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Sycophante

Un sycophante était, dans l’Athènes antique, un délateur professionnel. Un calomniateur, espion, un personnage fourbe qui désirait ainsi s’approprier les biens des plus riches. Le sycophante serait aussi celui qui n’hésite pas à dénoncer son prochain, une personne qui ne cesse de mentir pour faire du mal.

L’existence de délateurs professionnels s’explique par les particularités du système juridique athénien á partir du cinquième siècle av. J.-C., la principale juridiction est l’Héliée, un tribunal populaire constitué de 6 000 citoyens tirés au sort. En l’absence de ministère public, on compte sur le civisme populaire pour la dénonciation. Dans Athènes d’alors, c’est encore, les dénonciateurs qui livraient aux passions de la foule les citoyens éminents et surtout ceux dont elle redoutait le plus la raison ou la vertu.

Empathie, amitié, amour, tendresse ?

Domestiqués par des croyances imposées. Punis ou récompensés selon des croyances.  La peur d’être puni et de ne pas être récompensé, nous ont contraints à nous insérer dans une société avec l’intention de faire plaisir et de paraître bien, acceptable.  Faisant naître en nous la culpabilité, le doute, la peur ainsi que le manque d’estime de soi.

L’amour tendresse envers soi-même est aussi devenue l’antidote au manque d’estime de soi selon les circonstances subies ou vécues.

Pour guérir, vous devez découvrir la bonté naturelle qui est en vous et chez les autres sans prétentions ni orgueil. Oser et Permettre l’échange en confiance, juste et équilibré afin de casser les anciennes peurs irraisonnées.

Cette simple ouverture mentale aux autres est ce qui permet de rompre la solitude dans laquelle notre éducation, l’individualisme et l’esprit de compétition nous ont conduit.

Il y a diverses sortes d’amitiés :

L’amitié occasionnelle de la personne qui a un simple coup de cœur pour vous et qui vous le démontre pour attirer votre attention.

L’amitié intéressée qui se construit sur des relations basées sur l’intérêt matériel ou professionnel.

L’amitié qui est une forme d’admiration de vos qualités mais qui n’est pas toujours directement témoignée et peut parfois rester secrète.

L’amitié qui se forge aux cours des ans, qui n’est pas toujours démonstrative, mais qui est durable.

L’amitié vraie et sans compromis, sans jugement, tolérante et toujours présente face aux bons et mauvais jours.

Sans attachement, comme sans curiosité il n’y a pas d’empathie possible et la seule évidence est que le « Je » ne peux vivre seul.

Toutefois pour rencontrer l’autre, nous devons consentir quelques efforts pour susciter l’intérêt, séduire et aimer en ayant les antennes de notre ressentir parfaitement déployées. C’est ainsi que l’humain entre dans le groupe auquel il appartient en découvrant les bienfaits de l’empathie et du bien vivre en société.

L’empathie est l’art de tisser des liens, de savoir comprendre ce qui trouble ou déchire.

 L’humain survit socialement qu’en échangeant des informations et il faut l’aptitude émotionnelle de l’empathie pour que nos neurones miroirs entre en résonance avec le bon geste, le sourire, la parole de l’autre qui nous a attiré et qui nous permet de répondre au désir de séduction ou de ce qui nous touche.

Pour devenir un(e) bon (ne) empathique il faut : se respecter et savoir se faire respecter ; oser s’exprimer ; identifier et maîtriser nos attitudes pour être entendu ; savoir faire face pour désamorcer l’agressivité de l’autre ; exprimer et partager notre assurance en défendant nos droits tout en respectant ceux des autres. Il s’agit de traiter d’égal à égal et sans a priori, négocier sans perdant ni gagnant et ce qu’il ne faut surtout pas vouloir est : asservir l’autre ; choisir à sa place ; critiquer sans avoir entendu ; se satisfaire prioritairement au détriment de l’autre ; refuser d’entendre.

