience, pour concrétiser alors notre recherche du plaisir. Un plaisir qui devient de plus en plus nécessaire à notre qualité de vie jours après jours. De la compréhension de la vraie nature de votre désir naîtra votre meilleure et durable source d’équilibre pour nos années à venir.

Pensez un peu à ce qui précède, pesez franchement les existentielles questions nécessaires et relisez cette invite encore une autre fois et vous verrez comme cela vous fera du bien dans votre quête du bonheur tous simple de vivre heureux(se).

Mais attention car il y a aussi les pièges auxquels il faut échapper. Celui des attentes insatisfaites, de nos espoirs déçus qui reviennent à la surface, des regrets de ce que nous n’avons pas pu réaliser, des efforts que l’on ne peut plus faire, des trop beaux souvenirs que notre physique ne pourra plus revivre.  Il ne faut pas que le temps psychologique nous conduise à choisir de vivre dans un ailleurs qui serait demain ou hier. Vous voilà prévenu(e) !

Selon vos choix et si tout va bien pour vous, voilà ce que pourrait devenir avec un peu de bonne volonté, ce nouveau printemps d’un futur confortable… pour pouvoir le vivre essentiellement, plaisamment et en satisfaisant le rythme de nos besoins et désirs naturels.

Et surtout n’oubliez pas le plus important, que l’homme ou la femme qui renonce à vivre ses rêves vieillit beaucoup plus rapidement.

En vous souhaitant le meilleur des possibles pour cette nouvelle année de jeune apprenti vieillard, ne dit-on pas que 70 ans n’est que la porte d’entrée dans le grand âge.

Mieux vivre Nº 11

Autres petits parfums de vie d’octobre 2022

Sagesse et pensées du mois :

Les gens généreux gardent toujours le souvenir vivant de la misère qu’ils ont eu à subir.

Tant que tu ne vides pas ton mental de ce qui te fait souffrir, il n’y aura pas de place pour ce qui pourra te rendre heureux.

Jardins et fleurs sont des beautés qui te rapproche de la joie de vivre.

La souffrance est souvent la conséquence de notre ignorance et parfois aussi de notre insouciance.

La pire misère du grand âge est ne plus avoir envie de vivre.

Si tu trouves en toi, la joie de vivre, tu oublieras aussi, tes petites douleurs quotidiennes.

Parfois le courage, est cette petite voix qui te chuchote avec espoir… c’est sûr, demain, tu feras sûrement mieux.

Oui, je sais, je reste aussi parfois… de la vieille école.

Autres petits parfums de vie de septembre 2022

Sagesse et pensées du mois :

Parfois… la raison n’existe plus et tout devrait se ressentir comme un simple plaisir à vivre.

Souffrir est souvent prêter trop d’attention à ce qui n’aurait pas dû être.

Le plaisir d’écrire est aussi parfois renaître, après avoir trop subis de souffrances.

Retrouver sa joie de vivre est le plus beau cadeau de la vie.

Aimer, c’est oser juste ressentir un élan du cœur parfois sans autres raisons.

Si la raison aime rechercher la cause c’est toujours le cœur qui l’offre en premier.

Le peu que je sais, je le dois à ma curiosité pour répondre à mon ignorance.

En cas de doute, tu peux toujours croire, cela t’évitera d’avoir à faire.