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Empathie, amitié, amour, tendresse ?

Domestiqués par des croyances imposées. Punis ou récompensés selon des croyances.  La peur d’être puni et de ne pas être récompensé, nous ont contraints à nous insérer dans une société avec l’intention de faire plaisir et de paraître bien, acceptable.  Faisant naître en nous la culpabilité, le doute, la peur ainsi que le manque d’estime de soi.

L’amour tendresse envers soi-même est aussi devenue l’antidote au manque d’estime de soi selon les circonstances subies ou vécues.

Pour guérir, vous devez découvrir la bonté naturelle qui est en vous et chez les autres sans prétentions ni orgueil. Oser et Permettre l’échange en confiance, juste et équilibré afin de casser les anciennes peurs irraisonnées.

Cette simple ouverture mentale aux autres est ce qui permet de rompre la solitude dans laquelle notre éducation, l’individualisme et l’esprit de compétition nous ont conduit.

Il y a diverses sortes d’amitiés :

L’amitié occasionnelle de la personne qui a un simple coup de cœur pour vous et qui vous le démontre pour attirer votre attention.

L’amitié intéressée qui se construit sur des relations basées sur l’intérêt matériel ou professionnel.

L’amitié qui est une forme d’admiration de vos qualités mais qui n’est pas toujours directement témoignée et peut parfois rester secrète.

L’amitié qui se forge aux cours des ans, qui n’est pas toujours démonstrative, mais qui est durable.

L’amitié vraie et sans compromis, sans jugement, tolérante et toujours présente face aux bons et mauvais jours.

Sans attachement, comme sans curiosité il n’y a pas d’empathie possible et la seule évidence est que le « Je » ne peux vivre seul.

Toutefois pour rencontrer l’autre, nous devons consentir quelques efforts pour susciter l’intérêt, séduire et aimer en ayant les antennes de notre ressentir parfaitement déployées. C’est ainsi que l’humain entre dans le groupe auquel il appartient en découvrant les bienfaits de l’empathie et du bien vivre en société.

L’empathie est l’art de tisser des liens, de savoir comprendre ce qui trouble ou déchire.

 L’humain survit socialement qu’en échangeant des informations et il faut l’aptitude émotionnelle de l’empathie pour que nos neurones miroirs entre en résonance avec le bon geste, le sourire, la parole de l’autre qui nous a attiré et qui nous permet de répondre au désir de séduction ou de ce qui nous touche.

Pour devenir un(e) bon (ne) empathique il faut : se respecter et savoir se faire respecter ; oser s’exprimer ; identifier et maîtriser nos attitudes pour être entendu ; savoir faire face pour désamorcer l’agressivité de l’autre ; exprimer et partager notre assurance en défendant nos droits tout en respectant ceux des autres. Il s’agit de traiter d’égal à égal et sans a priori, négocier sans perdant ni gagnant et ce qu’il ne faut surtout pas vouloir est : asservir l’autre ; choisir à sa place ; critiquer sans avoir entendu ; se satisfaire prioritairement au détriment de l’autre ; refuser d’entendre.

Voilà vous connaissez l’essentiel des règles de l’empathie, il vous reste simplement à acquérir un peu de pratique pour en tirer les bienfaits et tisser vos nouvelles relations amitié, amour et tendresse en toute confiance.

L’art de la pensée positive

Ignorance et savoir

Seul l’ignorant  prétend tout savoir.

Si le sage sait quand il faut changer d’opinion, l’ignorant rarement.

Sagesse et réalisme

Vieillir, c’est aussi apprendre à ne plus être.

La source de la sagesse

Face aux épreuves de la vie, l’intelligence devient sagesse.

10 essentiels pour établir un contrat avec le plaisir de vivre

Voici les quelques bases indispensables du vivre mieux, en harmonie, permettant de jouir d’une qualité de vie  satisfaisante : 

1 / On aime bien que si l’on s’aime.
2 / L’envie d’un plaisir simple est la source naturelle de toute joie.
3 / S’ouvrir à l’autre est accepter de le/la recevoir dans sa vie.
4 / S’offrir sans calcul est la porte d’entrée d’un bonheur partagé.
5 / Honnêteté et franchise tissent les liens durables.
6 / Oser voir grand permet d’ajuster son optimisme aux besoins de sa réalité.
7 / Est fort, celui ou celle, qui  par nature défend et aide le faible.
8 / Progressera, l’humain, qui sait que sans bâtir rien ne se construit.
9 / Donner le meilleur de soi-même  est la vitamine qui apporte la joie de vivre au quotidien.
10 / Permettre toutes formes  de vie et de pensées rend possible le vivre ensemble.

Eloge du bon usage de la folie de penser

Quand la folie de penser discrédite ce que je crois sans savoir.

Favorisant l’opinion basée sur une croyance improbable.

Oubliant que Savoir n’est pas… Que Croire.

Et que l’auto critique, est un triste harcèlement que l’on s’impose.

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Quand l’incertitude devient ce rendez-vous manqué de la bonne pensée.

Sentiment douloureux du ne pas être parfait, adéquat, ni d’avoir raison.

Rendu victime d’une fausse croyance ambiante  niant le savoir être;

Fils d’une tromperie sociétale érigée en handicap du désir d’être.

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Quand la morale trop convenue s’offre en duperie d’utopie.

Apportant l’angoissant doute où l’on ne sent  plus maître de soi.

Placebo de la souffrance d’une auto-croyance incomprise.

Pensée automatique du surtout ne pas penser à… Pour ne pas avoir à être.

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Quand l’être humain redevient anxieux face à son destin ultime.

Devenu l’inquiet qui n’accepte pas, qu’il doit juste apprendre à faire face.