Voilà vous connaissez l’essentiel des règles de l’empathie, il vous reste simplement à acquérir un peu de pratique pour en tirer les bienfaits et tisser vos nouvelles relations amitié, amour et tendresse en toute confiance.

La peur

Sans curiosité, l’être humain a toujours peur de ce qu’il ne sait pas.

Le jouet du savoir

Quand l’humain renonce à apprendre, il n’est plus que le jouet du savoir des autres.

Sagesse et réalisme

Vieillir, c’est aussi apprendre à ne plus être.

Souffrance de l’ego

Quand l’ego est trop  présent, il oublie le passé n’envisage plus le futur.

Les racines de l’être

L’être  qui se laisse emporter par tous les vents n’a pas de racines.

10 essentiels pour établir un contrat avec le plaisir de vivre

Voici les quelques bases indispensables du vivre mieux, en harmonie, permettant de jouir d’une qualité de vie  satisfaisante : 

1 / On aime bien que si l’on s’aime.
2 / L’envie d’un plaisir simple est la source naturelle de toute joie.
3 / S’ouvrir à l’autre est accepter de le/la recevoir dans sa vie.
4 / S’offrir sans calcul est la porte d’entrée d’un bonheur partagé.
5 / Honnêteté et franchise tissent les liens durables.
6 / Oser voir grand permet d’ajuster son optimisme aux besoins de sa réalité.
7 / Est fort, celui ou celle, qui  par nature défend et aide le faible.
8 / Progressera, l’humain, qui sait que sans bâtir rien ne se construit.
9 / Donner le meilleur de soi-même  est la vitamine qui apporte la joie de vivre au quotidien.
10 / Permettre toutes formes  de vie et de pensées rend possible le vivre ensemble.

Eloge du bon usage de la folie de penser

Quand la folie de penser discrédite ce que je crois sans savoir.

Favorisant l’opinion basée sur une croyance improbable.

Oubliant que Savoir n’est pas… Que Croire.

Et que l’auto critique, est un triste harcèlement que l’on s’impose.

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Quand l’incertitude devient ce rendez-vous manqué de la bonne pensée.

Sentiment douloureux du ne pas être parfait, adéquat, ni d’avoir raison.

Rendu victime d’une fausse croyance ambiante  niant le savoir être;

Fils d’une tromperie sociétale érigée en handicap du désir d’être.

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Quand la morale trop convenue s’offre en duperie d’utopie.

Apportant l’angoissant doute où l’on ne sent  plus maître de soi.

Placebo de la souffrance d’une auto-croyance incomprise.

Pensée automatique du surtout ne pas penser à… Pour ne pas avoir à être.

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Quand l’être humain redevient anxieux face à son destin ultime.

Devenu l’inquiet qui n’accepte pas, qu’il doit juste apprendre à faire face.

Victime complaisante et masochiste de son auto dénigrement.

Parfois trop complexé pour  retrouver le simple plaisir du rire.

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Esclave du penser peu, de celui qui a faim qui dévore sans plaisir.

Bêlant l’incessante plainte du gémissement de sa crainte du futur.

Ressassant sans cesse ses désespoirs en noires pensées.

Niant maladivement toute empathie ou compassion.

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Osera-t-il encore croire, à la bonne pensée, devenue alors l’idée folle ?

Acceptera-t-il les informations du ressenti agréable de ses nouvelles émotions ?

Surmontera-t-il la crainte du retour à l’indicible  souffrance ?

Activera-t-il  le récepteur affectif  utile à sa précieuse chaleur humaine ?

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S’ouvrira-t-il  au partage d’une joie, juste récompense d’une bonne pensée?

Revitalisera-t-il son  légitime désir de vivre un nouveau devenir.

Ravivera-t-il le puissant appel intime à revivre, un bonheur initial connu.

Acceptera-t-il le lâcher prise, la bouée à l’abandon du désir de survie.

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Réapprenant à rire de la folie de penser comme d’un mauvais souvenir.

Revendiquant  la délicieuse étape du penser plaisir avant de le recevoir ou faire.

Choisissant que  le facile à dire redevienne aussi…  Le facile à plaire.

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Ensoleillé par la pensée positive vitamine d’un mieux aller.

Permettant  ainsi l’incroyable rencontre entre folie et plaisir de penser.

D’où naîtra cet indispensable désir  d’avoir toujours la volonté de recevoir.

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Pour qu’avec l’autre, témoin miroir, s’anime un  plaisir partagé.

Ou compréhension et empathie équilibrée, seront  partenaires.

Pour qu’enfin… Folie de penser … Devienne, infinie sagesse.

Unie au plaisir vécu du… Il fait bon de vivre ensemble

Toi, moi, nous..

Quand l’histoire collective est lourde de conséquences, le rêve individuel est toujours possible.

Ainsi de notre imparfait nait aussi la vérité humaine de notre envie d’être.

Sachant que le regard de l’autre est  celui de notre paraître.

N’oublies pas que celui (celle) qui te hait  souffre de l’envie de te ressembler.

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Quand parfois la réalité t’échappe, il te faut juste oser faire face.

En n’oubliant jamais que savoir n’est pas croire.

Que de l’illusion du sensible naît  aussi ton désir d’être.

Et que ta confusion sera d’autant plus grande que tu seras insécure.

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Quand l’humain se croit sans lendemain, il désespère de son désir d’avenir.

Ainsi tu dois être la personne positive qui ose prévoir que demain progressera.

N’oubliant jamais qu’apprendre ce n’est pas seulement se souvenir d’avoir peur.

Que le choix de ta raison sans la passion restera juste une intention.

Et que de ta joie d’agir naîtra la juste récompense de tes bonnes pensées.

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Eveillé de ce qui précède  toi et moi deviendrons nous.

Pour toujours et pour la nuit des temps.

Sachant que de l’intime naît aussi l’universel.

Ensemble nous serons soleil dans notre monde.

Surtout n’oublie jamais que je t’aime et que je te ressemble !

Savoir être

L’imparfait est une vérité humaine de notre savoir être.

Extimité

Wikipedia nous apprend que l’extimité par opposition à l’intimité, est le désir de dévoiler sa vie intime autant physique que psychique. Le mot a été proposé par Jacques Lacan dans son séminaire XVI en 1969.
 Les blogs et réseaux sociaux sont des dispositifs où cette extimité s’exprime. Le côté “journal intime” de certains blogs, l’exposition de soi que l’on peut découvrir par des images ou de textes en sont des exemples.
L’extimité, est l’extériorisation de ce qui appartient normalement au domaine de l’intimité, voir du privé. C’est l’intimité extériorisée et divulguée publiquement.

L’âme, alma

L’âme est…
Illusion du sensible
Tromperie de l’invisible
Vérité impossible
Prétention du désir d’être
Sensibilité de l’inconnu
Déraison de la raison
Faculté imaginative
Quintessence antonyme d’apparence

Elle n’est pas…
Eccéité d’un impossible
Une et multiple
Essence invisible
Témoin de la grandeur
Qualificatif de la bonté
Réceptrice de l’indicible beauté
Intention divine reçue
Ainséité d’une apparence

Serait-elle ?
Tricherie du réel
Vouloir être permanent
Espoir insensé
Rêve perdu
Illusion d’un déçu
Manipulation de l’ecclésiaste
Rassemblement des ignorances

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El alma es…
Ilusión del sensible
Engaño de lo invisible
Verdad imposible
Deseo de estar
Sensibilidad de lo desconocido
Miedo irracional
Facultad imaginativa
Antónimo de la quintaesencia de apariencia

no es…
Verdad del imposible
Uno y múltiple
Esencia invisible
Testigo de grandeza
Calificador de bondad
Belleza indescriptible
Intención divina recibida
Ojos de una apariencia

¿Sería?
Engaño de la imaginación                                                                                                                                                                                            Querer ser permanente
Esperanza loca
Sueño perdido
Ilusión de un decepcionado
Manipulación de Eclesiastés
Recopilación de la ignorancia

Voeu 2011, être moins sot

Le sot n’apprend qu’en subissant l’échec.  Et d’ainsi avouer… que je suis aussi sot que les autres

âme, alma

L’âme est la prétention du désir d’être de la personne humaine. La alma es la pretensión del deseo de ser de la persona humana.