Victime complaisante et masochiste de son auto dénigrement.

Parfois trop complexé pour  retrouver le simple plaisir du rire.

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Esclave du penser peu, de celui qui a faim qui dévore sans plaisir.

Bêlant l’incessante plainte du gémissement de sa crainte du futur.

Ressassant sans cesse ses désespoirs en noires pensées.

Niant maladivement toute empathie ou compassion.

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Osera-t-il encore croire, à la bonne pensée, devenue alors l’idée folle ?

Acceptera-t-il les informations du ressenti agréable de ses nouvelles émotions ?

Surmontera-t-il la crainte du retour à l’indicible  souffrance ?

Activera-t-il  le récepteur affectif  utile à sa précieuse chaleur humaine ?

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S’ouvrira-t-il  au partage d’une joie, juste récompense d’une bonne pensée?

Revitalisera-t-il son  légitime désir de vivre un nouveau devenir.

Ravivera-t-il le puissant appel intime à revivre, un bonheur initial connu.

Acceptera-t-il le lâcher prise, la bouée à l’abandon du désir de survie.

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Réapprenant à rire de la folie de penser comme d’un mauvais souvenir.

Revendiquant  la délicieuse étape du penser plaisir avant de le recevoir ou faire.

Choisissant que  le facile à dire redevienne aussi…  Le facile à plaire.

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Ensoleillé par la pensée positive vitamine d’un mieux aller.

Permettant  ainsi l’incroyable rencontre entre folie et plaisir de penser.

D’où naîtra cet indispensable désir  d’avoir toujours la volonté de recevoir.

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Pour qu’avec l’autre, témoin miroir, s’anime un  plaisir partagé.

Ou compréhension et empathie équilibrée, seront  partenaires.

Pour qu’enfin… Folie de penser … Devienne, infinie sagesse.

Unie au plaisir vécu du… Il fait bon de vivre ensemble

Toi, moi, nous..

Quand l’histoire collective est lourde de conséquences, le rêve individuel est toujours possible.

Ainsi de notre imparfait nait aussi la vérité humaine de notre envie d’être.

Sachant que le regard de l’autre est  celui de notre paraître.

N’oublies pas que celui (celle) qui te hait  souffre de l’envie de te ressembler.

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Quand parfois la réalité t’échappe, il te faut juste oser faire face.

En n’oubliant jamais que savoir n’est pas croire.

Que de l’illusion du sensible naît  aussi ton désir d’être.

Et que ta confusion sera d’autant plus grande que tu seras insécure.

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Quand l’humain se croit sans lendemain, il désespère de son désir d’avenir.

Ainsi tu dois être la personne positive qui ose prévoir que demain progressera.

N’oubliant jamais qu’apprendre ce n’est pas seulement se souvenir d’avoir peur.

Que le choix de ta raison sans la passion restera juste une intention.

Et que de ta joie d’agir naîtra la juste récompense de tes bonnes pensées.

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Eveillé de ce qui précède  toi et moi deviendrons nous.

Pour toujours et pour la nuit des temps.

Sachant que de l’intime naît aussi l’universel.

Ensemble nous serons soleil dans notre monde.

Surtout n’oublie jamais que je t’aime et que je te ressemble !

Voeu 2011, être moins sot

Le sot n’apprend qu’en subissant l’échec.  Et d’ainsi avouer… que je suis aussi sot que les autres

Le bon équilibre écolo alimentaire

Pour trouver le bon équilibre en matière de santé et écologie, il faut avoir une  bonne connaissance de soi, de ses envies, de ses capacités physiques et de l’art de l’alimentation. S’aimer comme on est, consiste à trouver l’harmonie entre le vécu et le pensé, savoir organiser ses pensées, avoir une bonne estime de soi pour pouvoir agir selon ses désirs.

Avoir des envies est la meilleure vitamine autant pour son moral que pour satisfaire ses instincts ainsi que sa qualité de vie. C’est donc la volonté d’agir qui est l’antidote contre la morosité et le désespoir.

Et puis il y a cette merveilleuse machine qu’est notre corps qui nous permet de concrétiser tout ce qui précède.

Selon ses bons fonctionnements ou ses disfonctionnements nous devons adapter selon nos possibilités l’étendue de la concrétisation de nos désirs.

La clé de tout cela réside d’abord dans notre alimentation. Faut-il se passer de la viande ? Manger du poisson ? Choisir les légumes et fruits ?  Comment les cuisiner ?

Sont les questions essentielles auxquelles répondent les experts de manière nuancées et en la matière trouver le bon équilibre nécessite de se poser les bonnes questions concernant  la préservation de la planète.

En ce qui concerne la viande la recommandation la mieux partagée est l’encouragement à opter pour les viandes maigres dinde, poulet, bœuf élevé de manière naturelle si possible produit selon les contraintes du BIO.

« Mieux vaut un végétarien roulant en 4×4 qu’un mangeur de steak en vélo ! » est la blague récente qui circulent dans le monde écologique et la vérité scientifique associé à cette affirmation, est qu’un kilo de bœuf dégage l’équivalent de 14,8 kg de Co2, ce qui revient à parcourir 121 km en voiture. Le porc fait mieux 3,8 kg de Co2 par kilo alors que le poulet produit lui 1,1 kg de Co2 par kilo.

En ce qui concerne la pêche les méfaits de la surpêche sont à l’ordre du jour et l’avenir se jouera probablement dans les élevages. Si le rythme de consommation se poursuit au rythme actuel, les experts envisage une disparition de nos assiettes d’ici 2048.  Certaines espèces sont déjà largement menacées.

Devrons-nous tous devenir végétariens, l’avenir nous le dira.