Les épines du songe

L’injustice est parfois bonne intention

Malheur ressenti qu’on s’invente

Comme une sottise qui ne pense pas l’être

Vent froid qui amène le trouble

 

Jalousie devenue souffrance

Triste impuissance de posséder l’autre

Semant le doute sans raison

Effaçant la volonté de recevoir.

 

Cet autre m’aime-t-il encore ?

Sera-t-il encore précieuse richesse ?

Bon sens de mon savoir être

Aurait-il la volonté d’un autre choisir ?

Aurais-je failli dans l’incitation de son désir ?

 

Mauvaises pensées devenues chaînes 

Rêve d’un soir disparu avant l’aube 

Matin qui n’éveille plus la beauté du jour.

Annonciateur de nouvelle solitude.

Muet désespoir

Devenu oiseau sans ailes

A la larme, arme du mensonge

 

Me laissant cruellement blessé

Par les épines du songe

Trop souvent imaginées.

Quand demain sera autre jour.

Raison et déraison

Il faut savoir que..
Le raison prolonge la sensation du plaisir.
Le plaisir des sens est ainsi l’épice de la raison.
Parfois la raison incite à penser plus qu’à faire.
L’amour sans raison n’est que douce folie.
 
Il faut savoir que ..
Le bonheur durable est la conscience que l’on en a.
C’est la raison qui rend durable ce bonheur.
Choisir l’autre est donc le premier pas vers son intime sagesse.
Le bon sens  raisonné est se réjouir du bonheur de l’autre.
 
Il faut savoir que..
Lire et voir n’est pas comprendre sans le raisonnement.
Il n’y a pas de pire malheur à vivre que celui que la déraison invente.
Le doute est souvent l’adversaire de la raison
Parfois la raison de l’humain peut être sa propre prison.
 
Il faut savoir que..
La raison aspire à vivre, si on lui offre sa chance d’être.
La longévité de la raison est l’abandon de la déraison.
La déraison est tout ce qui n’est pas réfléchi.
La plus déraisonnable erreur est celle que l’on refait bêtement.
 
Conclusion :
L’ignorant  déraisonne pour cacher ses manques
et le sage raisonne pour apprendre et comprendre.

Le bon équilibre écolo alimentaire

Pour trouver le bon équilibre en matière de santé et écologie, il faut avoir une  bonne connaissance de soi, de ses envies, de ses capacités physiques et de l’art de l’alimentation. S’aimer comme on est, consiste à trouver l’harmonie entre le vécu et le pensé, savoir organiser ses pensées, avoir une bonne estime de soi pour pouvoir agir selon ses désirs.

Avoir des envies est la meilleure vitamine autant pour son moral que pour satisfaire ses instincts ainsi que sa qualité de vie. C’est donc la volonté d’agir qui est l’antidote contre la morosité et le désespoir.

Et puis il y a cette merveilleuse machine qu’est notre corps qui nous permet de concrétiser tout ce qui précède.

Selon ses bons fonctionnements ou ses disfonctionnements nous devons adapter selon nos possibilités l’étendue de la concrétisation de nos désirs.

La clé de tout cela réside d’abord dans notre alimentation. Faut-il se passer de la viande ? Manger du poisson ? Choisir les légumes et fruits ?  Comment les cuisiner ?

Sont les questions essentielles auxquelles répondent les experts de manière nuancées et en la matière trouver le bon équilibre nécessite de se poser les bonnes questions concernant  la préservation de la planète.

En ce qui concerne la viande la recommandation la mieux partagée est l’encouragement à opter pour les viandes maigres dinde, poulet, bœuf élevé de manière naturelle si possible produit selon les contraintes du BIO.

« Mieux vaut un végétarien roulant en 4×4 qu’un mangeur de steak en vélo ! » est la blague récente qui circulent dans le monde écologique et la vérité scientifique associé à cette affirmation, est qu’un kilo de bœuf dégage l’équivalent de 14,8 kg de Co2, ce qui revient à parcourir 121 km en voiture. Le porc fait mieux 3,8 kg de Co2 par kilo alors que le poulet produit lui 1,1 kg de Co2 par kilo.

En ce qui concerne la pêche les méfaits de la surpêche sont à l’ordre du jour et l’avenir se jouera probablement dans les élevages. Si le rythme de consommation se poursuit au rythme actuel, les experts envisage une disparition de nos assiettes d’ici 2048.  Certaines espèces sont déjà largement menacées.

Devrons-nous tous devenir végétariens, l’avenir nous le dira.

Agir ou réagir ?

Créer sa vie pas à pas, instant après instant, est la méthode permettant d’atteindre les objectifs qui constituent notre bonheur et notre joie de vivre quotidienne.
La création de notre réalité progressive dépend souvent de notre aptitude à accepter simplement ce que nous offre la vie et de notre manière de gérer  les conséquences de ce que nous avons été les jours précédant.

Notre façon de  nous ancrer dans la réalité du présent, en pensant au futur, est l’antidote qui fera de nous un être actif ou réactif.
En fait, accompagner les événements qui nous surviennent et les orientés vers un futur qui nous convient nécessite la capacité d’observer ce qui nous arrive, puis de  penser aux conséquences et d’enfin choisir la direction que nous voulons donner à notre projet d’évolution.
Il ne s’agit donc pas seulement de ressentir, aimer ou haïr ce qui nous touchent mais d’analyser, de parfois juger sans a priori et de choisir le sens à donner à nos actions.

La zone à proscrire  dans nos craintes de non épanouissement, sont de seulement écouter nos anciennes peurs et nos intentions négatives, ainsi que d’accorder foi en nos croyances hasardeuses qui nous font accepter notre infortune comme une légitime punition en regard à notre supposé sentiment de culpabilité dans ce qui survient.
Nous somme parfois responsable mais rarement totalement et intégralement.

Dans chaque événement qui survient, il y a les aspects positifs et ceux qui sont négatifs. En s’offrant le temps d’évaluer les poids des uns et des autres on peut ainsi arriver à trouver dans chaque situation ce qui correspond à notre plaisir d’être et à notre envie d’atteindre un futur meilleur.
Pour finalement trouver notre propre secret individuel clé de notre légitime aspiration au bonheur.

Certes notre existence, est le plus souvent une suite de réactions au lieu d’être un enchaînement d’actions voulues et dirigées vers notre bien être.
Toutefois, c’est en cherchant à inverser notre tendance naturelle que nous avons une chance de trouver notre équilibre en réprimant nos énergies négatives et en les transformant en énergies positives.
Il devient ainsi vrais que toutes nos erreurs, tous nos défauts contiennent potentiellement la clé de nos futurs succès lorsque que nous les transformons en énergies positives.
Ces dernières peuvent aussi être la source du savoir des raisons de ce qui nous a fait souffrir  en étant aussi le générateur de notre envie de ne pas vouloir revivre cette souffrance.

Transformer la peur et la souffrance en confiance, est un art difficile mais, celle ou celui, qui y parvient répond ainsi sans obstacle à son besoin et le réalise sans attendre, en y trouvant de surcroît le plaisir de la satisfaction.
L’apprentissage des règles simples de ce jeu de la vie  est le meilleur garant du plaisir de vivre une existence heureuse. Et cela vaut bien la peine de faire un petit effort pour y parvenir.

Agir ou réagir, souffrir ou trouver du plaisir,  ne sont finalement qu’une question de choix ?  Prendrez-vous, désormais, toujours le temps de le faire ?

Qu’en pensez-vous ?